lundi 18 novembre 2013

UN CONGRES DES MAIRES DE FRANCE 2013 A LA CROISEE DES CHEMINS ELECTORAUX EN PERSPECTIVE POUR 2014 QUI PASSE A CÔTE DE L'ECONOMIE SOCIALE & SOLIDAIRE & LA PREPARATION DE LA LOI SOUS L'OMBRE DE LA POLEMIQUE CONCERNANT LA REFORME DES RYTHMES SCOLAIRES

ECONOMIE SOCIALE & SOLIDAIRE

UNE LOI SE PREPARE......TOUT LE MONDE POLITIQUE S'EN FOUT

http://mouves.org/wp-content/uploads/2013/11/Communiqu%C3%A9_CICE1.pdf


Economie sociale et solidaire : Benoît Hamon reçoit le soutien de François Hollande


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François Hollande soutient le projet de loi ESS de Benoît Hamon. 
François Hollande soutient le projet de loi ESS de Benoît Hamon.

Attaqué par les organisations patronales, le ministre chargé de l’Economie sociale et solidaire (ESS), Benoît Hamon, a indiqué avoir reçu le soutien «complet» du président de la République jeudi dernier, à l’occasion d’une réunion travail à l’Elysée sur le projet de loi ESS.






«C’est sa loi que je mets en œuvre, celle qu’il a voulue, désirée», a déclaré le ministre à l’issue de cette réunion entre François Hollande et des entrepreneurs du secteur. Et de rappeler que le développement de l’économie sociale et solidaire, qui pèse 10% du PIB et 2,35 millions de salariés, était «un engagement fort du président de la République pendant sa campagne».
LE MEDEF OPPOSÉ AU DEVOIR D'INFORMATION SUR LA TRANSMISSION D'ENTREPRISES
Cette déclaration intervient alors que le projet de loi cadre doit être examiné en séance publique au Sénat à partir du mercredi 6 novembre. Parmi les mesures phares du texte, la disposition sur la transmission d’entreprises a suscité l’ire du Medef. Elle prévoit, pour les entreprises de moins de 50 salariés, un devoir d’information de ces derniers, au moins deux mois à l’avance de tout projet de cession, afin de leur permettre de déposer une offre de reprise. Le patronat redoute une source de blocages dans ces processus de cession.
«Il est regrettable que le Medef soit souvent le syndicat qui dit non», avait déclaré Benoît Hamon lors dulancement du mois de l’économie sociale et solidaire, le 24 octobre.
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ECONOMIE SOCIALE & SOLIDAIRE AU MAGHREB
source courrier de l'assurance
Maghreb : l’économie sociale et solidaire peine à se structurer
Par Sébastien Acedo -
Gérard Andreck, président de la Macif et adhérent d'Ipemed. 
Gérard Andreck, président de la Macif et adhérent d'Ipemed.
MChefaï/Macif

A lire également

En Europe, l’économie sociale et solidaire (ESS) est un phénomène installé. En France, ce pan de l’économie contribue à hauteur de 10% au produit intérieur brut (PIB) et emploie quelque 2,3 millions de salariés. En Belgique, l’ESS représente 10% du PIB et 10% des emplois. De l’autre côté de la Méditerranée, le secteur est clairement sous-représenté, avec à peine 1% du PIB au Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie). Pourtant, «ce tiers secteur peut être, en période de crise et de fort chômage des jeunes, une solution alternative aux structures traditionnelles qui séparent le travail et le capital», souligne Jean-Louis Guigou, délégué général de l’Institut de prospective économique du monde méditerranéen (Ipemed), lors d’une rencontre avec la presse.
Des situations contrastées entre le Maroc, l'Algérie et la Tunisie
Premier élément d’explication : le développement de l’ESS au Maghreb est freiné par les difficultés des principales organisations – coopératives, associations, mutuelles, fondations – à accomplir leur mission sociale tout en intégrant une orientation économique. Sans compter les situations propres à chaque Etat. En Tunisie, Ipemed déplore un manque de soutien réglementaire et juridique aux initiatives d’ESS qui contribue à accentuer le décalage entre les formes traditionnelles de solidarités et l’émergence d’un secteur structuré de l’entrepreneuriat social. «Nous préconisons des solutions laïques et transversales à la différence de la finance islamique et de l’assurance takaful(islamique, NDLR), dont il faut néanmoins se préoccuper sérieusement», indique Gérard Andreck, président de Macifdont la mutuelle compte près de 500 000 sociétaires au Maghreb.
En Algérie, le périmètre de l’ESS est difficile à définir. En cause : l’omniprésence de la machine étatique qui n’encouragerait ni à la prise d’initiative ni à l’esprit d’entreprendre.
A l’inverse, le Maroc fait figure d’exception. A partir des années 80, le secteur de l’ESS s’est relativement structuré, et depuis le lancement de l’Initiative nationale de développement humain (INDH), en 2005, les entreprises de l’économie sociale interviennent pour identifier les besoins des populations.
Des solutions communes au nord et au sud de la Méditerranée
Reste que l’ESS devrait accroître sa volumétrie économique d’ici à quelques années. «Les Etats sont de plus en plus désargentés dans cette région du monde. Le secteur privé n’a pas la volonté de répondre à ces besoins dans la mesure où la rentabilité n’est pas suffisamment attractive. Il y a donc la place pour cette troisième voie», prédit Radhi Meddeb, président d’Ipemed.
Dans ce contexte, l’institut propose des recommandations visant à mettre sur pied un référentiel et des outils communs pour permettre au secteur de se structurer sur les deux rives de la Méditerranée : création d’un statut de l’entreprise sociale et solidaire, mutation du micro-crédit à la micro-finance solidaire, incitation à la création d’instituts de micro-assurance…
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NOUS AVONS UN PROJET SUR CE SUJET DE L'ECONOMIE SOCIALE & SOLIDAIRE AU MAGHREB
laisser vos coordonnées en cas d'intèrêt..........jgj.labelm.interpanorama@gmail.com
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QU'EST-CE QUE L'ENTREPRENEUR SOCIAL ?
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UN EXEMPLE FORMIDABLE QUI S'ADRESSE AUX QUARTIERS DIFFICILES
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DANS LES TERRITOIRES EN ACTION ;  L'EXEMPLE DES HAUTS DE SEINE

Avec le FORUM ESS92 organisé par le Conseil Général le jeudi 21 Novembre 2013
qui fait le point sur les projets ess & des entreprises sociales potentiellement prêtes à voir le jour au service de l'innovation sociale & de l'emploi

qui inaugurera aussi par le Président UMP  Patrick DAVEDJIAN, ce jour 21 Novembre 2013, une FACULTE D'ECONOMIE POLITIQUE & SOLIDAIRE à Bourg-la-Reine dans le 92 initiée par une entreprise sociale médico-sociale & de formation : l'Association INITIATIVES, un engagement politique d'un membre de l'UMP à signaler alors que la loi sur l'ESS(au passage initiée par l'ancien gouvernement de françois Fillion sous les Hospices de Roselyne Bachelot, ministre de la Solidarité qui avait crée un Consensus avec un travail abouti qui aurait dû être inscrit au débat parlementaire en priorité s'il n'y avait pas eue d'alternance politique & que le nouveau ministre a trouvé sur son bureau) en débat à l'assemblée ne se passionne pas sur le sujet, suivant le très néo-pétainiste MEDEF monté au crêneau pour protéger une certaine immobilité culturelle structurelle qui nie l'innovation sociale des entreprises françaises & qui rêve à haute voie d'une économie avec une innovation sociale à bas côuts & baisser l'influence des syndicats comme aux bons temps de la "révolution nationale" !!!!!!!
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Une entreprise sociale a suivre avec une jeune animatrice formidable de 31 ans  : Mélanie Cataldo qu'il faut soutenir
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un traiteur d'envergure montante dans les secteur traiteur & restauration collective avec des outils de cuisine mobile ambulante & une cafeteria universitaire
Entreprise sociale d'insertion installée à Nanterre qui emploie & forme des gens exclus du travail avec abnégation qui fait près d'1 million d'€ de CA mais a besoin de soutiens en volume d'activités du secteur ess & autres........

"Planète SESAME 92"
membre du réseau COCAGNE des "Jardins de COCAGNE"

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http://www.reseaucocagne.asso.fr/

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A MEDITER






"L'Innovation jugaad. Redevenons ingénieux !", de Navi Radjou, Jaideep Prabhu et Simone Ahuja. Editions Diateino, 384 pages, 24 euros.
"L'Innovation jugaad. Redevenons ingénieux !", de Navi Radjou, Jaideep Prabhu et Simone Ahuja. Editions Diateino, 384 pages, 24 euros. | DR

Depuis quelques années, le savoir-faire et la créativité des chercheurs indiens, éduqués dans un contexte de frugalité et non d'abondance à l'occidentale, inspirent les chercheurs des pays développés.

Navi Radjou, français d'origine indienne, consultant en innovation actuellement installé dans la Silicon Valley, a beaucoup fait pour populariser cet état d'esprit dont la dénomination, "jugaad", vient d'un mot hindi signifiant "savoir se débrouilleret trouver des solutions dans des conditions hostiles".
En français, l'innovation "jugaad" est traduite par "innovation frugale", celle dont l'objectif est de trouver des solutions radicalement nouvelles, mais économes enmatières premières, en énergie. Bref, peu coûteuses... mais très astucieuses.
Le livre que Navi Radjou cosigne avec Jaideep Prabhu, professeur à la Judge Business School de l'université de Cambridge (Royaume-Uni) - où M. Radjou enseignait précédemment - et Simone Ahuja, consultante spécialiste en innovation, explique les grands principes de ce nouveau mode de management de l'innovation.
Son marché est celui du "milieu supérieur de la pyramide", précisent les auteurs. Ils l'illustrent de nombreux exemples, tirés de leur expérience dans les pays émergents, mais aussi développés.
EXEMPLE SAVOUREUX
Car si General Electric avait fait figure de précurseur parmi les entreprises occidentales en commercialisant aux Etats-Unis un électrocardiographe conçu en 2007 pour les habitants de villages indiens reculés, de nombreuses entreprisesont suivi son exemple. Renault en particulier.
Il est significatif que Carlos Ghosn, président de Renault-Nissan, ait rédigé la préface de l'ouvrage. Parmi les exemples qui l'émaillent, celui du vélo de Kanas Das est assez savoureux. Cet habitant du nord de l'Assam, qui se rendait à son travail à vélo, a trouvé le moyen de transformer les nombreux nids de poule des routes qu'il empruntait en atouts.
Il a équipé son vélo d'un convertisseur transformant l'énergie de l'amortisseur, comprimé par les trous de la route, en énergie transmise à la roue arrière. Résultats : plus il y a de cahots, plus le vélo roule vite !
Pour innover en mode "jugaad", il ne s'agit pas de dépouiller un produit occidental du superflu, précisent les auteurs. "La quête de la simplicité ne va pas à l'encontre du progrès", témoigne Christophe de Maistre, président de Siemens France, l'un des neuf dirigeants français appelés à témoigner dans cet ouvrage porteur d'espoir.

