INFORMATION CITOYENNE
EN MATIERE D'INFORMATION CITOYENNE NOUS ALLONS METTRE EN PLACE UNE WEBTV & UN DISPOSITIF DE WEB-CONFERENCE COLLABORATIVE
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BONJOUR, BONSOIR LES AMI(E)S,
POUR CEUX & CELLES QUI ONT DECIDE DE NOUS SOUTENIR & NOUS REJOIN DRE, EN VUE DU JUBILE 2014 pour CELEBRER LES TRENTE ANS DE NÔTRE ENGAGEMENT ASSOCIATIF & SOLIDAIRE, UNE COLLECTE DE CONTRIBUTION UNIVERSELLE VOUS EST PROPOSEE POUR ÊTRE PARTIE PRENANTE DE NOS ACTIONS & ENGAGEMENTS QUI VOUS CONCERNENT DIRECTEMENT, ORGANI SEE PAR Monsieur Jean-Guy JAIS, Président de nos deux Associations AssoGroupe Label M & CMIECES "Alliance Méditerrannée".....au nom du Groupe d'Actions qu'elles constituent en attendant la nouvelle organisation autour de la Fondation(fonds de Dotation) & la Société Coo pérative d'Intèrêts Collectifs qui doivent se mettre en place en vue de programmes d'actions multi sectoriels & pluriannuels, dont vous serez informés du développement....et vous êtes aussi invité(e)s à participer à l'élaboration collaborative autant que pour l'action faite pour que chacun puisse s'engager avec nous & pas que financièrement...........
......en espérant que vous ferez le meilleur accueil, après que vous puissiez avoir acces à nôtre projet dans ses grands principes dont le déroulement le plus complet vous est généreusement offert en toute transparence.........
https://www.bankeez.com/fr/payment/sale/dc504a69cf02b95afffa8206f990ddc9#.UnsAjyqF9Cp
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pour vous inviter à la collecte, il est nécessaire de récolter vos emails à l'adresse
:...........jgj.labelm.interpanorama@gmail.com, avec nos remerciements...........
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pour tout soutien, un livre édité par édition électronique par nous sur l'engagement associatif & ses enjeux d'avenir, sera envoyé à chaque contributeur & contributrice au moment des fêtes de fin d'année...........ainsi qu'une carte de membre d'honneur & de contribution active.
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NOUS VOUS ESPERONS TRES NOMBREUX POUR LES GENERATIONS A VENIR....
QUE LA FRANCE OUBLIE LE FRONT NATIONAL......& AGISSE CONCRETEMENT
POUR L'AVENIR DES ENFANTS & DES CONSCIENCES CITOYENNES REPUBLICAI NES.......
....SOYONS DES MILLIONS A LE DIRE & L'EXPRIMMER..& AGIR CONCRETE MENT.........
.........................................TOUT EN VOTANT....
couturier ET SURTOUT.................................BONJOUR CHEZ VOUS !!!!!................
Jean-Guy JAIS,
vôtre Président & Chef de Projet JUBILE 2014
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LE DICTIONNAIRE DES ETRANGERS QUI ONT FAIT LA FRANCE
exemple : savez-vous que Monsieur Pierre CARDIN , grand Couturier & entrepreneur français dans le monde est.......d'origine Italienne !!!.......
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Un petit pied de nez de la presse algerienne (el watan) qui nous aime bien pour faire une piqure de rappel de temps en temps & nous remercions des amis comme ça parceque là sont nos valeurs qui consacrent l'échange & le partage :
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A propos du Dictionnaire des Etrangers qui ont fait la France
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http://www.bouquins.tm.fr/site/dictionnaire_des_etrangers_qui_ont_fait_la_france_&100&9782221113165.html
Dictionnaire des étrangers qui ont fait la France
un pied de nez au nationalisme étroit
le 22.10.13 | 10h00
Quand la crispation identitaire atteint son paroxysme, quand les extrêmes frappent à la porte du pouvoir, quand la Bête immonde se réveille, convoquer l’histoire peut se révéler salvateur. Une piqure d’intelligence. «Dictionnaire des étrangers qui ont fait la France» comme antidote au nationalisme étroit.
Paris
De notre correspondant
Le discours anti-immigrés à longueur de colonnes, de Unes, d’ouvertures de journaux, de livres, n’a jamais été aussi présent. L’étranger devient étrange, bouc émissaire d’un capitalisme décomplexé. «Qui de plus français que le couturier et mécène Pierre Cardin ou le premier vainqueur du Tour de France cycliste, Maurice Garin ? Sauf que l’un et l’autre sont nés italiens. A l’inverse, combien de Français savent que le prix Nobel de littérature de l’an 2000 a été attribué à un citoyen français — naturalisé depuis trois ans —, Gao Xingjian, né à Ganzhou soixante ans plus tôt ? Ce que la plupart de nos compatriotes savent, en revanche, c’est que la renommée de la France doit beaucoup à Frédéric Chopin, Marie Curie, Pablo Picasso, Le Corbusier, Samuel Beckett ou Charles Aznavour.
De notre correspondant
Le discours anti-immigrés à longueur de colonnes, de Unes, d’ouvertures de journaux, de livres, n’a jamais été aussi présent. L’étranger devient étrange, bouc émissaire d’un capitalisme décomplexé. «Qui de plus français que le couturier et mécène Pierre Cardin ou le premier vainqueur du Tour de France cycliste, Maurice Garin ? Sauf que l’un et l’autre sont nés italiens. A l’inverse, combien de Français savent que le prix Nobel de littérature de l’an 2000 a été attribué à un citoyen français — naturalisé depuis trois ans —, Gao Xingjian, né à Ganzhou soixante ans plus tôt ? Ce que la plupart de nos compatriotes savent, en revanche, c’est que la renommée de la France doit beaucoup à Frédéric Chopin, Marie Curie, Pablo Picasso, Le Corbusier, Samuel Beckett ou Charles Aznavour.
Et ceux qui s’intéressent au destin politique de ce pays ont sans doute remarqué, sans remonter plus haut que la Révolution française, que ladite Révolution n’aurait pas tout à fait été la même sans le modéré Necker ou le radical Marat — deux Suisses —, la IIIe République sans Gambetta ou Weygand, la Résistance sans Boris Vildé, du premier réseau, celui du Musée de l’homme, ou le groupe Manouchian et ses fusillés stigmatisés sur l’Affiche rouge «parce que leurs noms sont difficiles à prononcer», rappelle si justement Pascal Oury, initiateur et directeur de ce dictionnaire, professeur d’histoire à la Sorbonne.
Comment définir l’étranger ? «La notion ‘‘d’étranger’’ est prise ici au sens juridique du terme, pour éviter toute subjectivité : être né de statut étranger, en France ou hors de nos frontières, qu’on le soit resté ensuite (comme Pablo Picasso), qu’on ait obtenu sa naturalisation (comme Yves Montand), qu’on l’ait abandonnée (comme Igor Stravinsky) ou qu’on ait failli la perdre (comme Serge Gainsbourg). Les naturalisés de naissance, comme Georges Perec, ne figurent donc pas dans ce dictionnaire, non plus que les ressortissants des colonies ou des départements d’outre-mer».
Le livre est dédié à Charles Trénet, Georges Moustaki et Rachid Taha, un clin d’œil délibéré à tous ces fous chantants qui ont chanté la «douce France» et l’Afrance, ces gueules de métèques. «Dans l’histoire des migrations en France, celle des Algériens occupe une place essentielle et particulière. Essentielle en raison de son ancienneté et de son ampleur. Particulière, du fait de la longue histoire partagée entre la France et l’Algérie… A la fin du XIXe siècle, l’appauvrissement des campagnes provoqué par la colonisation foncière favorise l’émigration des Kabyles vers la métropole. Un permis de circulation est institué en 1874 pour contrôler les départs. Ces premiers Kabyles, colporteurs pour certains, sont mis très vite au service de l’industrie», notent Naïma Yahi et Muriel Cohen, dans la partie réservée à «Algériens». Un dictionnaire qui tombe à pic, une œuvre utile et indispensable pour les amnésiques et les autres.
Rémi Yacine
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EN ATTENDANT, VOICI NÔTRE PROJET GLOBAL D'ACTION UNIVERSELLE MULTISECTORIELLE.
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extrait du blog de nôtre projet de scic http://projetscic-grpelabelm.blogspot.fr/
extrait du blog de nôtre projet de scic http://projetscic-grpelabelm.blogspot.fr/
STRATEGIE D'ORGANISATION & DE DEVELOPPEMENT DE NÔTRE PROJET
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AUTOUR DE Monsieur Jean-Guy JAIS Président-Fondateur de l'AssoGroupe Label M & de l'Association CMIESCES "ALLIANCE MEDITERRANNEE" depuis OCTOBRE 1984 date de la fondation des deux associations qui ont mené trente ans d' expériences écosociales & qui portent aujourd'hui le présent projet de développement.......depuis plus de 7 ans, comme l'aboutissement au service des engagements à venir d'un changement d'échelle pour la Stratégie & l'Action Solidaire à Valeur Ajoutée, aujourd'hui enfin entendue,.. après tant d'années vécues à prêcher dans le désert des indifférences bureaucratiques & des égoismes triomphants des époques dures à vivre égrénées & aujourd'hui bien révolues.....du moins nous l'espèrons.....!!!