L'Innovation jugaad. Redevenons ingénieux !, de Navi Radjou, Jaideep Prabhu et Simone Ahuja. Editions Diateino, 384 p., 24 €.

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& UN PROJET QUE NOUS VOULONS EURO-INTERNATIONAL EN SYNERGIE EUROPEENNE SUR UNE RESIDENCE PHILANTROPIQUE SANS FRONTIERES A PARIS COMME LA "PHILANTROPIC HOUSE" A BRUXELLES & EN SYNERGIE EUROPEENNE & SANS-FRONTIERES

voir aussi Le Projet EURO-BELGE de la "PHILANTROPIC HOUSE" inaugurée le 13 Novembre 2013 Avec la Fondation du ROI BAUDOIN de BELGIQUE & LE CENTRE EUROPEEN DES FONDATIONS (EFC)
http://www.kbs-frb.be/pressitem.aspx?id=308433&Member=13442&langtype=2060
http://www.efc.be/Pages/default.aspx

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VIE DES ASSOCIATIONS

MAILFORGOOD LANCE HELLOASSO - La puissance du numérique au service des associations
Boîte de réception
x

M. Roche
09:43 (Il y a 4 heures)
à
inaugurée dernièrement 


Mailforgood lance HelloAsso
La puissance du numérique au service des associations 
La France dénombre 1 300 000 associations de loi 1901, et l’économie sociale et solidaire
 représente à elle seule 10% du PIB et 10% des emplois. Bien que diverses, les associations ont des besoins
 similaires… auxquels peut répondre le Web. Et si nous étions à l’aube de leur révolution numérique ?
 HelloAsso, nouvelle plateforme de Mailforgood, entend les accompagner dans cette nouvelle ère.
Vous trouverez ci-joint le communiqué de presse concernant HelloAsso, la nouvelle plateforme de MailforGood. 
N'hésitez pas à nous contacter pour toute information complémentaire.
Mailforgood lance HelloAsso
La puissance du numérique au service des associations 
La France dénombre 1 300 000 associations de loi 1901, et l’économie sociale et solidaire représente à elle seule
 10% du PIB et 10% des emplois. Bien que diverses, les associations ont des besoins similaires… auxquels peut 
répondre le Web. Et si nous étions à l’aube de leur révolution numérique ? HelloAsso, nouvelle plateforme de
 Mailforgood, entend les accompagner dans cette nouvelle ère.
Un secteur sur le point d’amorcer sa révolution numérique
Avec 1 300 000 associations en France pour un budget cumulé de 70 milliards d’euros et 16 millions de bénévoles actifs,
 le secteur associatif est loin d’être anecdotique pour l’économie du pays. Pourtant, la majorité des associations n’ont pas encore
 adopté le virage numérique et collectent toujours les dons et les adhésions manuellement, tâche très chronophage et demandant
un suivi rigoureux pour la gestion des certificats d’adhésion et des reçus fiscaux…
Les associations ont aussi une réelle demande en visibilité et communication, pour informer sur leur cause ou leurs actions mais 
aussi pour leur fonctionnement. Deux aspects où la force du Web ouvre un nouvel horizon.
Pour être toujours au plus proche des attentes des associations, Mailforgood a développé plusieurs partenariats
 et outils et lance aujourd’hui HelloAsso.
De nouvelles fonctionnalités, des partenariats, une palette d’outils au service des associations
La première partie de ce virage stratégique a été opérée via la fusion de Mailforgood avec IZI-Collecte.com.
 Les deux principaux acteurs de la collecte associative sont donc aujourd’hui regroupés. HelloAsso compte 
ainsi 2 000 associations, 150 000 utilisateurs, 120 000 visiteurs uniques par mois et a déjà collecté 4 millions 
d’euros devenant ainsi le principal acteur de financement des associations sur le web.
La nouvelle plateforme est un véritable annuaire d’associations permettant de se renseigner, de soutenir 
et de rechercher  l’association de son choix selon des thématiques, ses affinités, ou encore par géolocalisation.
Pour accompagner les associations, trois types d’outils sont proposés : les campagnes de collecte de dons, 
les campagnes d’adhésions et les inscriptions à des évènements via une billetterie en ligne.
En plus de ces outils, HelloAsso permet aussi le micro-financement des associations. Engagement totalement indolore
 pour le donateur, le don-minute permet de reverser 5 centimes à l’association de son choix en visionnant
 un film publicitaire. Ce procédé a déjà permis de collecter 130 000 euros !
Persuadée que les associations peuvent être partout sur le web, l’équipe de HelloAsso a également développé plusieurs
 partenariats, mettant ainsi le principe de la générosité embarquée au cœur de leurs actions.
Ainsi, partenaire du programme L’ARRONDI, HelloAsso a réalisé en collaboration avec Payzen la partie technique 
permettant aux internautes d’arrondir à l’euro supérieur en faveur d’une association lors de leur achat sur une boutique
 en ligne.
Des expérimentations avec des collectivités, (la maison des associations du 2ème arrondissement de Paris), ou 
avec des entreprises, (Pages Jaunes ou SFR), ont également vu le jour afin de renforcer les opportunités pour
les associations de toutes tailles à vocation humanitaire, culturelle ou sportive.
Outil entièrement gratuit, HelloAsso se rémunère en partie grâce aux pourboires laissés par les internautes.
A propos de HelloAsso
Créée par Ismaël Le Mouël, Léa Thomassin et Bruno Humbert, Mailforgood accompagne depuis 2010 
les associations dans leurs collectes de dons sur internet. En Novembre 2013, Mailforgood élargit 
son action et lance HelloAsso, première plateforme de collecte dédiée aux associations qui permet 
aux internautes de découvrir des associations et de participer à leurs actions. Ouverte à toutes les
associations françaises, qu’elles soient caritatives, sportives ou culturelles, HelloAsso leur offre une
solution unique pour gagner en visibilité et financer leurs actions sur internet : collectes, adhésions 
ou encore inscriptions à leurs évènements. La solution HelloAsso est entièrement gratuite, une partie
 de la rémunération provenant de pourboires laissés par les internautes
Mailforgood et HelloAsso sont à l’initiative de la Social Good Week, une semaine consacrée au numé
rique solidaire qui se tiendra du 9 au 15 décembre 2013 partout en France.
 www.mailforgood.com
 www.helloasso.com
Mathilde ROCHE
Cabinet ESCAL Consulting
Tél : +33 (0)1 44 94 95 74


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UN CONGRES DES MAIRES A HAUT RISQUE
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source l'express

Un Congrès des maires à haut risque pour le gouvernement
Par , publié le 

Les maires et les présidents de communauté urbaine de toute la France se réunissent à Paris ce lundi. L'occasion de se regrouper pour se défendre face à un ennemi commun: le gouvernement. 


Un Congrès des maires à haut risque pour le gouvernement
Une manifestation rassemble une centaine de maires contre le projet de métrople dans les Bouches-du-Rhône, le 21 décembre 2012 devant le Parc des Expositions à Marseille.
AFP / ANNE-CHRISTINE POUJOULAT

Venus de toute la France, ils seront plus de 11 000 à se réunir à Paris pour le 96e Congrès des maires de France à partir du 18 novembre. Une partie des 36 000 maires français se rassemble dans une ambiance morose. Le moral des édiles dégringole, ils se sentent "délaissés, abandonnés, mais surtout mis au pilori assez régulièrement", d'après André Laignel, maire (PS) d'Issoudun (Indre) et numéro 2 de l'Association des maires de France (AMF). La dizaine de ministres qui iront à leur rencontre cette semaine risquent d'essuyer les vives critiques des maires, dont les raisons de grogner ne manquent pas. 
  • Les maires n'en peuvent plus de se serrer la ceinture
En début 2013, les maires ont dû gérer une annonce douloureusepour leurs finances. L'Etat a décidé de faire baisser de 1,5 milliards d'euros les dotations qu'il attribue toutes les années aux collectivités locales. Ces coupes interviendront en 2014 et 2015. 
Pour compenser, il leur faudra, au choix, augmenter les impôts locaux ou tirer un trait sur des investissements. André Laignel craint d'autant plus ces coupes budgétaires que les charges augmentent pour les communes. Entre la hausse des taux deretraites pour les agents, la hausse de la TVA sur les services publics, les transports et les déchets, mais aussi la réforme des rythmes scolaires, c'est une "contrainte financière sans précédent", selon lui. En comptant uniquement la réforme Peillon, les collectivités locales auront à gérer 2 milliards d'euros de dépenses en plus, d'après Jacques Pélissard, maire (UMP) de Lons-le-Saunier (Jura) et président de l'AMF. 
  • La réforme des rythmes scolaires ne passe pas
Lors du précédent Congrès des maires de France, François Hollande avait accordé un répit aux élus locaux pour faire appliquer la réforme de son ministre de l'Education. Mais à force d'en discuter, l'inquiétude grandit auprès des maires. "Ils sont préoccupéspar les récits des communes qui ont déjà mis en oeuvre la semaine de quatre jours et demi", explique Jacques Pélissard auFigaro
Ils demandent donc un nouvel aménagement dans la mise en oeuvre de la réforme, en 2014. Quelques dizaines de maires de l'opposition ont refusé de l'appliquer, une mutinerie rare chez les élus de la République. Vincent Peillon, qui sera présent jeudi 21 novembre, recueillera leurs desideratas. Reste à savoir s'il les prendra en compte. 
  • La décentralisation les prive de certains pouvoirs
La ministre de la réforme de l'Etat, de la Décentralisation et de la Fonction publique Marylise Lebranchu sera en première ligne pour faire face à la fronde des maires, porte de Versailles où se tient le congrès. Les maires se crispent particulièrement sur les Plans locaux d'urbanisme. Ces planifications d'aménagements du territoire reviendront en priorité aux intercommunalités (agglomérations, communauté urbaine, ...). "C'est un projet qui s'attaque à la liberté des communes, à la liberté de fixer des plans locaux d'urbanisme, de mutualiser entre les communes selon les spécificités des territoires, les moyens techniques et humains", précise Jacques Pélissard. 
  • Le "choc de simplification" qui ne vient pas
Le rapport sur l'inflation normative, rédigée notamment par le maire (PS) du Mans Jean-Claude Boulard s'inquiétait du nombre grandissant de lois et de décrets que les maires n'arrivent plus à gérer. Ils attendent que le choc de simplification promis par François Hollande "se concrétise enfin", désespère André Laignel. L'Association des maires des grandes villes de France demande en priorité qu'un travail de recensement soit effectué pour identifier "les normes absurdes" qui s'imposent aux élus. 
  • Et François Hollande qui ne vient pas ...
Certes, les présidents ne se rendent pas systématiquement au Congrès des maires de France. Nicolas Sarkozy lui-même avait préféré y envoyer son Premier ministre François Fillon, accueilli par des huéesJean-Marc Ayrault risque-t-il la même déconvenue? "Il y aura sans doute quelques manifestations d'humeur" mais "les maires sont des hommes et des femmes responsables qui respectent la règle de l'accueil républicain", explique Jacques Pélissard.  
Les maires regrettent l'absence du président français, alors même que nombre d'entre eux termineront leur mandat dans peu de temps, après les élections municipales de 2014. 

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/un-congres-des-maires-a-haut-risque-pour-le-gouvernement_1300504.html#hpTmShxxLqO4cvlF.99

Programme ;
http://www.amf.asso.fr/congres2013/page.asp?BOM_N_ID=

Dossier de Presse
http://www.amf.asso.fr/document/fichier.asp?FTP=AMF_12313_DOSSIER_DE_PRESSE.pdf&ID_DOC=12313&DOT_N_ID=58http://www.amf.asso.fr/document/fichier.asp?FTP=AMF_12313_DOSSIER_DE_PRESSE.pdf&ID_DOC=12313&DOT_N_ID=58
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UN CONGRES CERTAINEMENT PLUS NOURRI EN CONTENU & STUDIEUX QUE LES AUTRES ANNEES A CÔTE DES SUJETS DE GRANDS MECONTENTEMENT CAR C'EST UNE OCCASION DE COMPARER LES EXPERIENCES ENTRE MAIRES & DE RESSERER LES RANGS EN PERSPECTIVES DES ELECTIOINS & DE LA REFORME DES COLLECTIVITES
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RAPPEL : FINANCES LOCALES : 

LES PRÊTS TOXIQUES.......& L'ALTERNANCE.......

......PARDON MAIS VOILA UN TRES TRES GROS "CACA" TRES GLISSANT & NAUSEABOND LAISSE PAR L'AN CIEN GOUVERNEMENT TRES GÊNANT AVEC LES BANQUES QUE L'ON VEUT MOBILISER PAR AILLEURS POUR BOOSTER L'ECONOMIE EUROPEENNE..

.....LE GOUVERNEMENT A CHOISI DE PAYER LA  FAC TURE DES PERTES DU PUITS SANS FONDS FINANCIER & DE L' INDEMNISATION DES COLLECTIVITES COU LEES & TOUCHEES.

..............ET LE PARLEMENT EN ECRAN DE FUMEE A VALI DE LA CREATION D'UNE AGENCE DE FINANCEMENT DES COLLECTIVITES LOCALES QUE NOUS PRO POSONS DE RENFORCER INSTITUTIONELLEMENT POUR QUE LES BANQUIERS,APRES LA MAFFIA DU BTP,ALLECHES PAR DE GROS PROFITS"NE FUMENT PLUS DE LA  MOQUET TE" ..

..& PUISSENT RESPECTER EN CITOYENS & NON EN ACTEURS FINANCIERS SAN FOI NI LOI, A L'AVENIR LES ELUS DE LA NATION & NOS INSTITUTIONS REPUBLICAI NES QUI NE SERONT PLUS "DES VACHES A LAIT" !!.

...CAR DORENAVENT LES MARCHES PUBLICS DEVRONT FAIRE COHABITER LES ENTREPRISES CAPITALISTI QUES & LES ENTREPRISES SOCIALES QUI RELEVERONT DE LA LOI EN INSTANCE DE VALIDATION PARLEMENTAI RE SUR L'ECONOMIE SOCIALE & SOLIDAIRE...

...POUR L'ACCES AUX MARCHES PUBLICS N'EN DEPLAI SE AUX CHAN TRES DE L'ULTRA- LIBERALISME BOUTON NEUX DU SITE "ATLANTICO" OU D'UN MEDEF DEVENU ANKILOSE PAR LA VIEILLESSE DE SES DIRIGEANTS OU REDEVENU NEO- PETAINISTE..MONTES AU CRÊNEAU DE L'ECONOMIE SOCIALE & SOLIDAIRE (QUI AFFICHE 10% DE MASSE SALARIALE EN CONSTANT PROGRES) 

....FAISANT AINSI LE CHOIX DES FORCES ECONOMI QUES IMMOBILISTES DU CAC 40 QUI SE DISPENSE RAIENT BIEN VOLONTIERS DE L'INNOVATION SOCIALE EN SE MASQUANT DERRIERE LES PME QUI ELLENT FONT L'EXPERIENCE DE L'INNOVATION SOCIALE.....

......ET QUI N'ONT FRANCHEMENT PLUS D'INTERÊTS REELS COMMUNS...

....MAIS ELLES L'IGNORENT & AURAIT INTERÊT DE SE RAPPROCHER DU CENTRE DES JEUNES DIRIGEANTS QUI ONT SU EN LEUR TEMPS SE SEPARER DES VIEUX GRIBOUS DU PATRONAT RETROGADE EN......1936, SUITE AUX AC CORDS DE GRENELLE......!!!!

QUE VIVE UNE NOUVELLE ORGANISATION DE DIRI GEANTS ECONOMIQUES, SOCIAUX & INNOVANTS & QUI VONT CHERHER LES NOUVEAUX MARCHES PLUTÔT QUE DE PLEURNICHER SUR LES CHARGES QUI ASSURENT LA PROTECTION SOCIALE......PAS LA LEUR....!

                                 LA PLUME DU SERPENT                

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 ....LE SCANDALE DES PRÊTS TOXIQUES & DE L'ENDET TEMENT ABYSSINAL DE CERTAINES COMMUNES PIE GEES SUITE A UN RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES

:................CA VOUS INTERESSE....??????...........

http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20131115trib000795932/emprunts-toxiques-une-rallonge-de-15-milliard-d-euros-pour-certaines-collectivites.html
http://www.ccomptes.fr/Actualites/A-la-une/Dexia-un-sinistre-couteux-des-risques-persistants
http://www.revue-banque.fr/revue-banque/numero-725
http://www.emprunttoxique.info/
http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20131115trib000795932/emprunts-toxiques-une-rallonge-de-15-milliard-d-euros-pour-certaines-collectivites.html
http://www.collectivites-locales.gouv.fr/dossier-sur-emprunts-toxiques
http://benoit-fleury.blogspot.fr/2013/03/benoit-fleury-agence-financement-collectivites.html


 A COMPARER AVEC LA PETITE AFFAIRE DES RYTHMES SCOLAIRES.....
CERTAIN(E)S ONT LA MEMOIRE TRES SELECTIVE & COURTE.....!!!!!
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POUR MEMOIRE POUR LES AMNESIQUES DU GOUVERNEMENT PRECEDENT :
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FINANCES PUBLIQUES & FINANCEMENTS TOXIQUES : LE SCANDALE DU SIECLE 
(pour mémoire financements indexés sur des monnaies emergentes) POUR LES COMMUNES AUX FINANCES COULEES A PIC VITE ETOUFFE...BIEN PLUS PERNICIEUX QUE L'ECOTAXE .....PAR LA COUVERTURE BUDGETAIRE & LES ACTEURS FINANCIERS FAUTIFS SAUVES DU NAUFRAGE....

......UNE FACTURE DE PLUSIEURS MILLIARDS QUI AURAIENT PU ÊTRE UTILES AILLEURS...NON  .....?............(voir le rapport de la cour des comptes) !

OU SONT LES CHRONIQUEURS ECONOMIQUES & FINANCIERS BIEN APHASIQUES SURTOUT CEUX EXPOSES AUX CHRONIQUES SPONSORISEES PAR LES ACTEURS DE LA PLANETE FINANCIERE IMPLIQUES DE PRES OU DE LOIN COMME COURTIERS MAL INSPIRES SUR LE SUIVI DE CE SCANDALE MAJEUR PRESQUE DE LA MÊME NATURE QUE L'AFFAIRE DES "AVIONS RENIFLEURS"...

.....CE QUI POSE LE PROBLEME DU STATUT & DE LA PROTECTION DES ELUS "PIEGEABLES" (EXPOSES AUX PREDATEURS FINANCIERS A L'AFFÛT DE BONNES AFFAIRES SUR LE MARCHE FINANCIERS DES COLLECTIVITES) & QUI NE DISPO SENT PAS DES CONSEILS COMPETENTS FAUTE DE MOYENS OR LEURS PREDATEURS CONTINUENT A SEVIR ENCORE POUR CERTAINS DANS DES LIEUX COMME LE  SALON DES MAIRES, UN DES LIEUX EMBLEMATIQUES QUI REUNISSENT  ICI  OU EN REGION, DES CARREFOURS DES PRESTATAIRES ECONOMIQUES ECOLOGIQUES, FINANCIERS & AUTRES SERVICES UTILES OU NON, OUVERT POUR CE SALON A LA PORTE DE VERSAILLES DE TRADITION PARALLELEMENT AU CONGRES DES MAIRES DE FRANCE.......

AUTOUR DE L'AGENCE DE FINANCEMENT DES COLLECTIVITES LOCALES, LA CAISSE DES DEPÔTS & CONSIGNATION AIDEE DE MAGISTRATS DES COURS DES COMPTES REGIONALES AVEC LES  DIRECTION REGIONALES DES COLLECTIVITES & LES DIRECTIONS REGIONALES DE LA CONSOMMATION & DE LA PREVENTION DES FRAUDES DES MINISTERES DES  FINANCES & DU BUDGET(TRESOR PUBLICQUI PEUT AUSSI APPORTER DU CONSEIL) & POURQUOI PAS EN PARTENARIAT AVEC LES CHAMBRES DE COMMERCE POURRAIENT METTRE EN PLACE  DES DELEGATIONS PREFECTORALES & REGIONA LES POUR ACCOMPAGNER LES ELUS A LA RECHER CHER DES FINANCEMENTS SECURISES DU MARCHE FINANCIER NON PUBLIC

A SUIVRE........PEUT-ÊTRE.......SINON.......LE GRAND "GLOU....GLOU......" !!!!!!
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ECONOMIE POLITIQUE
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LES PIEDS DANS LE PLAT.............