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Le Groupe LABEL M-EUROPE & le projet de SCIC & SCEIC (Société Européenne Coopérative d'Interêt Collectif & ses Bureaux Europeens & en zone EUROMED) développeront les activités écosociales nouvelles (qui relèveront des principes de l'économie sociale & solidaire, en vue du JUBILE DU TRENTIEME ANNIVERSAIRE DES DEUX ASSOCIATIONS PRE-CITEES à l'Automne 2014 prochain afin d' accueillir & réunir les bonnes volontés nouvelles de tous ceux et celles qui ont contribué, contribuent & contribueront à son action depuis plus de Trente ans (octobre 1984) avec dans un esprit de parfaite Union & Entente désintèressée et à la fois très impliqué(e)s par le Développement d'une approche innovante d'Economie Sociale & Solidaire Interculturelle puisqu'EURO-MEDITERRANEENNE destinée à faire profiter de nos savoirs-faire et de notre vision du Développement Economique, Social & Culturel vers tous nos ami(e)s de France, d'Europe et de la zone EUROMED et bien entendu, BIEN AU- DELA pour développer des projets à haute valeur ajoutée écosociale & solidaire(ESS).
Les différentes situations politiques que nous traversons tant en France, en Europe et dans la zone EUROMED nous confortent dans nos convictions et nous obligent même à changer d'échelle pour donner plus de force à notre action et à notre volonté de voir l'Economie Sociale être prête à jouer les premiers plans & ce sans-frontières !
Le Groupe LABEL M-EUROPE & le projet de SCIC & SCEIC (Société Européenne Coopérative d'Interêt Collectif & ses Bureaux Europeens & en zone EUROMED) développeront les activités écosociales nouvelles (qui relèveront des principes de l'économie sociale & solidaire, en vue du JUBILE DU TRENTIEME ANNIVERSAIRE DES DEUX ASSOCIATIONS PRE-CITEES à l'Automne 2014 prochain afin d' accueillir & réunir les bonnes volontés nouvelles de tous ceux et celles qui ont contribué, contribuent & contribueront à son action depuis plus de Trente ans (octobre 1984) avec dans un esprit de parfaite Union & Entente désintèressée et à la fois très impliqué(e)s par le Développement d'une approche innovante d'Economie Sociale & Solidaire Interculturelle puisqu'EURO-MEDITERRANEENNE destinée à faire profiter de nos savoirs-faire et de notre vision du Développement Economique, Social & Culturel vers tous nos ami(e)s de France, d'Europe et de la zone EUROMED et bien entendu, BIEN AU- DELA pour développer des projets à haute valeur ajoutée écosociale & solidaire(ESS).
Les différentes situations politiques que nous traversons tant en France, en Europe et dans la zone EUROMED nous confortent dans nos convictions et nous obligent même à changer d'échelle pour donner plus de force à notre action et à notre volonté de voir l'Economie Sociale être prête à jouer les premiers plans & ce sans-frontières !
DE L'ACCOMPAGEMENT MUTUALISE DANS LA FORMATION MULTICOOPE RATIVE AU SERVICE D'UNE STRATEGIE DE RENFORCEMENT DU RÔLE D'ACTEUR MAJEUR DE LA SOCIETE CIVILE AU COMPAGNONAGE COOPE RATIF MUTUALISE & PARTAGE DANS L'ACTION AU SERVICE DE PROJETS CITOYENS DE VALORISATIONS SOU TENUS PAR LES INSTITUTIONS IN TER NATIONALES DES POLITIQUES SELECTIONNEES & ELIGIBLES LOCA LES PUBLIQUES & DES INITIATIVES INDEPENDANTES MIXTES EN PARTE NARIAT AVEC DES ORGANISMES ACTIFS ELIGIBLES EFFICACES & PRAG MATIQUES OBTENANT DES RESULTATS PROBANTS SUR LE TERRAIN PARFOIS COMPLEXE & DIFFICILE CE, AFIN DE CONTRIBUER A REDUIRE DURABLEMENT LES GRANDES INEGALITES PAR UN MEILLEUR EQUILI BRE DE LA BALANCE DES RICHESSES & DES DIGNITES EN INVESTIS SANT L'INTELLIGENCE SOCIALE & SOLIDAIRE INTERSO CIALE & INTER GENERATIONNELLE. SOCIETALE QUI AURA DU SENS POUR LES GENE RATIONS A VENIR.........!!!!
NOUS SERONS PLEINEMENT ENGAGES EN 2014, AU MOMENT DE NÔTRE JUBILE DU TRENTIEME ANNIVERSAIRE, EN OCTOBRE 2014 DANS LE SOMMET INTERNATIONAL DES COOPERATIVES AU QUEBEC DANS UN EVENEMENT ESSENTIEL POUR LE SECTEUR DE L'E.S.S SANS FRONTIE RES........
http://www.sommetinter.coop/files/live/sites/somint/files/html/sommet-infolettre-6nov-2013_FR.html
Le SOCLE ECOSOCIAL & SOLIDAIRE repose sur un projet de création de FONDATION d'Entreprise & des Fonds de Dotation (Fondations simplifiées) avec la création de quatre autres Associa tions vers les Territoires Ultra-Marins (Antilles, Guyane, la Réunion & Nouvelle-Calédonie & autres DOM-TOM), l'Afrique, l'Asie & les Amériques du Nord & du SUD, verra le jour auprès de la SCIC & SCEIC & de nos deux associations ainsi que celles à venir dans le Groupe Associatif AssoGroupe LABEL M appelé à grandir & à se déployer en France, en Europe & en zone EUROMED & au-delà Sans Frontières vers les autres continents avec nos territoires DOM-TOM intégrés à leur environnement Géopo litique & Stratégique, & surtout par des relais locaux en coopération avec des collectivités & structures sociales & économiques publiques & privées locales, afin de complèter nos interventions avec une STRATEGIE PHILANTHROPIQUE INNOVANTE UNIVERSELLE destinée à soutenir le plus grand nombre d'initiatives sociales susceptibles de génèrer des dynami ques durables porteuses de visions à long-terme & de dévelop pement d'activités générées par la valorisation de l'économie sociale & solidaire
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NOTRE PROJET--------------------------------------
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2013-2014............L'HEURE EST VENUE DU CHANGEMENT D'ECHELLE APRES TRENTE
ANS D'ACTION ASSOCIATIVE EXPERIMENTALE & INNOVANTE......
ANS D'ACTION ASSOCIATIVE EXPERIMENTALE & INNOVANTE......
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PREPARATION DE L'AG DU 15 Décembre 2013 & DE L'AG EXTRAORDINAIRE DU 15 Février 2014.........
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"STRATEGIE POUR LE DEVELOPPEMENT DE L'OFFRE ECOSOCIALE "Economie Sociale & Solidaire " DE VALEUR AJOUTEE"
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NOTRE PROJET DE DEVELOPPEMENT POUR CONTINUER A AVANCER
PREPARATION DE L'AG DU 15 Décembre 2013 & DE L'AG EXTRAORDINAIRE DU 15 Février 2014.........
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"STRATEGIE POUR LE DEVELOPPEMENT DE L'OFFRE ECOSOCIALE "Economie Sociale & Solidaire " DE VALEUR AJOUTEE"
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NOTRE PROJET DE DEVELOPPEMENT POUR CONTINUER A AVANCER
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L'INITIATIVE du Comité pour la Création de la FONDATION DE CONTRIBUTION UNIVERSELLE "LABEL M-ALLIAN CE MED-UNIVERSALIS" est hébergée au sein de la SCIC en Projet de Formation Grpe Label M- EUROPE dont le projet est hébergé par l'association "AssoGroupe Label M" fondée en 1984 qui fêtera à l'automne 2014 le jubilé de son trentième anniversaire avec celui de l'association CMIESCES "Alliance Méditerrannée"et sera développée sous l'égide d'une Fondation d'Entreprise regroupant les programmes & initiatives Philan tropiques de la SCIC Grpe LABEL M EUROPE, & la SCIC (Société Coopérative d'Intèrêts Collectifs "ALLIANCE-MED' EUROPA" en formation ayant comme Actionnaires de Réfé rence l'Association "CCESC -ALLIANCE MEDITERRANE ENNE" & la SCIC en Formation "ALLIANCE-INTERPA NORAMA" ayant pour actionnaire le Groupe LABEL M & l'Association Européenne LABEL M INTERPANORAMA en instance de fondation qui aura son siège & des bureaux en EUROPE & dans le pourtour de la zone EUROMED actuelle ment hébergée par l'association Groupe LABEL M, toutes ces structures étant regroupées par l'Association Groupe LABEL M-EUROPE en formation regroupée dans le projet de Fonda tions & de Fonds de Dotations(fondations à statuts simplifiés) en phase de mise en place en vue du jubilé d'octobre 2014, pour la nouvelle phase de lancement de la nouvelle organisation pour l'action pour les trente ans à venir.........
Toute cette articulation strategique sera propice a des par tenariats & alliances pour l'action avec les élus politiques,des comités d'entreprises & autres organisations syndicales & de la Société Civile ainsi qu'institutions publiques & privées, collecti vités & entreprises sociales ou de marché comprises.
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Dans le cadre d'une vision stratégique pour le développement géopolitique d'un Modèle démocratique & collaboratif & à financements participatifs d'Economie Sociale & Solidaire (ESS) correspondant mieux aux réponses à donner à la crise qui secoue nos sociétés civiles Locales, Nationales, Communautai res, EUROMED, & Internationales sur les Cinq continents de la Planète USA compris.......
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L'INITIATIVE du Comité pour la Création de la FONDATION DE CONTRIBUTION UNIVERSELLE "LABEL M-ALLIAN CE MED-UNIVERSALIS" est hébergée au sein de la SCIC en Projet de Formation Grpe Label M- EUROPE dont le projet est hébergé par l'association "AssoGroupe Label M" fondée en 1984 qui fêtera à l'automne 2014 le jubilé de son trentième anniversaire avec celui de l'association CMIESCES "Alliance Méditerrannée"et sera développée sous l'égide d'une Fondation d'Entreprise regroupant les programmes & initiatives Philan tropiques de la SCIC Grpe LABEL M EUROPE, & la SCIC (Société Coopérative d'Intèrêts Collectifs "ALLIANCE-MED' EUROPA" en formation ayant comme Actionnaires de Réfé rence l'Association "CCESC -ALLIANCE MEDITERRANE ENNE" & la SCIC en Formation "ALLIANCE-INTERPA NORAMA" ayant pour actionnaire le Groupe LABEL M & l'Association Européenne LABEL M INTERPANORAMA en instance de fondation qui aura son siège & des bureaux en EUROPE & dans le pourtour de la zone EUROMED actuelle ment hébergée par l'association Groupe LABEL M, toutes ces structures étant regroupées par l'Association Groupe LABEL M-EUROPE en formation regroupée dans le projet de Fonda tions & de Fonds de Dotations(fondations à statuts simplifiés) en phase de mise en place en vue du jubilé d'octobre 2014, pour la nouvelle phase de lancement de la nouvelle organisation pour l'action pour les trente ans à venir.........
Toute cette articulation strategique sera propice a des par tenariats & alliances pour l'action avec les élus politiques,des comités d'entreprises & autres organisations syndicales & de la Société Civile ainsi qu'institutions publiques & privées, collecti vités & entreprises sociales ou de marché comprises.
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Dans le cadre d'une vision stratégique pour le développement géopolitique d'un Modèle démocratique & collaboratif & à financements participatifs d'Economie Sociale & Solidaire (ESS) correspondant mieux aux réponses à donner à la crise qui secoue nos sociétés civiles Locales, Nationales, Communautai res, EUROMED, & Internationales sur les Cinq continents de la Planète USA compris.......
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Le Développement de l'Offre de Services Ecosociale "ESS" passera par :
- s'impliquer dans une approche globale coopérative respectueuse des droits de chacun & chacune, faisant appel à l'intelligence & l'innovation collective au service de chacun & chacune par le partage contre les égoismes & empêcher l'érection des fameuses véritables "plaques de verre" voire de béton nourries de discriminations durables où "Tout le Monde peut Participer, proposer, Apprendre à l'autre & Apprendre des Autres & faire du lien social un moteur de la vie"........pour une autre façon de vivre en société en communautés coopera tives par afffinités dans le respect de chacun & chacune.
- une approche coopérative de la Vie Citoyenne & Personnelle du partage citoyen qui préserve la vie personelle
- une approche cooperative d'Informations Multi média en partenariat avec des reseaux ESS avec à la clé créa tion de Medias Radios Audiovisuels & lieux de Spectacles Nu mérisés ESS
- une approche cooperative d'Emplois & de Services "Coopérer pour Entreprendre" avec création de Relais ESS des Initiatives Locales & de "Maisons de Naissances & Couveuses de Projets ESS" en partenariat avec les réseaux ESS en ile de France, en France, en Europe & hors d'Europe dont la zone EuroMed & au-delà......
- une approche cooperative des secteurs ESS de l'Environnement & du Développement Durable en partenariats avec les réseaux ESS principalement sur la gestion de déchets
& de projets de recyclage de déchets & de détournements de matériaux à usages Eco-sociaux.......
- une approche coopérative ESS de l'Education & de la Recherche avec les Réseaux ESS avec la part consacrée à l'innovation & l'expérimentation ESS & le développement des universités du samedi & du soir & de Nuit en liaison avec d'au tres fuseaux horaires, & populaires accessibles à tous quelque soit le niveau scolaire, comme l'Ecole des Hautes Etudes avec le développement des outils numériques & en association avec les universités & l'éducation nationale pour les lycées & collèges, & autres structures municipales locales de proximité publics & privés.
- une approche coopérative ESS de la Santé & de l'Alimentation en partenariat avec les réseaux ESS notamment pour la lutte contre le DIABETE, fléau de l'hyper-consommation (& de la communication "markentinguisée") par le soutien plus marqué à la Recherche avec un travail de mobilisation pour un plan DIABETE comme il y a un Plan CANCER & la création d'un réseau de formation & de consommation alimentaire & d'activités sportives douces & nautiques associées au service de la santé quotidienne & de la préventionavec créations d'unités associées aux pôles de santé publiques & privés particulièrement pour les pays du sud EUROMED dont le DIABETE pourrait décimer des classes d'âges utiles pour le développement des pays concernés
alors il faudra mobiliser innovation & ontelligence collective sociale...
...peut-être cela passera par la création d'Epiceries & Restau rants "ATOMOBIL' FOR-EAT" "par camions itinerants fast-foods & ou Roulottes-Restaurants-Ecoles pour la VIE...!!!!
....Face aux déficits de couverture sanitaire tant territoriale que du côté de l'acces de l'exclusion Sociale & Sanitaire, Projets SansFrontieres de Proximité en Europe & au-delà, de Maisons Solidaires de Santé & de Dispensaires de Santé Solidaires Séden taires & Mobiles &Mutualisées également de Tournées Sanitai res Solidaires & proposer aux Facultés de Médecine d'intègrer dans le cursus médical plusieurs stages de Clinique Solidaire sur le terrain en Médecine Générale & en spécialités & idem pour les Ecoles d'Infirmière, de Sage-Femmes & d'Assistantes Sociales.
....Face aux déficits de couverture sanitaire tant territoriale que du côté de l'acces de l'exclusion Sociale & Sanitaire, Projets SansFrontieres de Proximité en Europe & au-delà, de Maisons Solidaires de Santé & de Dispensaires de Santé Solidaires Séden taires & Mobiles &Mutualisées également de Tournées Sanitai res Solidaires & proposer aux Facultés de Médecine d'intègrer dans le cursus médical plusieurs stages de Clinique Solidaire sur le terrain en Médecine Générale & en spécialités & idem pour les Ecoles d'Infirmière, de Sage-Femmes & d'Assistantes Sociales.
- une approche cooperative de la Consommation avec des réseaux ESS privilégiant les circuits courts en direct avec les producteurs & productrices comme avec les réseaux AMAP ou autres ventessur les marchés, ventes originales fluvia les ou de Marchés de Nuit .....& de la Défense du Droit Citoyen.
- une approche coopérative ESS de l'Habitat Coo peratif avec en sus l'intégration d'innovations issues de l'ingé niérie de recyclages de materiaux à usages écosociaux détour nés comme le recyclage de conteneurs réformés de frets ferro viaires ou maritimes d'une part sur des terrains urbains res treints ou occupant des couvertures de périphériques & de vieux pneus de poids-lourds dont ceux de grande taille des tracteurs agricoles usagés consolidés avec de l'argile afin de constituer les fondations d'un habitat innovant participant à
la chasse au gaspillage & à la gestion des déchets & à tempéra ture adaptée au climat déjà en développement en Europe du Nord, des Investissements Immobiliers urbains & ruraux,des propriétés & domaines agricoles, ainsi que des domaines dit "de chasse" mis en vente sur le marché & ayant difficilement trouve preneur, agro-viticoles qui doivent être préservés de la spécula tion financière & d'acquisitions de Territoires de l'Environne ment Naturel & Organisé au service des projets de Centres de Formation de Gestion Agricoles & de la Nature Sans Frontières, Jardins & Valorisations Solidaires avec le souci d'une collabora tion & coopération pérenne avec les pouvoirs publics.
- une approche coopérative ESS de la Production & des Services avec les Réseaux ESS en France, en Zone EURO MED & hors de France notamment pour trouver & imaginer des réponses cohérentes aux plans sociaux à partir de coopera tions avec les comités d'entreprises & les syndicats ouvriers & professionels notamment pour retrouver la voie de la proximité des circuits courts de productions & services, déve lopper & favoriser la distribution directe des producteurs no tamment en prenant en charge les côuts d'un stand pour les petits produc teurs sur les marchés, élargir l'offre d'activité multisectorielle sur un territoire,par exemple comme en BRETAGNE en ce moment, pour retravailler les filières vers l'offre de qualité absolue (& non pas ciblée vers les besoins de la grande distribu tion par l'abandon de l'élevage d'animaux indus triels de porcs charcutiers au bénéfice progressif de porcs aoc elevés à l'air libre& nourris de chataignes aux abords des forêts disponibles souvent à l'abandon)& qui se paie à son prix,comme en Corse ou au Pays Basque....& autres Régions ou Pays de terroirs ou territoires classés AOC.......
....Quand le produit est bon les consommateurs paient à son prix en en prenant moins en quantité(le CAVIAR ne s'achète pas au kilo !) & ainsi éviter de gaspiller..........et certainement inspirer la création d' une activité de récupéra tion & recyclage des gaspillages jusqu'à la gestion des déchets qui ne concerne que 20% des déchets globaux c'est dire la marge......!!!