Le remaniement administratif à Bercy serait une bonne nouvelle


Communiqué de Jean-Luc Laurent, Président du Mouvement Républicain et Citoyen, Député du Val-de-Marne, mercredi 20 novembre 2013.



Le Gouvernement s’apprêterait à changer les directeurs de deux directions fondamentales du Ministère de l’Economie et des Finances : celle du Trésor et celle du Budget. Au lendemain de l’annonce par le Premier Ministre d’une réforme fiscale que je souhaite ambitieuse, juste et productiviste, ce remaniement administratif serait logique. 

L’actuel Directeur du Trésor, M.Ramon Fernandez, est un haut fonctionnaire reconnu qui a été un collaborateur direct de Nicolas Sarkozy à l’Elysée avant de prendre la Direction du Trésor. M.Fernandez a conçu et exécuté la stratégie de défense à tout prix de la note AAA en collant systématiquement à l’Allemagne d’Angela Merkel. Son départ vers d’autres fonctions serait une bonne nouvelle. 

J’ai trop souvent dénoncé l’emprise du Triple B (Bercy, Bruxelles, Berlin) pour ne pas soutenir ce probable remaniement domestique. Pour être pleinement satisfaisants, ces changements administratifs doivent contribuer au renforcement du pilotage politique de ce grand ministère afin que le Parlement soit moins malmené et avant que la France ne devienne ingouvernable.

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INTERNATIONAL :


source EL WATAN du 27 novembre 2013
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A LA UNE ACTUALITÉ

Malka Haim. Expert américain au Centre international des études stratégiques

«En Algérie, il n’y a pas de secteur attractif en dehors des hydrocarbures»

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le 27.11.13 | 10h00

Pour l’expert américain, la politique de l’Administration Obama ne manque pas d’incohérences quand il s’agit du Maghreb.

Invité par l’Institut de diplomatie et des relations internationales (IDRI), Malka Haim, expert américain au Centre international des études stratégiques, a tenté, hier, d’expliquer à un parterre de diplomates, d’étudiants et de journalistes, la politique de l’Amérique au Maghreb et au Moyen-Orient, sans pour autant être capable d’apporter des réponses aux nombreuses questions qui lui ont été posées lors du débat, tout en précisant que ses propos n’engagent que sa personne. L’expert affirme que le Maghreb est «mal connu», peut-être «parce qu’il est collé au Moyen-Orient, région  où les intérêts des Etats-Unis sont les plus importants».
Selon le conférencier, «les échanges algéro-américains sont basés exclusivement sur les hydrocarbures, qui connaissent d’ailleurs une diminution importante depuis que l’Amérique a opté pour une indépendance énergétique. En 2007, les USA exploitaient 443 000 barils/jour. En 2012, le chiffre a baissé sensiblement pour atteindre 120 000 barils/jour. Ce n’est pas de la faute des Etats-Unis, mais c’est qu’il n’y a pas eu d’autres secteurs plus attractifs que celui de l’énergie». Malka Haim estime que même si les relations algéro-américaines ont connu une «transition remarquable, cela reste insuffisant pour en faire un partenariat stratégique. Les deux pays doivent s’entendre sur le type de partenariat qu’ils veulent avoir à l’avenir. Ils ont certes des intérêts communs, mais ils ne sont pas nécessairement alignés».
Selon l’expert, les Américains «ne connaissent rien de l’Algérie, même pas son histoire, peut-être parce qu’il n’y a pas une importante communauté d’Algériens ou d’Américains qui ont vécu en Algérie pour vendre son image et créer des passerelles (…) comme l’ont fait par exemple les Saoudiens à travers 80 000 étudiants installés aux Etats-Unis». Il reconnaît que des divergences existent entre les deux pays : «Il est normal que l’Algérie ait un avis autre que celui des Etats-Unis. Elle a des problèmes à ses frontières, alors que les Etats-Unis développent une approche beaucoup plus élargie qui englobe de nombreux pays comme l’Egypte, la Syrie, le Qatar, etc.» Citant le conflit libyen, le conférencier souligne que «l’Algérie a une frontière avec ce pays et, de ce fait, se trouve dans une situation délicate. Pour sa part l’Amérique tient compte d’autres facteurs liés à ses intérêts dans toute la région».
Interrogé sur la position «complaisante» à l’égard du terrorisme durant les années 1990, l’expert répond : «Tout le monde sait que l’Algérie n’a pas été entendue, qu’elle a fait face seule au terrorisme et qu’il a fallu le 11 Septembre pour que les choses changent. Mais il ne faut pas rester figé (…) il faut aller au-delà.»
Sur la promesse – non tenue par les Etats-Unis – de trouver une solution à la question sahraouie faite à l’Algérie en 1984 en contrepartie de la résolution de la crise des otages américains en Iran, Malka déclare  : «Même si les USA soutiennent le plan d’autonomie présenté par le Maroc, cela ne veut pas dire qu’ils s’opposent aux décisions de l’ONU au sein du Conseil de sécurité. Aujourd’hui, leur politique est d’éviter de s’impliquer directement. L’Administration Obama ne veut plus de solutions à l’irakienne ou à l’afghane. Elle veut aller vers des partenariats stratégiques bilatéraux.»

Fardeau sécuritaire

Néanmoins, il se dit «vraiment perdu» parce qu’il ne «comprend pas la politique des USA au Maghreb (…) Peut-être parce que cette région est collée au Moyen-Orient, une grande partie du monde où les intérêts américains sont les plus importants». Pour expliquer cette approche, il révèle que pour 2014, l’aide prévue par les USA pour le Maghreb a été arrêtée à 103 millions de dollars alors que celle allouée au Liban, un pays qui compte seulement 3 millions d’habitants, atteindra 165 millions de dollars. L’expert tente d’expliquer ce «manque d’intérêt» par «les tensions qui minent» les relations entre les pays de la région et qui rendent «difficile toute politique globale». Ce qui a poussé, dit-il, les USA à «favoriser l’approche multilatérale».
Et de conclure que lorsqu’il s’agit du Maghreb, «la tendance est dans le soutien de la démocratie, des élections et des libertés, ce qui est en contradiction avec les gouvernements stables. Ce conflit d’intérêts mène à une politique incohérente. Comme cela a été le cas lorsque Obama a demandé à Moubarak de quitter le pouvoir, puis il a soutenu les militaires pour chasser les islamistes qui l’ont remplacé». Pour lui, la politique américaine au Moyen-Orient «est beaucoup moins ambitieuse que pragmatique. L’Amérique ne peut plus imposer des solutions. Elle privilégie les canaux diplomatiques, refuse d’intervenir en Syrie mais aussi au Mali bien qu’elle ait été sollicitée. Sa nouvelle stratégie est d’aider les Etats par la fourniture d’équipement, d’armement, pas en envoyant des soldats. Elle ne veut pas subir le fardeau sécuritaire seule, mais avec des alliés. Elle a développé de nouveaux cadres de coopération, notamment au Maghreb, région où un dialogue stratégique, basé sur la lutte antiterroriste, a été engagé avec l’Algérie et le Maroc».
A propos du Moyen-Orient, il déclare : «Les alliés estiment que cette politique est incohérente et manque de vision vers l’avenir, alors que l’opposition interne et des membres du Congrès la critiquent sévèrement en raison des crises qui ont secoué la région, les Printemps arabes.» L’expert tente d’en comprendre les raisons à travers ce qui se passe à l’intérieur de l’Amérique : «Le pays est en pleine mutation. Il connaît des changements importants. Il bascule progressivement d’une puissance militaire vers une puissance diplomatique pour servir ses intérêts. Il est surendetté, 16 trillions de dollars. Les deux guerres qu’il a menées ont causé des milliers de morts et engendré des dépenses de 1,3 trillion de dollars. Les facteurs sont aussi bien exogènes qu’endogènes. Les puissances économiques ne sont plus homogènes, des groupes de criminels sont capables de paralyser les systèmes financiers, ce qui a eu un impact considérable sur les politiques internes, habituées à une gestion classique des menaces. Une mutation des stratégies était nécessaire (…) et une réévaluation des intérêts est devenue capitale (…). L’Amérique d’hier n’est plus celle d’aujourd’hui.»
Salima Tlemçani


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Les REALITES D'UN QUARTIER DE L'AGLOMERATION D'ALGER AU NOM MYTHIQUE : BAB EL OUED AUJOURD'HUI, RENCONTRE AVEC LE PREFET(WALI)



Afghanistan: sept talibans tués dans l'explosion prématurée d'un enginSahara occidental: Barack Obama pour une solution ''mutuellement acceptable''Effondrement d'un supermarché à Riga: le bilan monte à 52 morts (police)Explosion d'un oléoduc en Chine: le bilan passe à 47 mortsSuivez-nous sur Twitter : @JournalLiberteDZSuivez-nous sur Facebook:www.facebook.com/JournalLiberteOfficielChaque édition de la version papier (articles et PDF) est mise en ligne sur le site à 10h (GMT+1) et cela depuis le 05 octobre 2011
ActualitéSamedi, 23 Novembre 2013 09:50Facebook Imprimer Envoyer Réagir