QUANT LA GASTRONOMIE DE QUALITE MARCHE A LA TELE, IL FAUT QUE CELA DEBOUCHE CONCRETEMENT SUR LE TERRAIN DES CONSOMMATEURS DE MASSE
AVEC UNE APPROCHE SOLIDAIRE DU PARTAGE & DE LA MUTUALISATION DES MOYENS & DES COÛTS..........
IL FAUT DEVELOPPER LA GASTRONOMIE DE QUALITE AU SERVICE DE LA SANTE PUBLIQUE, A L'ECOLE, A LA FAC, AU TRAVAIL .......& DANS LA RUE.... .........PUISQUE PRATIQUEMENT TOUTES LES BOUTIQUES SONT PRATIQUEMENTS DESTINEES AUX RESTOS DE LUXE ET....AU KEBAB HALLAL...
.....QUI ONT SU TROUVER LEUR PLACE...!
IL Y A TOUJOURS AUTRE CHOSE D'ACCESSIBLE A INVENTER...........!!!!!
....& par des initiatives innovantes placer les produits dans les cantines & développer comme cela se fait des camions de cuisine de qualité utilisant des produits de qualité & dévelop pant de l'activité & de l'emploi comme l'idée de faire revivre des commerces itinérents de consommation de soupes & autres plats chauds l'hiver & de caféterias ambulantes dès le matin de bonne heure créatrices d'activités & d'emploi....& pourquoi pas des camions "Brekfasts"
...ainsi pour nos amis Bretons & les autres, le Porc, le Poulet ou l'Agneau AOC auront aussi leurs débouchés d'un nouveau mar ché plein de perspectives dans les camions dégustatifs quand on sait que dans les campagnes il y a des camions de boucheries-charcuteries, de métiers méconnus peu propices au chômâge & créateurs d'emplois & très recherchés en ce moment.......... .........WHY NOT ?....
...& le prix de la grande distribution n'en sera que plus haut car elle n'aura plus la priorité dans la hierar chie de la répartition des ventes d'un producteur qui aura un avantage local sur la production importée car avec des initia tives innovantes & solidaires le producteur local pourrait lui-même gèrer son camion en diversification de développement comme son stand au marché ou sa participation aux AMAP en revenu direct avec peu de personnel & des stagiaires cuisiniers des écoles hôtelières....
.....Voilà une idée de recyclages de Camions& de Bus à la réforme....ou de Vieilles Roulottes.....!!!!!
Laissons les Bretons travailler.......ils savent faire quand on les aiment..............!!!!!
Par des initiatives simples, innovantes & exemplaires, revoir la multiplicité délirante du transport routier de marchandises pressurisé & asphyxié par la grande distribution, secteur qu'il faut redéployer autrement, céder les camions aux zones qui comme pour la pêche ont besoin de se développer plutôt que d'envoyer le matériel à la casse, aller faire des missions de formation sans frontieres, & pour ceux qui persistent, qu'il
faut aussi mutualiser à un processus de distribution solidaire par voie ferrée plus sécurisé & recycler vers le transport de cars pour l'éducation & le transport sanitaire & social, le voiturage des handicapés, des personnes âgées & à motricité délicate, & diversifier le transport des hommes par co-voiturages ou voitu rages et cochages innovants & intelligents, développer l'utilisa tion de transport par dirigeables & voies fluviales,& aussi pour développer le transport ferroviaire des marchandises & des lignes de transport de passagers douces hors tgv....comme les bus & les petites lignes de campagnes à valoriser en gestion indépendante associée à la SNCF......"c'est possible....!!"
- une approche cooperative ESS des Industries de la Communication & de la Culture, de l'Audiovisuel & de l'Economie Sociale & Solidaire du spectacle vivant en parte nariat avec les réseaux ESS & solidaires avec un projet de préservation de patrimoines culturels immobiliers classés, retrouvés ou à l'abandon, avec souci de rénovation comme les salles de cinéma & de spectacles en France & hors de France avec création ou recréation de Ciné-clubs de proximité ou de Cinéma itinérant en banlieue & dans les villages avec dévelop pements des actualités cinématographiques & des documentai res avec conférenciers & animations diverses & en parallèlle, un Projet de pôle ESS de création de Cinéma & du Spectacle vivant Populaire participatif & indépendant & associer créa teurs, responsables de festivals & distributeurs & les exploitants de salles municipales, & privées dédiées à la diffusion du spectacle vivant pour les petits lieux à aider comme les cafés-théâtres & autres lieux dédiés ouverte aux nouveaux artistes & créateurs comme le Théâtre du Lucernaire à Paris qui a permis à beau coup d'artistes de débuter, & s'essayer à la Scène & à un public exigeant qui paie pour venir en curiosité & aussi Développer l'activité de Cabarets-Spectacles mêlant Danse de paillettes & numeros de cirque, en ville & même à la campagne qui mar chent fort quand on s'en occuppe bien comme à Gerwiller près de Strasbourg en pleine campagne, & sans oublier du cinéma indépendant & des salles classées"Art & Essai"fermant les unes après les autres, dont il faudrait peut-être revoir l'économie & l'offre de services culturels qu'il faudra associer à des librairies ou sites internet de ventes de produits audiovisuels ou d'édition associés aux contenus des films projetés dans un cadre plus con vivial, en voulant les sauver de la disparition grâce à l'approche ESS qui pourra l'assumer plus facilement que le secteur com mercial.
POUR CELA IL FAUDRAIT AUSSI UNE VISIBILITE TELEVISUELLE POUR LES DEBOUCHES ECONOMI QUES DES CREATEURS & CREATRICES.......A CREER.. ..car les espaces mêmes publiques sont réduits (restrictions budgétaires obliges) ....!!!!!
- une approche Cooperative innovante de la Finance, de la Banques & des services de Prévoyance
notamment avec les processus de vraies plateformes mutualisées & regroupées de financements participatifs (crowdfunding) & le micro-crédit avec des leur partenaires de la finance solidaire en France
& se rapprocher des réseaux de finance solidaire sans frontières
INAISE http://www.inaise.org/
& le reseau INAISEde liens : http://www.inaise.org/?q=fr/node/294
pour travailler à partir de leur expèrience & conforter l'implication citoyenne des enjeux financiers & bancaires du pont de vue des caisses coopératives de crédit & de financement............
LA FINALITE SERA DE CONTRIBUER A L'ENGAGEMENT DE METTRE EN PLACE UN ORGANISME FINANCIER COOPERATIF SIMILAIRE A L'EXPE RIENCE FORTE DE SENS & EXEMPLAIRE AU QUEBEC DES CAISSES DESJARDINS....
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LE GROUPE SOS ORGANISE LE 7 NOVEMBRE 2013 A LA MAIRIE DU XIV
A 19 H00
QUAND LA FINANCE ACCÉLÈRE L'INNOVATION
« Un îlot d’innovation dans un monde en crise » : en France, la société civile ne cesse de démontrer sa capacité inépuisable à innover et à s’emparer des défis sociaux et environnementaux les plus urgents. Si les obstacles demeurent nombreux, le citoyen dispose désormais de plus en plus d’outils pour concrétiser ces initiatives et faire entendre sa voix dans le design des solutions d’avenir. La finance solidaire en est l’incarnation parfaite : depuis que les technologies numériques ont propulsé son expansion et son impact, elle prouve qu’il est possible de déroger aux schémas traditionnels, et d’initier un rééquilibrage des rapports de force entre finance et bien commun. La Mairie du 14e arrondissement de Paris et les Up Conferences ont décidé de braquer les projecteurs sur trois porteurs de projets remarquables qui ont su s’approprier et déployer avec succès les promesses et les outils qu’offre la finance solidaire.
parmi les participants :
1- Une cooperative d'Engagement Financier, Bancaire & d'Epargne responsable dans le champ du crowdfunding :
SPEAR
http://www.spear.fr/
2 - Une originalité très utile contre la crise :
Le mariage start'up crowdfunding & petits commerces
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La Plateforme de financement participatif de proximité "BULB IN TOWN"
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http://bulbintown.com/
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Source : "20 minutes"
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ENTREPRISES - Les très petites entreprises (TPE) ont connu une année 2012 de rupture et tous les secteurs ont été touchés, sauf un: le commerce de proximité. Pourquoi fait-il mieux que les autres?...
«2012 a été une année noire pour les TPE, après deux ans de dynamisme». Ces mots ont été lâchés ce jeudi par la présidente de la fédération des centres de gestion agréés, Christine Company, à l’occasion du 48ème Observatoire de la petite entreprise. Ce secteur qui emploie 2,5 millions de personnes dont 1 million de salariés dans 400.000 TPE, a connu une baisse globale de 2% de ses revenus.
Un recul qui a des conséquences sur l’emploi et sur la croissance des TPE «globalement réactives, car dotées de petites structures, mais tout de même liées à l’économie réelle», rappelle Yves Marmont, vice-président de la fédération.
Les TPE ont les deux pieds dans le ciment, à cause du bâtiment
Nasser Negrouche, le rédacteur en chef de l’Observatoire de la petite entreprise, le reconnaît: «Il y a une forte préoccupation sociale chez les TPE qui avaient jusqu’à présent bien absorbé la crise. Plusieurs dizaines de milliers d’emplois pourraient être détruits dans les 18 prochains mois, notamment dans le bâtiment.» Et le léger recul de l’activité en 2013 n’arrangera rien.
Justement, l’artisanat du bâtiment (maçon, électricien, plombier, menuisier, peintre), l’acteur principal des TPE, est le plus touché, avec une chute de 4,8% de son chiffre d‘affaires l’an passé. «Le moteur n’existe plus», assène Christine Company.
A l’inverse, le commerce de détail alimentaire (dit de proximité) fait mieux que résister (+0,6% en 2012), en particulier les commerces de fruits et légumes (+2,2% et +2,7% projetés en 2013). Et les entreprises de nettoyage, les professionnels de parcs et les studios photos ont fait encore mieux l’an dernier.
Ce marché de proximité pèse 50 milliards d’euros annuels et emploie 350.000 personnes (+23% en 15 ans) dans 140.000 TPE de cinq salariés maximum. Une réussite dans une période où la création d’entreprises est en repli (-6% en 2012) et où les marges se dégradent.
La proximité, la solution de sortie de crise
Pourquoi la proximité cartonne? «On revient sur des produits naturels, moins industriels, c’est un nouveau modèle de consommation», explique Nasser Negrouche. Un constat qui fait les beaux jours des marchés, cavistes, crémiers, bouchers et poissonniers de quartier. Ce sont les «bénéficiaires secondaires de la crise», c’est-à-dire qu’ils profitent, en temps de crise, «du succès des circuits courts et de la valeur de consommation durable», poursuit le rédacteur.
Ces TPE ont une nouvelle image populaire avec un accueil et des produits de qualité qui ne sont pas réservés qu’aux riches. Et ces TPE ont besoin de soutien, que le préfinancement du CICE (crédit impôt) ou l’apport de la BPI (banque publique d'investissement) tenteront d’assurer. Un créneau porteur sur lequel s’est lancée la start-up web française Bulb in Town en créant une plateforme de financement participatif des «petits commerces près de chez vous».
Un secteur que l’on disait enterré par la grande distribution et qui finalement devient le plus dynamique, ayant justement «bien su prendre le virage numérique», conclut Nasser Negrouche.
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UN POINT DE VUE EN ALERTE FACE A CE QU'ON NOUS PREPARE DE LIBERTICIDE DES INTERNAUTES-CITOYENS :
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NOTRE METHODOLOGIE POUR L'ACTION :
NOTRE METHODOLOGIE POUR L'ACTION :
Pour cela nous ne voudrons pas agir seuls & fédèrer les bonnes volontés &les soutiens utiles d'Actions Universelles Sans Fron tières & susciter toutes formes de contribution universelle.
qui mutualisera la force des energies reliées qui empêchera ou ralentira la fuite en avant des économies incontrôlées & des plans sociaux dévastateurs & anxiogènes pour privilégier les forces créatrices & de partage par le développement d'une approche de l'économie par projets... ...accompagnés......parrainés....mutualisés.....en synergies.....accessibles à tous & à toutes.
LES ENTREPRISES & COLLECTIVITES PUBLIQUES & PRIVEES & INSTITUTIONS DIVERSES INTERESSEES POURRONT ADHERER AUX COOPERATIVES D'ACTIONS & DE PROJETS EN S'ENGAGEANT SUR NÖTRE CHARTE DE SOLIDARITE QUI NE DOIT LAISSER PERSONNE & AUCUN ÊTRE VIVANT SUR LE BORD DE LA ROUTE.......
Tous ces sujets qui sont de nature à couvrir le spectre complet de l'activité humaine se recoupe avec des initiatives existantes financées ou non, soutenues ou non qui mériteront tout nôtre soutien si plébiscités par les citoyens où tout le monde doit se sentir concerné & cesser en fin de "déléguer".....
.....Si le secteur audiovisuel TV public & privé produit des programmes "off limit" & des vieux films en passant à côté de la créativité des festivals petits & grands qui priment des bijoux qu'on ne verra presque jamais...........NOUS SOMMES BIEN SÛR RESPONSABLES.......
........IL NOUS FAUT NOUS REVEILLER DE CES CAUCHEMARDS INUTILES...........ET DANS BIEN D'AUTRES DOMAINES NOUS DEVONS REAGIR POUR REPOUSSER DANS L'IMPASSE LA FATALITE & RENVERSER LA VAPEUR DES INDIGNITES ECOSOCIALES........!!!!!
IL N'Y AURA PAS DE MIRACLE(S)...
.....C'EST ENSEMBLE QUE NOUS DEVRONS MARCHER MAIN DANS LA MAIN PAR DES PROJETS COHERENTS...........
POUR UN HORIZON PLUS CLAIR POUR LES GENERATIONS A VENIR & TOUS LES FUTURS POSSIBLES.............
Ce modèle Ecosocial ESS qui prend forme mérite d'être montré partout dans le monde où les réseaux ESS commencent à exister & se connecter à nous & nous irons porter la bonne parole
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OYEZ ! OYEZ !.......FAITES CONNAITRE
CE PROJET......
....... IL EN VAUT LA PEINE....!!!......DANS
NÔTRE INTERÊT COLLECTIF.....!!!!
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SOYONS DES CENTAINES, DES MILLIERS, & PLUS TARD..........DES MILLIONS & PLUS A NOUS REJOINDRE !
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si vous en avez l'envie, le souhait, la volonté,vous pouvez & pourrez contribuer & par là nous soutenir & nous aider
par des cotisations(première ligne) & droits d'entrées étudiés (deuxièmes ligne) & aussi sur nos souscriptions à vous soumet tre(sur demande) pour financer & développer grâce à vous, la condition de nôtre indépendance, à côté des concours institu tionnels publics & privés, nos programmes d'actions qui devront susciter des dizaines de soutiens....illimités jusqu'aux centaines de millions(référence à facebook) de soutiens en pro gression à venir vue la dimension universelle de nos inten tions & pourquoi pas toucher l'ensemble des consciences citoy ennes sur l'ensemble de la Planète en milliards de citoyen(ne)s...
...c'est possible si tout le monde,une fois convaincu du sérieux & de l'honnêteté des programmes d'actions, relaie & duplique l'information mise à disposition sans conditions pour l'action ("si tous les gars du monde pouvaient se donner la main"....... ..comme disait le Poète....)........ avec une Economie Solidaire & une Stratégie Rigoureuse Philantropique de Valeur Ajoutée, qui remettent les Politiques & les Acteurs Economiques & Sociaux Démocratiques & actifs au service des Citoyens en renforçant la capacité de la Société Civile à être Active & Réac tive démocratiquement ainsi aussi par la valorisation de l' In telligence Collective Solidaire & Sociale Pragmatique & Entreprenante.........au service de chacun(e) & de tou(te)s.........
...c'est possible si tout le monde,une fois convaincu du sérieux & de l'honnêteté des programmes d'actions, relaie & duplique l'information mise à disposition sans conditions pour l'action ("si tous les gars du monde pouvaient se donner la main"....... ..comme disait le Poète....)........ avec une Economie Solidaire & une Stratégie Rigoureuse Philantropique de Valeur Ajoutée, qui remettent les Politiques & les Acteurs Economiques & Sociaux Démocratiques & actifs au service des Citoyens en renforçant la capacité de la Société Civile à être Active & Réac tive démocratiquement ainsi aussi par la valorisation de l' In telligence Collective Solidaire & Sociale Pragmatique & Entreprenante.........au service de chacun(e) & de tou(te)s.........
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& + .....mais dans le raisonnable .....!!!!
bientôt un service de collecte électronique sera mis en place sur nos websites & websolutions pour les montants raisonnables tels que lisibles plus haut......& avec les autres montants seront adossés à des conventions & chartes garantisant la sécurité juridique de l'Economie Sociale & Solidaire.
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........pour la collecte d'une contribution universelle de base de 36€+1,08€ de frais soit : 37,08 € en vue de nôtre jubilé 2014/TRENTE ANS D'ACTION DETERMINEE......
............vous pourrez contribuer à partir de vôtre mobile si vous le souhaitez
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....Vous serez membres à part entière de la SCEIC dans un collège(groupe d'actionnaires) & pourrez participer à l'Action collaborative........
POUR TOUTES INFORMATIONS :
Laissez toutes vos coordonnées........& .................posez toutes les questions que vous souhaitez qui ne manqueront pas........comme disait Fernand RAYNAUD........"C'EST ETUDIE POUR"......!!!!
Jean-Guy JAIS jgj.labelm.interpanorama@gmail.com
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Avertissement
pour toute contribution, en modeste récompense à nous encourager de vôtre confiance, vous recevrez un ou plusieurs ouvrages suivant le montant de vôtre contribution que nous éditerons & publierons sur le modèle économique de l'économie sociale & solidaire pour les fêtes de noël & du jour de l'an..........distribué par une plateforme d'édition& de diffusion en ligne que nous selectionnons en ce moment.........
......Et tout au long de l'année vous bénéficierez d'autres avantages gratuis ou à un côut d'acces privilégiés d'un portail solidaire universel qui sera opérationnel début 2014 qui couvrirons vôtre engagement & au-delà.