En visite jeudi à Bab El-Oued

Le wali découvre la colère des Algérois

Par : Ali Farès
Le nouveau wali d’Alger ne veut pas des sentiers battus, encore moins des rapports stéréotypés distillés par les spécialistes du tout va bien. La sortie de jeudi dernier dans cinq communes de la circonscription de Bab El-Oued est assez révélatrice de sa politique d’aller vers la population. Mais la route qui y mène n’est pas sans embûches et Abdelkader Zoukh l’a appris dans la salle des fêtes faisant face au mausolée de Sidi-Abderrahmane. C’est dans cette salle, pleine comme un œuf, qu’il a rencontré les élus et la société civile de l’historique Bab El-Oued. L’atmosphère est, dès l’entame, électrique. Et si les premiers ont exposé chacun les problèmes spécifiques à sa commune, des citoyens, dont certains confondant doléance et manifestation, ont dévié le débat de son objectif pour s’adonner à l’agression verbale. En fait, on attendait quelque part cette visite pour crier sa colère, sachant que le quotidien de la majorité des communes de cette circonscription fait face à une multitude de problèmes. Ouvrant la liste des doléances, le P/APC de Bab El-Oued soulève la question des 38 immeubles menaçant ruine (IMR) dont il est urgent de reloger les familles qui les occupent. Cette commune de plus de 80 000 habitants ne dispose pas de Maison de culture pour les jeunes qui composent 80% de cette population. Une salle omnisports et un marché de proximité sont également cités comme besoin. Le maire de Bologhine pose un problème de taille : la commune n’est pas cadastrée d’où un manque cruel d’espace devant servir à des projets d’utilité publique. Selon le maire, 470 citoyens sont menacés d’expulsion des maisons qu’ils occupent et qui appartiennent aux waqfs. Pour le maire de Raïs-Hamidou, la commune dispose d’un très faible budget (10 milliards de centimes) qui reste insuffisant. La localité est divisée en deux zones où quelques disparités existent. Le littoral relativement mieux nanti et la partie montagneuse, dont beaucoup de quartiers ne sont pas, cinquante ans après l’Indépendance, branchés au gaz de ville. Cette partie de la commune, notamment les hauteurs de la Vigie, n’a pas d’école primaire, et les enfants sont obligés de parcourir, été comme hiver, 4 kilomètres pour rejoindre l’école la plus proche. L’élu d’Oued Koriche soulève le même problème lié au faible budget de la commune (17 milliards de centimes) dont 15 milliards constituent la masse salariale. La commune est connue pour compter des bidonvilles ne disposant même pas d’une polyclinique pour les urgences ni d’une salle omnisports pour occuper les jeunes. D’autres manques viennent aggraver le quotidien des habitants, donnant souvent lieu à des rivalités entres jeunes des différents quartiers. Là aussi, l’APC a recensé 90 immeubles IMR, pendant que, faute de mieux, les terrasses de la cité Climat-de-France sont toutes occupées par des constructions précaires. Un élu de La Casbah a fait une véritable plaidoirie sur la vieille cité qui compte actuellement plus de 300 maisons menaçant ruine, citant le dernier cas de cette “douéra” dont la famille a été évacuée mercredi. Parallèlement et dans un réquisitoire qui a retenu l’attention de tous les présents, l’élu a fustigé ceux qui ont bloqué les budgets de la commune pendant cinq ans. “Aujourd’hui, la commune ne dispose de commodités ni culturelle, ni scientifique, ni sportive, même si un milliard de dollars a été débloqué pour la réhabilitation de ce patrimoine. De même qu’il y a lieu de signaler que La Casbah compte, depuis 1986, cinq centres de transit avec 31 immeubles, qui risquent de s’écrouler à tout moment”, dira l’élu.  Le wali, qui n’a pu intervenir devant l’anarchie créée par certains intervenants de la société civile, a tenu un point de presse au siège de la wilaya où il a réaffirmé les engagements pris pour trouver des solutions dans les meilleurs délais aux problèmes exposés par les élus. Le volet lié à La Casbah, étant l’une des préoccupations majeures du gouvernement de par son statut de patrimoine mondial, sera pris en charge avec un suivi rigoureux de la réhabilitation dans la mesure où le nerf de la guerre est disponible. Concernant les autres volets liés aux IMR et au manque de commodités signalé par les élus, la wilaya étudiera toutes les demandes en fonction de la disponibilité du foncier qui reste, il faut le dire, une denrée rare à Alger.
C’est d’ailleurs l’une des causes principales qui retardent cette question au niveau de la capitale. Le manque d’assiettes n’est pas pour aider à créer des marchés dits parisiens. Cependant, comme l’a soulevé ce pharmacien exerçant près de Trois-Horloges et dont l’entrée de son commerce est constamment occupée par les petits vendeurs, le marché informel est devenu un véritable fléau pour les commerçants officiels.
20/11/2013
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COOPERATION INTERNATIONALE & COLLECTIVITES LOCALES

MAIRIE DE PARIS & COOPERATION INTERNATIONALE


source "el watan" du 23 novembre2013 & nôtre rédaction en complément

le Maire de Paris en visite à Alger

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Communiqué Ville de PARIS

OMMUNIQUÉS DE PRESSE

Bertrand Delanoë en déplacement en Algérie

21/11/2013

Bertrand Delanoë se rendra à Alger du 24 au 26 novembre pour promouvoir la coopération entre Paris et la capitale algérienne. Il sera accompagné par Pierre Schapira, adjoint chargé des relations internationales, des affaires européennes et de la francophonie.
Le 25 novembre à 10h30, le maire rencontrera Abdelkader Zoukh, Wali d’Alger, à la Wilaya. Ce sera l’occasion de faire un bilan de la coopération bilatérale et d’établir les nouvelles perspectives pour le partenariat entre les deux capitales. A 11h30, le maire et le wali visiteront ensemble le Jardin d’Essai du Hamma, principal espace vert d’Alger, rénové avec l’appui de la Ville de Paris. Un échange avec la presse est prévu à la fin de la visite. 
Dans l’après-midi, le maire s’entretiendra avec Abdelmalek Sellal, Premier ministre algérien. Comme avec ses autres interlocuteurs au cours du déplacement, cet entretien sera l’occasion pour le maire de rappeler les actions de la Ville de Paris dans le travail de mémoire depuis 2001, notamment avec la commémoration annuelle de la répression sanglante du 17 octobre 1961 à Paris quand de nombreux algériens ont été tués alors qu’ils manifestaient pacifiquement pour le droit à l'indépendance. En 2012, le Président François Hollande a reconnu avec lucidité ces faits et rendu hommage à la mémoire de victimes. 
Le matin du 26 novembre est prévu un entretien entre le maire et Ali Yahia Abdennour, Président d'honneur de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme. Une rencontre est également prévue avec Tayeb Belaiz, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales.

Coopération Paris-Alger

Paris et Alger ont signé un accord d’amitié et de coopération en 2003. La rénovation du Jardin d’Essai du Hamma a été achevée en 2009 au terme de quatre années de travaux de réhabilitation menés par la Wilaya d’Alger avec l’appui technique de Paris. Créé en 1832 et s’étendant sur plus de 30 hectares au pied du monument aux Martyrs, le Jardin a longtemps été le joyau d’Alger, principal espace vert en centre-ville. Fermé dans les années 1990, il est redevenu aujourd’hui un lieu de loisirs fréquenté par un million de personnes chaque année. Depuis sa réouverture, des agents de la Direction des Espaces Verts et de l’Environnement (DEVE) de la Ville de Paris y ont assuré des sessions de formation à la reconnaissance florale auprès de trente agents de l’Ecole d’horticulture du Jardin d’Essai. Un Guide illustré de la flore algérienne a été coédité par les deux Villes en 2012. Premier ouvrage du genre depuis les années 1960, c’est un outil précieux de sensibilisation des jeunes générations aux enjeux environnementaux.

Les deux capitales ont également créé en 2007 une Ecole de la Propreté d’Alger, sur le modèle de son homonyme parisienne. Rattachée à l’établissement public NET COM qui effectue la collecte des déchets ménagers, elle assure chaque année la formation de plus de 300 agents de la propreté, avec l’appui d’agents de la Direction de la Propreté et de l’Eau (DPE) de la Ville de Paris. Ce projet s’insérait dans un vaste programme de mise en place d’un schéma directeur de la gestion des déchets du Grand Alger, mené avec le Conseil général des Bouches-du-Rhône et cofinancé par le Ministère français des Affaires Etrangères. Le succès de l’Ecole de la Propreté a inspiré sa duplication à Tunis.
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le 23.11.13 | 10h00





zoom | © Lyès. H.


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NOUS DECOUVRONS UN TRAVAIL CONTINU DE COOPERATION ENTRE LES DEUX CAPITALES

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QUESTION :

CAP SUR L'AMENAGEMENT DES EQUILIBRES DE LA VILLE & DE LA CULTURE........................: 

              PARIS PEUT-IL AIDER ALGER POUR SON AMENAGEMENT SOCIO-CULTUREL DANS UNE SITUATION ALARMANTE DURABLE & POUR LE MOMENT CHRONIQUE BLOQUEE (voir article plus haut sur la rencontre wali d'Alger & BAB-EL-OUED) A L'EXEMPLE NOTAMMENT POUR REVEILLER LE LOISIR CULTUREL & DU CINEMA A ALGER & AIDER A LA CREATION DE LIEUX CREATIFS & DE FORMATION PROFESSIONNELS & A LA REOUVERTURE DES SALLES FERMEES (COMME A PARIS POUR LE "LOU XOR" AU QUARTIER  BARBES)  QUI ONT FAIT LE CINEMA A ALGER MIS A PART LA CINEMATHEQUE.. ....& PERMETTRE LA RECONSTITUTION D'UN PUBLIC DE CINEPHILES AVIDES DE VOIR LES FILMS ALGERIENS DONT CEUX PRIMES DANS LES FESTIVALS PARTOUT DANS LE MONDE & FINANCES EN FRAN CE DONT IL EST PRIVE ?
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Le Maire de Paris, Bertrand Delanoë, -d'origine tunisiennne de BIZERTE(ndnr: note de nôtre rédaction) effectuera une visite de trois jours à Alger à partir de demain Dimanche 24 novembre 2013

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Cette visite s’inscrit dans le cadre de la promotion de la coopération entre les deux capitales française et algérienne. M. Delanoë sera accompagné de son adjoint chargé des relations internatio nales, des affaires européennes et de la francophonie, Pierre Schapira
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(ndnr-ce que vous ne dira pas le commu niqué de la ville de Paris, Pierre SHAPIRA qui reçoit les autorités Maro caines en grandes pompes à l'hotel de ville à Paris(& le Tunisien BEN ALI en son temps venu voir son compa triote natif de BIZERTE),Le Maire de PARIS), est plutôt connu pour ses positions sionistes respectables mais réputées musclées proche de celles du Premier Ministre Benyamin Natanyahu qui se sent comme chez lui à l'hotel de ville de PARIS, grâce à Pierre Shapira, (la contra diction de certains  juifs socialistes à Paris & likoud en Israel comme tous ceux qui parlent de paix en pratiquant & soutenant de fait le statut quo avec l'isolation de la Bande de Gaza comme un ghetto digne de celui de Varsovie(la comparaison n'est pas excessive dans le temps) régulièrement bombardée  & affamée selon les bons désirs de Dame "Sécurité" qui s'est autorisée à tuer en victimes de dômâges colateraux  plus de 1400 innocents dont 400 enfants dont l'essentiel de la famille du méde cin palestinien de l'hôpital yad vashem à jérusalem aimé de tous qui a dû s'exiler au Canada pour se reconstruire avec ce qui restait de ses enfants,

 ISRAEL, est un pays attachant, intelli gent, hospitalier & que l'on admire souvent, même en Algérie & dans le Monde Arabe malgre les clichés tenaces exploites par les ultra des deux camps, mais un pays qui commence àussi à exaspèrer l'Europe acculée dans une impasse de la paix imposée, qui s'auto rise à bombarder régulièrement Le LIBAN & la Syrie pour montrer sa force, avec un silence contraint de la Turquie qui subit la situation syrienne, sans aucune  remontrance ou rappel même formel de l'OTAN, imposant sa loi du retour sur le peuple palestinien en empêchant la sienne arguant de son obsession sécuritaire qui perdra à force l'identité future d'israel & l'avantage pseudo-démocratique avec les partis religieux qui font la loi, comme sur le reste du monde arabe. 