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TOUTES CHOSES EGALES PAR AILLEURS :
1-ACTUALITE DES FONDATIONS
2- ACTUALITE DES ASSOCIATIONS & INITIATIVES D'INTERÊT COLLECTIF & D'UTILITE SOCIALE
http://www.grainesdechangement.com/
qui ont crée un site de consommation responsable pour la planète à utiliser sans compter :
http://www.mescoursespourlaplanete.com/
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Annonce MAIL FORGOOD DEVELOPPEMENT
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INVITATION - PETIT DEJEUNER PRESSE MailforGoo d
Boîte de réception
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Boîte de réception
14:48 (Il y a 2 heures)
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Crise économique et sociale, urgence écologique, Etat-providence en souffrance… Autant de paramètres qui invitent à repenser les modèles, à donner du sens. Aujourd’hui la technologie se met au service de l’économie sociale et solidaire, pour créer de nouvelles chaînes de valeur.
Dans ce contexte, Mailforgood, acteur majeur de collecte de dons pour le secteur caritatif avec plus de 4 millions d’euros collectés, élargit son action à toutes les associations et lance la plateforme HelloAsso
Pour venir échanger sur ces problématiques et assister au lancement de HelloAsso
INVITATION
PETIT DEJEUNER PRESSE
Mardi 19 novembre, à partir de 8h30, Paris 1er *
En présence d’Ismaël Le Mouël et Léa Thomassin, cofondateurs de Mailforgood
Bruno Humbert, cofondateur et mentor, Président de la Ruche,
Bruno Humbert, cofondateur et mentor, Président de la Ruche,
d’Alexandre Ayad, fondateur d’IZI-collecte, de Sébastien Forest, PDG d’Alloresto.fr, de Stéphane Monat, Directeur Marketing de PagesJaunes.fr, de Vincent Orgueil, Responsable pôle projets pour l’association L’Etoile de Martin et de Jean Karinthi, directeur de la Maison des Associations du 2ème arrondissement de Paris
Ce lancement sera aussi le moment d’annoncer plusieurs beaux projets, déjà concrétisés ou à venir : nouvelles fonctionnalités, évolution de la structure (levée de fonds et rachat d’un acteur majeur), partenariat avec des collectivités et sites de e-commerce, perspectives de la finance participative… autant de thématiques qui seront développées autour du lancement de ce nouveau service !
Déroulé
8H30 : Accueil Presse
9H : Début de la conférence. Présentation de HelloAsso et des nouvelles fonctionnalités.
10H30 : Questions Réponses
Places limitées, merci de bien vouloir vous inscrire avant le 12 novembre auprès de :
Mathilde Roche – mathilde@escalconsulting.com – 01 44 94 95 74 ou de Mélanie Da Rui – melanie@escalconsulting.com – 01 44 94 95 62
*Le lieu vous sera précisé, lorsque votre inscription sera validée par nos soins
A propos de MailforGood
Créée en 2010, par Ismaël Le Mouël, Léa Thomassin et Bruno Humbert, Mailforgood est une plateforme de découverte et de soutien du secteur associatif qui permet de donner à une association. Mailforgood est pensée pour les besoins des associations et de ceux qui souhaitent s’engager et s’inscrit dans une démarche d’économie participative. Les services sont ainsi entièrement gratuits, une partie de la rémunération provenant de pourboires laissés par les donateurs.
Mailforgood et Hello Asso sont à l'initiative de la Social Good Week, une semaine consacrée au numérique solidaire qui se tiendra du 9 au 15 décembre 2013 partout en France.
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source :
Réseau des Régions Europe pour l'Economie Sociale & Solidaire
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A ETENDRE ENSUITE AUSSI POUR LE SUD EUROMED-MENEA (MAGHREB-MACHREK)
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Medcoop : concevoir des clusters coopératifs européens26/07/2013Créée en avril 2013, l’association Medcoop regroupe des collectivités et des acteurs économiques de différentes régions d’Europe du sud investis dans l’économie coopérative. Tous ces acteurs souhaitent voir le développement de politiques publiques favorisant l’économie coopérative et son internationalisation. L’association est le principal résultat du Projet « ICS-MED, Economie Coopérative pour le Développement Local » qui a permis de faire avancer ses participants vers une culture commune des pratiques coopératives.
Alors que les Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE) entament leur émancipation en France, le concept de cluster coopératif européen est poussé en avant depuis trois ans par un certain nombre de territoires de l’Union européenne. Des fédérations de l’économie sociale, des organismes de recherche, la Région des Marches en Italie, les régions Rhône-Alpes et PACA en France, ou encore l’Epire en Grèce ont participé au projet ICS-MED afin d’évaluer sa faisabilité1. Le cluster, ou grappe d’entreprises selon la terminologie française, est à comparer aux pôles de compétitivité : son principe d’action est de stimuler les synergies économiques entre différents opérateurs d’un territoire en ciblant leurs objectifs communs. Par extension, le concept de cluster coopératif européen revient à imaginer la structuration de systèmes économiques transnationaux qui relieraient des entreprises sociales et de l’économie sociale, des universités, des collectivités autour d’objectifs de développement économique et reposant sur des principes de coopération.
De ICS à Medcoop
Les activités du programme ICS visaient en premier lieu à créer une culture commune entre les différents partenaires. Analyse comparée des politiques publiques en faveur des coopératives et de la coopération sur quatre secteurs (agriculture, tourisme, pêche environnement), échange d’expériences sur des pratiques précises comme l’écoconstruction, projets d’internationalisations d’activités… Durant trois ans, les rencontres séminaires et études ont permis d’avancer sur ce chemin et en avril 2013, lors du séminaire de clôture, l’association Medcoop a été fondée. « C’est le principal résultat du projet. L’association a vocation à pérenniser le réseau qui s’est formé et à le développer », explique Jean-Luc Chautagnat, de la coopérative d’activité et d’emploi Oxalis, et relais de Medcoop en France. Un plan d’action sur trois ans est en cours d’élaboration afin de voir émerger les premiers exemples tangibles de cluster coopératif européen. Il s’agira peut-être de ce projet, initié dans le cadre du projet ICS, de transfert d’une technologie américaine de rechargement de batteries par un regroupement de coopératives italiennes, françaises et espagnoles.
De ICS à Medcoop
Les activités du programme ICS visaient en premier lieu à créer une culture commune entre les différents partenaires. Analyse comparée des politiques publiques en faveur des coopératives et de la coopération sur quatre secteurs (agriculture, tourisme, pêche environnement), échange d’expériences sur des pratiques précises comme l’écoconstruction, projets d’internationalisations d’activités… Durant trois ans, les rencontres séminaires et études ont permis d’avancer sur ce chemin et en avril 2013, lors du séminaire de clôture, l’association Medcoop a été fondée. « C’est le principal résultat du projet. L’association a vocation à pérenniser le réseau qui s’est formé et à le développer », explique Jean-Luc Chautagnat, de la coopérative d’activité et d’emploi Oxalis, et relais de Medcoop en France. Un plan d’action sur trois ans est en cours d’élaboration afin de voir émerger les premiers exemples tangibles de cluster coopératif européen. Il s’agira peut-être de ce projet, initié dans le cadre du projet ICS, de transfert d’une technologie américaine de rechargement de batteries par un regroupement de coopératives italiennes, françaises et espagnoles.
Financements européens
C’est à la Région des Marches, située sur la côte adriatique au nord de Rome, que revient le chef de filat du programme ICS. Forte d’un secteur coopératif développé et d’une direction dédiée à l’internationalisation de son économie, la collectivité régionale a porté le projet européen ICS qui a bénéficié des fonds européens du programme Med. Ce programme puise dans le Fonds européen de développement régional (Feder) pour soutenir des projets transnationaux entre pays de l’Europe méditerranéenne. Le Feder a contribué à hauteur de 1,365 millions € à ICS sur un budget total de 1,82 millions €. Tout le portage administratif a été assuré par la « Direction de l’internationalisation » de la collectivité italienne qui a apporté par ailleurs 75 000 €.
C’est à la Région des Marches, située sur la côte adriatique au nord de Rome, que revient le chef de filat du programme ICS. Forte d’un secteur coopératif développé et d’une direction dédiée à l’internationalisation de son économie, la collectivité régionale a porté le projet européen ICS qui a bénéficié des fonds européens du programme Med. Ce programme puise dans le Fonds européen de développement régional (Feder) pour soutenir des projets transnationaux entre pays de l’Europe méditerranéenne. Le Feder a contribué à hauteur de 1,365 millions € à ICS sur un budget total de 1,82 millions €. Tout le portage administratif a été assuré par la « Direction de l’internationalisation » de la collectivité italienne qui a apporté par ailleurs 75 000 €.
Un nouveau projet européen, intitulé CITEK, est en cours de définition afin de prendre le relais d’ICS. Le projet CITEK a permis de s’ouvrir à deux nouveaux pays, la Slovénie et la Croatie, dernière recrue de l’Union européenne. Il s’inscrit dans les projets de capitalisation de la zone MED pour clore la programmation 2007-2013.
Philippe Chibani-Jacquot
1 Les partenaires d’ICS sont : Instituto Pedro Nunes (Association pour l’innovation et le développement en science et technologie) et l’Université de l’Algarve au Portugal, la Fondation pour le Développement et l´Innovation Technologique de Catalogne (Funditec), la Confédération Andalouse des Entités pour l´Économie Sociale (Cepes Andalucia) en Espagne, le Pôle Régional d’Innovation et de Développement Economique Régional CARAC’TERRES (PRIDES Tourisme en PACA) et Oxalis (Rhône-Alpes) en France, la Société de Développement Municipal de Milies S.E. Thessalia et l’Autorité Régionale d’Epire-Ipeiros en Grèce, la Région des Marches et la fédération coopérative Legacoop Marche en Italie.
1 Les partenaires d’ICS sont : Instituto Pedro Nunes (Association pour l’innovation et le développement en science et technologie) et l’Université de l’Algarve au Portugal, la Fondation pour le Développement et l´Innovation Technologique de Catalogne (Funditec), la Confédération Andalouse des Entités pour l´Économie Sociale (Cepes Andalucia) en Espagne, le Pôle Régional d’Innovation et de Développement Economique Régional CARAC’TERRES (PRIDES Tourisme en PACA) et Oxalis (Rhône-Alpes) en France, la Société de Développement Municipal de Milies S.E. Thessalia et l’Autorité Régionale d’Epire-Ipeiros en Grèce, la Région des Marches et la fédération coopérative Legacoop Marche en Italie.
Pour aller plus loin :
Medcoop
Jean-Luc Chautagnat
tél. : 04 79 85 35 19
courriel : ics.med@oxalis-scop.org
site web : www.medcoop.eu
Jean-Luc Chautagnat
tél. : 04 79 85 35 19
courriel : ics.med@oxalis-scop.org
site web : www.medcoop.eu
Région des Marches
Marina Maurizi, Direction de l’internationalisation
tél. : +39 0 718 062 279
courriel : marina.maurizi@regione.marche.it
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COOPERATION EUROMED
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LE PÔLE MED SE MET EN PLACE LE 8 NOVEMBRE 2013 A MARSEILLE
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SEMAINE DE LA FINANCE SOLIDAIRE
Ile-de-France
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Publié le 18 octobre 2013
30 ans de finance solidaire au CCFD-Terre Solidaire… et après ?
A l’occasion de la semaine de la finance solidaire, le CCFD-Terre Solidaire organise un colloque avec la SIDI, mercredi 6 novembre, au Collège des Bernardins, et lance un nouveau produit d’épargne de partage avec le Groupe Crédit Coopératif.
Mots-clés :Finance solidaire
© CCFD-Terre Solidaire
Véritable précurseur de l’épargne solidaire en France, le CCFD-Terre Solidaire lançait en 1983, avec des congrégations religieuses et le Groupe Crédit Coopératif, le premier fonds commun de partage (FCP) en Europe, « Faim et Développement ». Dans une synergie innovante, il créait parallèlement une filiale, la SIDI, pour financer des activités économiques dans les pays du Sud.
La finance solidaire : un pari qui rencontre un succès grandissant
La France compte plus d’un million d’épargnants solidaires - contre 272 000 en 2006 - pour un encours de 4,712 milliards d’€. En investissant dans l’économie réelle, l’épargne solidaire a permis en 30 ans de financer plus de 20 millions de petits entrepreneurs dans les pays en développement (Baromètre Finansol 2013).
Une synergie efficace pour financer des petits projets économiques
La création simultanée du fonds « Faim et Développement » et de la SIDI, permet au CCFD-Terre Solidaire depuis 1983, de donner accès au crédit à des porteurs de projets économiques, exclus des circuits bancaires traditionnels de leur pays mais porteurs de projets viables. Développement social et économique sont ainsi portés de façon complémentaire par le CCFD-Terre Solidaire et la SIDI au profit des populations marginalisées.
Le FCP Faim et Développement : porté et distribué par le Crédit Coopératif et sa filiale de gestion Ecofi Investissements « Faim et Développement » arrive parmi les premiers fonds de partage en termes d’encours, réparti en trois compartiments : Trésorerie, Solidarité et Equilibre. Il existe également une autre version : Faim et Développement Agir CCFD, commercialisable par tous les réseaux bancaires en France. Les souscripteurs peuvent choisir de reverser au CCFD-Terre Solidaire 50 ou 75 % des revenus annuels de ce placement. Depuis sa création, le FCP Faim et Développement a rapporté plus de 23 millions d’euros. Il compte aujourd’hui 5 000 souscripteurs.
- La SIDI (Solidarité internationale pour le développement et l’investissement) : Société d’investissement solidaire, la SIDI est dotée d’un capital de 15,4 millions d’euros, dont 96% sont investis auprès de 65 partenaires dans 30 pays. Elle apporte un appui financier et technique à des structures de financement de proximité (SFP) qui proposent des services d’épargne, de crédit, d’accès au marché et de mutualisation des risques durables. En 30 ans, elle a financé plusieurs millions de petits entrepreneurs urbains et ruraux (plus de 2 millions de bénéficiaires en 2012 dans 30 pays).
- La SIDI (Solidarité internationale pour le développement et l’investissement) : Société d’investissement solidaire, la SIDI est dotée d’un capital de 15,4 millions d’euros, dont 96% sont investis auprès de 65 partenaires dans 30 pays. Elle apporte un appui financier et technique à des structures de financement de proximité (SFP) qui proposent des services d’épargne, de crédit, d’accès au marché et de mutualisation des risques durables. En 30 ans, elle a financé plusieurs millions de petits entrepreneurs urbains et ruraux (plus de 2 millions de bénéficiaires en 2012 dans 30 pays).
Quelques exemples d’initiatives financées par la SIDI et le CCFD-Terre Solidaire
En Afrique du Sud, pays marqué par des inégalités criantes, Tembeka facilite l’accès au crédit pour les créateurs d’activités génératrices de revenus dans les townships. « Tembeka » signifie « digne de confiance », car le taux de remboursement des prêts est exceptionnellement élevé.
En Haïti, grâce au 110 Mutuelles de solidarité, promues par l’association Fonhsud, des communautés rurales du sud du pays peuvent mener des travaux de protection de l’environnement (reboisement), de prévention sanitaire et développer des activités génératrices de revenus.
Au Vietnam, l’action conjointe de la SIDI et du CCFD-Terre Solidaire permet l’équipement de petites unités de production de thé noir dans le nord du pays et l’obtention de la certification bio et équitable.
Innovation : lancement du Compte à Terme Agir pour le CCFD destiné aux personnes morales
A l’occasion de cet anniversaire, le Crédit Coopératif lance un nouveau produit de partage : « le Compte à Terme Agir pour le CCFD », le premier du genre au niveau national. Ce placement de partage « garanti et sans risque » permet aux épargnants, personnes morales, entreprises, de soutenir les projets du CCFD-Terre Solidaire puisque 50% des intérêts perçus sont reversés à l’association. D’un montant minimum de 1 000 euros, ce compte à terme se caractérise par un taux de rémunération fixé à la souscription pour toute la durée du placement.
Le colloque « 30 ans de finance solidaire au CCFD…et après ? »
Mercredi 6 novembre, une journée de conférence-débat réunira banques, institutions de microfinance, ONGs, opérateurs du Sud… Quelles réussites, quelles évolutions, quels défis, comment développer la finance solidaire ? Parmi les intervenants : François Doremus, directeur général du Crédit Coopératif, Guy Aurenche, président du CCFD-Terre Solidaire, Christian Schmitz, directeur général de la SIDI, Mgr Cyprian Lwanga, membre du Conseil d’administration de Centenary Bank, Frédéric Tiberghien, président de Finansol...
Contacts presse :
CCFD-Terre Solidaire
Véronique de La Martinière
01 44 82 84 64/ 06 07 77 05 80
Véronique de La Martinière
01 44 82 84 64/ 06 07 77 05 80
SIDI
Laurent Chéreau
01 40 46 70 10/06 18 42 58 31
Laurent Chéreau
01 40 46 70 10/06 18 42 58 31
Les produits de finance solidaire proposés par le CCFD-Terre Solidaire depuis 1983
- 1983 : Faim et Développement : premier fonds commun de partage (FCP) lancé avec le Crédit Coopératif.
- 1992 : Solidarité-CCFD-Terre Solidaire (SICAV), gérée par Amundi, pour le développement d’activités économiques en Europe et en direction des migrants.
- 2001 : Ethique et partage-CCFD (FCP), géré par Meeschaert Asset management, premier produit boursier en France à la fois 100% éthique et solidaire.
- 2008 : Faim et Développement- Agir CCFD (FCP), conçu avec le Crédit Coopératif pour financer des structures locales de crédit dans les pays du Sud et de l’Est.
- 2010 : Deux nouveaux produits, livrets d’épargne : Agir CCFD-Terre Solidaire, avec le Crédit Coopératif ; et Service Epargne Solidaire, avec la Société Générale, pour renforcer le soutien du CCCFD-Terre Solidaire à ses partenaires dans le monde.
- 2013 : Le « Compte à terme Agir pour le CCFD », produit de partage lancé avec le Crédit Coopératif, à taux de rémunération fixé à la souscription, destiné aux personnes morales soucieuses de leur responsabilité sociétale.