Un pays dit civilisé qui s'autorise des excès néo-nazis & militaires pour le moment avalisés par la communauté internationale comme un acte manqué pour venger 50 morts à SDEROT en trois ans) 


Cet élu français, devra constater & mesurer que beau coup d'Algériens & d'Algériennes qui ont les juifs dans leur histoire leur mémoire, & parfois leurs gênes, & considèrent qu'une Algerie "judenrein"(vidée de juifs) ne va pas dans le sens de l'histoire de l'humanité, un mauvais coup de l'histoire,souhaitent aller voir Israel & souhaitent pouvoir y aller........& mieux connaître ce peuple juif d'israel dont on parle tant & d'aller à la rencontre des territoires palestiniens

préfigurant dit-on l'Etat Palestinien proclammé à ALGER.......

..Que pourra-t-il faire pour ça !!!

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   Peut-être amorcer un travail de cooperations avec les collectivités israéliennes & palestiniennes via les program mes européens de coopération des collectivités sur la zone euromed pour amener les etats à avancer sur de nouvelles relations diplomatiques apaisées évoquées par le président BOUTEFLIKA bien reçu à l'hotel de ville de Paris au moment des obsèques de sa majesté HASAN II

   Peut-être que cette double "culture" pourrait-être bénéfique pour les relations franco-algériennes de ce volet de coopération intercités & intercapitales....& ouvrir de nouvelles perspectives du volet euroméditer rannéen auquel la ville de paris n'est pas éloignée à cause de l'en gagement de la région ile de france qui a mis au point un DISPOSITIF MEDITERRANEEN ....& découvrir par exemple les associations de la société civile du programme "JOUSSOUR/PCPA" (http://pcpalgerie.org/accompagné par l'agence française de développement & Le "Quai d'Orsay", demander à rencontrer les responsablla réduction du périmètre de la corruption es associatifs pour Alger, & inciter le WALI d'ALGER à partenariser ses actions & à collaborer avec les acteurs de la société civile, l'administration algérienne ayant souvent pris les stygmates & mauvaises habitudes françaises du modèle napoléonien ou de la bureaucratie stalinienne empruntée au fameux centralisme démocratique.

Enfin, à la lecture de l'article sur la rencontre entre le nouveau Wali d'Alger & les élus de la commune de BAB-EL-OUED, il y a des problèmes d'aménagement & de gestion du bâti à sauver, préserver & restaurer devant la rareté du foncier, après RATP-Algérie pour la gestion du Métro & du tramway d'alger, la régie Immobilière de la ville de Paris pourrait apporter son expertise pour aider le wali d'alger à affronter les défis de l'habitat, l'aménagement de la Casbah classée Patrimoine mondial de l'UNESCO pour lequel il semble que les moyens existent & le grand défi de l'aménagement de la BAIE d'ALGER où la Capitale semble plus lente à travailler à sa modernisation & son embellissement que la ville d'Oran(WARAN)...


....le Périmètre de la corruption n'est parfois qu'une question d'organisation rationelle


la ville de Paris pourrait sur cette question apporter une vraie expertise de retour d'expériences positives.....!!!! 


Qui sait ?.......INCH'ALLAH SCHAPIRA.......


PRES LES POLITIQUES, CE SONT DES DYNAMIQUES QUI NOUS PREOCCUPERONS A L'ARTICULATION ENTRE LES AUTORITES LOCALES & LES ACTEURS DE LA SOCIETE CIVILE AFIN D'ACCOMPAGNER LES ACTIONS UTILES & NECESSAIRES POUR REUSSIR L'ENJEU DES DEFIS POUR LE FUTUR....!!!


 Aura-t-il la curiosité de se rendre au Palais du peuple où Yasser ARAFAT a proclamée la création de l'Etat Palestinien ?)


Un vent nouveau de tolérence, d'ouverture & de levées de tabous encore pesant sur la question des juifs en algérie, qui n'en est pas dans le peuple sauf chez quelques ignorants pseudo-religieux,  semble souffler à Alger pour l'Algérie  en acceptant de rencontrer cet élu français aussi engagé dans le sionisme dévoué au Premier Ministre Israélien Benyamin Natanyahou, auprès du Maire de Paris, Bertrand DELANOË......mais si nous sommes honnêtes, l'Algérie entretient des relations discrètes avec l'Etat d'ISRAEL sur plusieurs domaines dont la lutte contre le terrorisme "d'al khaida"&

divers sujets socio-économiques agrico les, alimentaires, environementaux (ges tion de l'eau) puisqu'il faut se souve nir avec l'OLP de Yasser ARAFAT que son destin arabe est lié à la Palestine du fait que la création de l'Etat Palestinien a été proclammé à Alger, alors que, de sources proches du dossier & de bonne foi maladroitement suggérées par les récits du correspondant du journal "le figaro" à alger qui parlait de batteries de DCA en alerte, le jour des festivités organisées de la proclamation au Palais du Peuple, à l'époque sous l'égide du système d'information protégée DE LA VI° FLOTTE USA par l'OTAN, les Israé liens QUI ONT ETE JUSQU'A BOMBARDER LE SIEGE DE L'OLP A TUNIS, ont jusqu'à crée le risque d'une alerte rouge en ZONE GEOSTRATEGIQUE PARTAGEE MEDITERRANNEENNE en voulant lancer une opération de bombardement de la ville d'Alger ce jour là pour déjouer l'impact géo-diplomatique préjudiciable aux intèrêts d'Israel à l'époque, & une opération commando de débarquement neutralisée sur la côte EST Algérienne (venu tenter de "libèrer" des agents israéliens infiltrés & démasqués par la Sécurité Militaire Algérienne aidée à l'époque par le KGB, la sécurité sovié tique en charge de la zone AFRIQUE remplaçée bientôt par les Algériens) stoppée par le Président des USA à l'époque,..

........MAIS TOUT CECI EST TRES LOIN & RELATIVISE FORT HEUREUSEMENT TANT PARFOIS LA BÊTISE ULTRA- SECURITAI RE EXCESSIVE DES RAISONS D'ETAT FACE A LA FORCE DE DE TERMINATION DES ENJEUX POUR LE PRESENT & LE FUTUR POUR DE JOURS MEILLEURS POUR LA COOPERATION & L'ENTENTE INELUCTABLE ENTRE LES PEUPLES........


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pour reprendre le fil de l'article :

Au programme de cette visite, une rencontre le 25 novembre avec le tout nouveau wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, pour «faire un bilan de la coopération bilatérale et établir les nouvelles pers pectives pour le partenariat entre les deux capitales», indique un communiqué de la mairie de Paris. Après une visite au Jardin d’essai du Hamma suivie d’une conférence de presse, le maire sera reçu par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal.
«Une occasion pour lui de rappeler les actions de la ville de Paris dans le travail de mémoire depuis 2001, notamment avec la commémoration annuelle de la répression sanglante du 17 Octobre 1961 à Paris, quand de nombreux Algériens ont été tués alors qu’ils manifestaient pacifiquement pour le droit à l’indépendance», note le même communiqué en rappelant qu’en 2012, le président François Hollande avait «reconnu avec lucidité ces faits et rendu hommage à la mémoire des victimes».
Au dernier jour de sa visite algéroise, Bertrand Delanoë s’entretiendra avec le président d’honneur de la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme, Ali Yahia Abdennour, avant de rencontrer le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz. Revenant sur les grandes escales de la coopération entre Paris et Alger, le communiqué de la mairie de Paris rappelle la signature en 2003 d’un accord d’amitié et de coopération, ainsi que la rénovation du Jardin d’essai dont les travaux achevés en 2009 ont été menés par la wilaya d’Alger avec l’appui technique de Paris.
«Depuis sa réouverture, des agents de la Direction des espaces verts et de l’environnement de la ville de Paris ont assuré des sessions de formation à la reconnaissance florale à trente agents de l’école d’horticulture du Jardin d’essai. Un guide illustré de la flore algérienne a été coédité par les deux villes en 2012. Premier ouvrage du genre depuis les années 1960, c’est un outil précieux de sensibilisation des jeunes générations aux enjeux environnementaux», note encore le même texte. Autre partenariat bilatéral, celui qui a lié les deux capitales en 2007 pour la création d’une Ecole de la propreté d’Alger sur le modèle de l’Ecole de propreté de Paris. «Rattachée à l’établissement public NetCom qui effectue la collecte des déchets ménagers, elle assure chaque année la formation de plus de 300 agents de la propreté, avec l’appui d’agents de la direction de la propreté et de l’eau de la ville de Paris», conclut le communiqué.
 
Rédaction nationale
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L'ECONOMIE SOCIALE EN DEBAT :

Pour une économie sociale et solidaire "de combat"


Voilà, c'est fait. L'économie sociale et solidaire (ESS) voulait être " reconnue ", elle l'est. Elle souhaitait changer d'échelle : elle en aura les moyens. Les entrepreneurs sociaux voulaient qu'on leur fasse une place sur la photo de famille : ils sont au premier rang. Dont acte : le projet de loi sur l'ESS présenté par Benoît Hamon et voté par le Sénat a le mérite d'exister et de proposer des dispositions qui faciliteront la vie des entreprises du secteur. Il suffirait donc à présent de se fondre dans le cadre institutionnel tracé par la puissance publique et d'y faire prospérer nos entreprises d'ESS en bons développeurs. Mais est-ce bien là ce que nous avions à revendiquer ? Une tribune de E. Antoine (Minga) S. Veyer (Coopaname) dans le Monde du 21/11/2013.
Doit-on par exemple se réjouir de la création de grands groupes associatifs recourant aux techniques, aux personnels, aux logiques de l'entreprise cotée pour asseoir leurs capacités ? Doit-on se féliciter du développement du microcrédit ou des fondations d'entreprises ? Doit-on se satisfaire de l'application de principes gestionnaires aux rapports entre pouvoirs publics et monde non lucratif ?
UN POIDS ÉCONOMIQUE CONSIDÉRABLE
Non, sans doute ! Et quel paradoxe ! Car en réalité, l'économie sociale et solidaire dispose d'ores et déjà de la capacité de transformation économique et sociale dont notre société a besoin. Grandes coopératives agricoles ou bancaires, mutuelles santé et d'assurance, réseaux associatifs d'éducation populaire ou d'intervention médico-sociale, syndicats, possèdent ensemble un poids économique considérable.
L'enjeu n'est donc ni un problème de taille, ni de reconnaissance institutionnelle, mais la cruelle absence d'un projet politique commun à ces organisations qui pourrait irriguer l'économie toute entière.
Ce projet émancipateur ne pourra pas être celui des grandes firmes, avides de social business et d'entrepreneuriat social, pour lesquelles la pauvreté est un marché d'avenir et qui prospèrent sur le délitement de l'État social.
Il sera plus sûrement celui de l'open source et du libre, des hackers et des mutuelles de travail, des makers et des monnaies non spéculatives, des bricolages juridiques et des solidarités locales.
NOTRE PROGRAMME 
A l'ESS "des bonnes causes", nous appelons donc à substituer une ESS "de combat". Voici notre programme. Il a le mérite de la simplicité. Il consiste à amener partout, dans tous les recoins de l'économie, à toutes les échelles, un questionnement légitime sur le pouvoir, la propriété, le savoir.
Ces questionnements qui ont justement doté la coopération, le mutualisme ou l'éducation populaire d'histoires riches en expériences fécondes. A la problématique de l'emploi par exemple, substituons celle du travail : assumons que l'ESS n'a pas vocation à être un secteur créateur d'emplois, mais un lieu où s'inventent des rapports au travail qui seront bien plus utiles pour imaginer la société à venir que la création de mille entreprises d'insertion.
Allons plus loin : et si l'ESS portait l'ambition de réinvestir la notion de métier, consciencieusement détruite par l'idée même de marché de l'emploi ? Et si nous, coopératrices, mutualistes, étions, par nos pratiques, les porteurs d'une conception réaffirmée de la protection sociale, fondée sur des pratiques démocratiques exigeantes ?
Les thèmes ne manquent pas pour lesquels nous avons, comme acteurs économiques, et en nous fondant sur nos pratiques, des idées à défendre : biens communs, qualité du travail, rapports au temps, aux techniques, à la violence, à l'éthique, au genre etc.
RASSEMBLEMENT HÉTÉROCLITE
Dans sa soif d'institutionnalisation, l'ESS a laissé croire qu'elle pouvait jouer les supplétifs de l'action publique, notamment en matière d'emploi. Même les Scop, ces bonnes vieilles coopératives ouvrières, se sont vues endosser le rôle social du maintien d'activités sur les territoires. N'avons-nous donc rien d'autre à conquérir qu'une évaluation de notre utilité sociale ?
Il est temps de dire adieu à l'ESS en tant que rassemblement hétéroclite "d'entreprises sympas", pour faire vivre un projet politique porté bien au-delà de nos organisations par toutes celles et ceux qui veulent changer de société ; cesser de nous tourner constamment vers la puissance publique et enfin s'adresser au monde du travail.
Nous avons une loi pour nous : il est temps de créer du droit pour tous.

Emmanuel Antoine (président de l'association Minga) et Stéphane Veyer (associé et directeur général de la Société coopérative et participative Coopaname)
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DES ALGERIENS 




















LES ALGERIEN(NE)S S'INTERESSENT DE PRES AU MODELE DE L' ECONOMIE SOCIALE &SOLIDAIRE & ETAIENT PRESENTS AUX RENCONTRES ANNUELLES DU MONT-BLANC à CHAMONIX AVEC UN COMPTE RENDU DANS LE JOURNAL EL WATAN & LA PRESENCE D'UN ECONOMI STE,HEIDI HIDOUCI, ANCIEN MINISTRE DE L'ECONOMIE & DES FINANCES
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source : EL WATAN du 25 Novembre 2013
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A LA UNE ECONOMIE

Face au comportement suicidaire de la finance

l’économie sociale et solidaire, une alternative en marche !

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le 25.11.13 | 10h00
 
 Ghazi Hidouci (à gauche) et Alain Lipietz (à droite) durant leur plaidoyer pour l’ESS.
| © El Watan
Ghazi Hidouci (à gauche) et Alain Lipietz (à droite) durant...

«La crise nous apporte un éclairage que nous sommes l’alternative. Nous n’avons pas à justifier notre existence, la crise le fait à notre place».

De notre envoyé spécial à Chamonix
Cette sentence, sortie de la bouche d’Alain Lipietz, économiste français et membre du parti Europe Ecologie Les Verts, a mis du baume au cœur des 350 participants venus de 45 pays dans la vallée de Chamonix en Haute-Savoie (France) pour faire le point sur le développement de l’Economie sociale et solidaire (ESS) dans un monde en pleine turbulence. Cette 6e édition des rencontres du Mont-blanc tenues la semaine dernière et placées sous le haut patronage du président français François Hollande, a été l’occasion pour les participants de travailler sur la problématique « Changer le cap de la mondialisation avec l’économie sociale et solidaire : vers des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) post-2015».
Basée sur la satisfaction des besoins humains et non sur l’accumulation des richesses, l’ESS repose et rassemble des entreprises qui cherchent à concilier activité économique et utilité sociale, donnant la primauté aux personnes sur la recherche de profits. Ayant pour enjeu de concilier efficacité économique, équité sociale et respect de l’environnement, l’ESS regroupe les coopératives, mutuelles, associations et fondations et fonctionnant sur le principe d’égalité des personnes (1 personne 1 voix), de propriété privée mais collective, de solidarité entre ses membres et d’indépendance économique.
Des accords avec l’Algérie prochainement
Loin d’être une rencontre entre passéistes en mal d’avenir dans un monde foudroyé par la folle finance internationale, des cas bien précis et modèles vivants ont été exposés par les intervenants. A ce titre, le ministre français Benoît Hamon, ministre délégué auprès du ministre de l’Economie et des finances, chargé de l’économie sociale et solidaire et de la consommation a indiqué lors de l’ouverture des rencontres qu’ «un  projet de loi cadre sur l’ESS a été adopté par le sénat en novembre 2013, et sera soumis à l’Assemblée nationale au printemps 2014.»
De même qu’il a déclaré que des accords avec certains Etats, dont l’Algérie, sont à prévoir dans les jours à venir. Pour lui, «il y a une grande tradition mutualiste et coopérative dans le bassin méditerranéen. Il y a dans le sud de la méditerranée, notamment au Maghreb, une grande tradition de la coopérative. Il y a un enjeu à structurer cette coopération de manière très forte et ce n’est pas un hasard si dans les trois accords que l’ESS va conclure en ce qui concerne la France, il y a en Europe l’accord franco-espagnol, un accord avec le Maroc qui est en préparation et un accord sur lequel moi-même j’ai travaillé avec l’Algérie en faveur du développement de l’ESS.»
Le ministre français n’a pas manqué de critiquer l’UE et la commission européenne pour avoir négligé ce pan important de l’économie européenne. Abondant dans le même sens, Thierry Jeantet, président du forum international des dirigeants de l’économie sociale et solidaire et président de l’association des rencontres du Mont-blanc, organisatrice de l’événement, annonce pour sa part la  création au sein du forum international des dirigeants de l’ESS d’une plateforme euroméditerranéenne afin de partager des projets concrets regroupant marocains, Tunisiens, algériens et autres. «La présence de ministres parmi nous montre qu’un nouveau type de partenariat public entre les Etats, les gouvernements et les collectivités territoriales est en train de se développer dans le monde et aussi avec les institutions internationales», dit-il.
L’Amérique latine, le modèle ?
Loin d’être circonscrite dans des actions isolées et dans des territoires en mal de développement, l’économie sociale et solidaire est en passe de gagner la bataille de l’institutionnalisation par des Etats. Et des exemples en Amérique latine sont légion. Doris Josefina Solis Carrion, ministre de l’Intégration économique et sociale de l’équateur a, à ce titre, indiqué que dans son pays la constitution «prend en compte, depuis 2008, le rôle fondamental de l’ESS en proposant un nouveau modèle de développement dont le centre est l’humain et pas le capital.» Elle fera savoir que dans son pays 64% des postes de travail et pas moins de 65% des aliments de consommation de base sont le fruit des entreprises de l’ESS.
Des entreprises, coopératives et autres associations qui emploient, dit-elle, plus de 60 000 personnes pour certaines d’entre elles. «L’ensemble des tenues scolaires sont fabriquées par 4 micro-entreprises de l’ESS et 5% des achats publics sont achetés aux coopératives de l’ESS», précise-t-elle. Des exemples édifiants pour un pays comme l’Algérie qui fête ses événements footballistiques par des tissus et fanions issus en grande majorité de chine ! Sur sa lancée, la ministre équatorienne dont le pays exporte à l’UE pour 89 millions de dollars en bananes, cacao et produits de l’artisanat indiquera que les cantines scolaires, les services d’entretien et les services d’externalisation des différents ministères relèvent tous des entreprises de l’ESS. «Ce qui permet, dit-elle, de garantir à tous ces artisans d’avoir un revenu garanti». Et de souligner la coopération et l’aide de l’Etat pour la commercialisation et l’exportation des produits de l’ESS ainsi que l’injection de 600 millions de dollars pour les familles pauvres annuellement.
Petit pays de l’Amérique centrale, le Costa rica n’est pas en marge de l’ESS. C’est même «une tradition qui remonte très loin dans le temps», dira  Victor H. Morales, un des dirigeant de l’ESS dans ce pays. «1/3 de l’électricité est fabriquée par les coopératives, alors que le plus grand laitier du pays qui couvre 96% du marché est aussi une coopérative», dit-il.                              
Cela dit, d’autres pays dans les cinq continents connaissent à des degrés moindres des expériences de l’économie sociale et solidaire. Des expériences parfois marginales mais qui pourront connaître un essor certain selon les dirigeants de l’association des rencontres du Mont-blanc. En effet, un grand travail de lobbying est en train de se faire auprès des Etats et d’instances internationales, notamment l’ONU pour intégrer la donne ESS dans leurs programmes et actions en faveur de la lutte contre la pauvreté et les inégalités dans le monde. Et c’est à ce titre que l’ancien  ministre de l’Economie et des finances algérien, Ghazi Hidouci, a été convié à la rencontre.
Expert en économie du développement, M. Hidouci est actuellement responsable au sein du fonds mondial pour le développement des villes (FMDV), une organisation politique internationale créée en 2010 pour le renforcement des solidarités et des capacités financières, par et entre les collectivités locales. Dans son bref plaidoyer en faveur de l’ESS et du FMDV, il a appelé à faire de la finance «autrement, en se l’appropriant». En considérant que le problème ne réside pas dans les outils mais dans l’organisation et le contrôle de la finance par ceux qui gèrent, il plaidera pour «l’appropriation locale de la finance», avant de rebondir sur son sujet fétiche, le développement des villes.
Pour lui, le FMDV apporte expertise technique et ingénierie financière dans l’ensemble du processus de projet du développement urbain et facilite l’accès des collectivités territoriales à une ressource financière correspondant aux besoins qu’elles ont elles-mêmes identifiés. Problématique d’une extrême importance en ces temps de densification des villes face aux exodes ruraux, l’ancien ministre algérien a plaidé pour une autre façon de faire la ville en adaptant la construction des villes en rapport avec l’alimentation, la consommation d’énergie et le respect de l’environnement. Il nous fera savoir en marge des travaux, et non sans une note d’amertume, que toutes ses tentatives de faire participer son organisation dans des projets en Algérie ont étés vaines. Citant au passage sa proposition rejetée pour la ville de Constantine, «entourée par des quartiers informels», selon ses dires.
 Mahmoud Mamart
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ECONOMIE & SOCIETE

UN DEBAT UTILE CHEZ NOS AMIS BELGES 

POUR INFORMATION POUR LES CHRONIQUES ECONOMIQUES SPONSORISEES DE NOS CHAINES D'INFOS EN CONTINUE MATRAQUEUSES D'IDEES RECUES A REVOIR
30/10/2013


Communiqué de presse du Groupe du Vendredi
« Le PIB est dépassé. Il est nécessaire de développer un outil qui puisse véritablement guider les politiques sur la voie du progrès sociétal »


Tandis que la croissance économique est appelée de tous ses vœux sur le Vieux Continent, il est de plus en plus admis que le Produit Intérieur Brut (PIB) ne peut servir de boussole à la société, tant il souffre d’insuffisances lorsqu’il en va de l’évaluation du bien-être des citoyens. C’est une des conclusions du 2e rapport du Groupe du Vendredi, une plateforme de réflexion pour les jeunes soutenue par la Fondation Roi Baudouin. Selon ses auteurs Naïm Cordemans (ULB), Ferdi De Ville (UGent) et Benoît Decerf (UCL), ce paradoxe témoigne de la place centrale qui est toujours réservée à l’indicateur qu’est le PIB et de la difficulté d’évoluer pour passer d’un paradigme fondé sur la croissance de la production à un nouveau centré sur le bien-être sociétal.
 
Bien que la Belgique ne soit pas en reste, les avancées dans notre pays pour arriver à des mesures plus adéquates du bien-être sont restées très timides. C’est pourquoi le Groupe du Vendredi invite nos gouvernements à lancer un vaste débat de société sur la manière de définir et de mesurer le bien-être dans notre pays. La réflexion devrait être initiée par un groupe d’experts et déboucher sur une vaste consultation de la société civile et des différents groupes représentatifs de la société. L’objectif final est de doter le pays et ses régions d’un outil statistique performant pour mesurer le progrès sociétal et de permettre à chaque citoyen de prendre aisément connaissance de l’évolution du bien-être dans ses différentes dimensions. Ces avancées devraient permettre d’éclairer les politiques conduites et de les rendre plus en phase avec les aspirations des citoyens.

Le Produit Intérieur Brut (PIB) n’est pas un indicateur pertinent du bien-être
Bien que cela n’a jamais été l’intention de ses concepteurs, la croissance du Produit Intérieur Brut (PIB) – communément appelée croissance économique - est devenue un élément auquel un grand nombre d’économistes, de décideurs et de médias se réfèrent comme si elle représentait le progrès en général. Considérer le PIB comme un indicateur du bien-être est toutefois non seulement inexact, mais risque aussi de détourner dangereusement notre attention. Si le PIB est une mesure fiable de l’activité économique – qui détermine dans une certaine mesure le niveau d’emploi -, il ne dit rien de la performance des services publics, du niveau des inégalités, de la qualité de l’air, du temps de loisir, de la cohésion sociale, de la beauté de nos paysages, de la sécurité dans nos villes ou encore du caractère soutenable de notre production de richesses.

De meilleures politiques passent par de meilleurs indicateurs
Ces insuffisances font du PIB un guide médiocre pour des politiques qui visent le ‘bien-être durable’, qui devrait être, aux yeux du Groupe du Vendredi, la finalité politique ultime. Car les paramètres avec lesquels nous choisissons de mesurer le progrès déterminent nos priorités - comme l’ont rappelé Joseph Stiglitz, Amartya Sen et Jean-Paul Fitoussi dans le Rapport de la Commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social : “ce que nous mesurons influence ce que nous faisons” – de meilleures politiques, plus en phase avec ce qui compte vraiment pour la population, requièrent comme point de départ une meilleure définition et une meilleure mesure du bien-être sociétal.

Des initiatives internationales et nationales
Plusieurs initiatives au niveau international (voir OCDE et Commission européenne) et national ont émergé récemment, qui remettent en cause la prédominance du PIB et tentent de trouver des mesures plus adéquates du bien-être. En particulier, s’inspirant du Rapport de la Commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social, différents gouvernements en Europe et ailleurs se sont mis ces dernières années à élaborer des mesures plus larges du bien-être et de son caractère durable. La Belgique n’est pas en reste, avec la création en 2012 d’un groupe de travail du Sénat sur les ‘nouveaux indicateurs pour les prestations économiques, l’avancée sociale, la qualité de vie et le bonheur’ ainsi que la récente décision du gouvernement wallon de mettre en place cinq indicateurs complémentaires au PIB , mais les avancées restent timides à ce stade. 

Pour que la Belgique aille de l’avant
À travers ce rapport, le Groupe du Vendredi invite nos gouvernements à lancer un vaste débat de société sur la manière de définir et de mesurer le bien-être dans notre pays, dans le but de doter le pays d’un outil statistique performant qui puisse véritablement guider les politiques sur la voie du progrès sociétal.

Les principales recommandations qui émergent du rapport sont les suivantes:

1. Lorsque nos gouvernements et nos médias évaluent le progrès matériel de notre pays et de nos régions, ils devraient davantage référer à un indicateur alternatif qui reflète plus fidèlement les conditions de vie matérielles, tel que le revenu disponible ajusté net des ménages.

2. Un débat de société doit avoir lieu sur la manière de définir le bien-être et sur les dimensions à inclure dans sa définition. Un groupe d’experts devrait initier une large réflexion, permettant une vaste consultation de la société civile et des différents groupes représentatifs de la société.

3. Les gouvernements fédéral et régionaux doivent développer les principaux indicateurs de ces autres dimensions du bien-être et de sa distribution, avec la même qualité et la même fréquence que pour le revenu national.

4. Nous insistons sur le fait qu'il ne suffit pas de compléter la mesure du bien-être matériel par des aspects non matériels pertinents. Il est également nécessaire d’attacher une attention particulière au niveau des inégalités, qu’elles soient intra- ou intergénérationnelles. Cela signifie concrètement mesurer la distribution du bien-être individuel au sein de la population et s'assurer de son caractère durable.

5. Un groupe d’experts doit décider de la meilleure manière de compléter le PIB par un indice du bien-être. Nous identifions trois options non exclusives: i) un PIB corrigé de manière à refléter le bien-être, ii) un nouvel indicateur synthétique et iii) un tableau de bord/des comptes nationaux d’indicateurs qui distinguent les différentes dimensions du bien-être. Car de nombreux défis restent à relever pour ce qui concerne les deux premières options, nous pensons qu’il convient de commencer par la troisième. Les gouvernements et les médias devraient rendre compte de ce nouvel indicateur/tableau de bord afin de modifier le discours sur le progrès de notre société.

6. Il y a lieu de créer un site Internet accessible à tous et convivial, permettant aux citoyens de prendre connaissance de l’évolution du bien-être sociétal dans ses différentes dimensions, ainsi que des développements concernant certains indicateurs plus spécifiques. Une meilleure mesure du bien-être sert en effet simultanément deux objectifs: des politiques mieux conçues et un débat démocratique mieux informé.


Information additionnelle



Contact:
Jean-Paul Collette - 02-549 02 78 - 0474-99 70 75
Naïm Cordemans - 0474 72 48 85


Site(s)


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SOCIAL & SOCIETE : LE VOILE DE LA CRECHE BABY LOUP
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LES RELIGIEUX DE TOUTES SENSIBILITES DEVRAIENT BIEN FAIRE ATTENTION DE NE PAS EXASPERER LES MAGISTRATS & D'ACCEPTER LE SENS DES DECISIONS DE JUSTICE

COMME DANS LES PAYS MUSULMANS QUI REDECOUVRENT LEUR DIVERSITE RELIGIEUSE ENFOUIE PAR L'HYPOCRISIE...ET LA VIOLENCE DOCTRINAIRE POUR LES IGNORANTS

...IL NE FERA PAS BON D'ÊTRE JUSQU'AUBOUTISTE DANS LES TEMPS A VENIR...

..LA CHASSE AUX SORCIERES SI ELLE S INVITE DANS LE PAYSAGE POLITI QUE ET SOCIOLOGIQUE A VENIR RISQUE D ETRE TRES DURE A VIVRE ET A SUPPORTER POUR LES INTERESSE E S


L'EUROPE PAS A PAS VIRE A L'EXTRÊME DROITE...

....L'AMERIQUE CERTAINEMENT AUSSI DONC PEU DE MARGE DE MANOEUVRE POUR LE CLIENTELISME ELOIGNE DE LA LAICITE REPUBLICAINE DE BASE.

BONJOUR CHEZ VOUS.........


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