Lien vers le programme et l’invitation au colloque « 30 ans de finance solidaire au CCFD…et après ? » : http://ccfd-terresolidaire.org/espace-presse/les-conferences-et/invitation-445
en association avec la SIDI : http://www.sidi.fr/
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SOLIDARITE
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ALGERIE :
LA DIASPORA ALGERIENNE DANS LE MONDE (Approxivativement)
Source : Association AIDA...aida.org
LA DIASPORA ALGÉRIENNE
Près de 5 millions d’Algériens établis en France
Selon les chiffres officiels donnés par le ministère français des affaires étrangères, la France abrite la plus importante communauté algérienne à l'étranger. Elle est estimée à 900 000 personnes, dont près de 450 000 binationaux, c'est-à-dire ceux qui possèdent la nationalité algérienne et française. Cela dit ce chiffre n’inclut pas les sans-papiers ni les réfugiés. D’après quelques observateurs, il y aurait près de 5 millions d’Algériens sur le territoire français. Il faut savoir que l’immigration algérienne en France est très particulière puisque elle est liée au passé colonial. Cette immigration a débuté dans les années 1900-1905. Elle fut avant tout ouvrière, kabyle, et essentiellement masculine. Dès la fin de deuxième Guerre mondiale, un nouveau statut de citoyenneté est accordé aux Algériens, donnant notamment le droit à la libre circulation et un peu plus tard au regroupement familial. Pendant, les années 1990, le flux migratoire s’est multiplié par 10 créant un véritable rush. Aujourd’hui, beaucoup de ces Algériens créent de la richesse et occupent des postes à responsabilité dans le pays de Molière.
Entre 120 000 et 140 000 en Amérique du Nord
Si la France détient le record du nombre d’Algériens établis sur son territoire, il n’en demeure pas moins que l’Amérique du Nord, elle aussi présente une forte communauté notamment aux États-Unis et au Canada. C’est une immigration relativement récente : ce sont notamment des Algériens établis dans ces deux pays depuis les années 1970. Selon Hocine Khelfaoui, auteur d’un rapport sur la diaspora algérienne en Amérique en 2006 pour la commission européenne, ce sont au départ, des étudiants partis effectuer des formations supérieures aux États-Unis et au Canada. A la fin de leurs études, ils ont choisi de s’y établir. Selon Hocine Khelfaoui, à partir des années 90, l’émigration a pris une autre forme : les Algériens viennent dans ces pays pour des raisons économiques et sécuritaires, l’Algérie étant touchée par le terrorisme durant cette décennie 90. Toujours selon le même rapport, le nombre d’Algériens installés en Amérique du Nord est évalué entre 40 000 et 60 000 : un tiers au États-Unis, deux tiers au Canada. Le Québec continue d’être une terre d’accueil pour les algériens : pour les six premiers mois de l’année 2007, le Québec a accueilli 20 519 immigrants dont 20% d’Algériens, selon des statistiques officielles fournies par le Gouvernement fédéral du Canada. Cependant, selon quelques informations, ils seraient entre 120 000 et 140 000 Algériens en Amérique du Nord soit environ 110 000 au Canada, 30 000 aux USA et 2 000 au Mexique. Rien que pour le Canada, depuis cinq ans, l’Algérie se place au premier rang africain en matière de nombre d’émigrés qui choisissent le Canada. En effet, de 2001 à 2004, pas moins de 15 739 Algériens ont ainsi émigré vers ce pays.
Près d’un million d’Algériens dans les autres pays d’Europe
Les Algériens sont également présents dans d’autres pays d’Europe. Les consulats algériens dans les grandes capitales européennes donnent des indications concernant leur nombre. Cela a été le cas lors du dernier scrutin législatif du 17 mai 2007, ou les consulats algériens ont un nombre d’électeurs inscrits. Les listes électorales établies au niveau des consulats d’Algérie confirment que : 5 000 électeurs sont recensés en Italie, 14 000 en Espagne 19 997 en Grande-Bretagne. Cependant ces chiffres n’incluent pas nos compatriotes en situation irrégulière dans ces pays-là. D’après certaines informations, ils seraient environ 300 000 en Espagne, 50 000 en Italie, 13 000 en Suisse, 22 000 en Allemagne, 50 000 en Belgique et pas moins de 250 000 en Angleterre.
Peu d’informations dans les pays arabes
Les statistiques n’est vraiment le fort des pays arabes. D’où l’inexistence de chiffres officiels. Toutefois, certains observateurs avancent le chiffre de 12 000 Algériens en Tunisie, 11 284 au Maroc et près de 2 000 inscrits en Égypte. Les Algériens ne sont pas présents que dans les pays cités. Ils se trouvent un peu partout dans le monde mais aucune statistique officielle n’est disponible notamment en ce qui concerne les pays de l’Afrique noire, d’Asie, de l’Amérique latine et enfin du Moyen orient.
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DISTINCTIONS A L'ETRANGER
Canada : Une autre distinction pour la documentariste Nadia Zouaoui
le 03.11.13 | 14h59
zoom | © Omar Abdelkhalek
LA JOURNALISTE ET DOCUMENTARISTE NADIA ZOUAOUI A REMPORTÉ CE SAMEDI LA PALME D’OR 2013 DU 10ÈME GALA DE LA FONDATION CLUB AVENIR, UN ORGANISME QUI ENCOURAGE L’EXCELLENCE CHEZ LES ALGÉRIENS DU CANADA.
Le parcours de Nadia Zouaoui a retenu l’attention du jury. Après son premier documentaire, plus personnelle, sur la condition de la femme algérienne en général et kabyle en particulier, elle a produit un autre sur la montée de l’islamophobie aux Etats-Unis après les attentats du 11 septembre – Peur, Colère et Politique. Un film « boycotté » au Québec et au Canada par les grands médias. Ceci ne l’a pas empêché de récolter plusieurs distinctions à différents festivals : Vues d’Afrique, Harlem film festival… Récemment, elle a produit pour Al Jazeera Documentary une série de portraits sur l’immigration.
Morad Atif d’Ottawa, directeur général au CNRC (Conseil National de Recherche du Canada) a remporté le prix de la réussite exceptionnelle.
Lors de cette soirée imprégnée de musique andalouse de Behidja Rahal qui s’est déplacée à Montréal pour l’occasion, plusieurs autres distinctions ont été remises : Personnalité de l’année à Said Amiri un Algérien vivant au Québec depuis les années 1970 et qui cumule plusieurs réussites entrepreneuriales. Le prix de la Contribution communautaire est revenu à Mohamed Chelali de Vancouver en Colombie Britannique dans l’Ouest canadien rendu célèbre en 2002 après avoir sauvé la vie du président français de l’époque.
Le Grand prix Jeune potentiel est revenu à deux jeunes lauréats : Mohamed Farsi de Montréal, un athlète mutlidisciplinaire (taekwondo et football) et multimédaillé et Lina Bensaidane de la ville de Québec, lauréate de plusieurs médailles aux Expo-Sciences québécoises et canadienne et d’une bourse d’études de l’université Western de l’Ontario.
Samir Ben
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CINEMA :
source el watan
Premier Festival maghrébin du cinéma à Alger : le Maghreb s’affiche !
le 04.11.13 | 15h30
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DÉSORMAIS, ALGER A SON FESTIVAL MAGHRÉBIN DE CINÉMA. LA TOUTE PREMIÈRE, FRAÎCHE, ÉMOULUE ÉDITION A ÉTÉ ÉTRENNÉE OFFICIELLEMENT, DIMANCHE SOIR. IL SE TIENT DU 3 AU 8 NOVEMBRE 2013 À LA SALLE EL MOUGGAR ET À LA CINÉMATHÈQUE ALGÉRIENNE OÙ 70 FILMS SERONT PROJETÉS.
Dans son discours inaugurant cet événement dédié au film maghrébin à la salle El Mouggar, Mme Khalida Toumi, ministre de la Culture soulignera : « C’est avec une grande satisfaction et une forte émotion que je vois se réaliser enfin ce grand projet de manifestation cinématographique tant attendu…Un devoir de réunir et d’unir le meilleur de ce que nous produisons au Maghreb. Un espace de partage…Un ciment de la construction d’un avenir meilleur plus solidaire, fraternel, au services de nos peuples…Une occasion, une tribune de réflexion commune pour lever les entraves au rayonnement du film maghrébin…Il s’agit de l’absence de circulation du film maghrébin. Le film algérien, marocain, tunisien, n’est vu que par les festivaliers…Une anomalie aux plans culturel, économique et politique… ».
« La Loi de finance pour 2014 rendra, enfin, les salles de cinémas au cinéma… »
De front , Mme Khalida Toumi mettra l’emphase sur une urgence. Les problèmes de la distribution et l’exploitation cinématographiques : « Le projet de récupération par le ministère de la Culture, du parc national des salles de cinéma-hélas fermées, délabrées ou détournées-permet des perspectives prometteuses. Aussi, nous comptons sur la Représentation Nationale quant au votre de la Loi de finance pour 2014 qui rendra, enfin, les salles de cinémas au cinéma… ».
Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, présent à l’ouverture solennelle déclarera : « Je suis là pour encourager cette initiative. Il s’agit de créer un espace culturel maghrébin ainsi que dans tous les domaines de nos perspectives. J’espère que cela deviendra une tradition. Une obligation de la construction du Maghreb unissant le futur de nos peuples. Catalyseur du grand Maghreb. Quels que soient les difficultés… ».
Aussi, l’insigne honneur d’inaugurer ce 1er Festival maghrébin du cinéma est revenu au film marocain La 5e corde dont Selma Bergach signe la réalisation et le scénario et met en vedette Ali Esmili, Hichem Rostom, Khouloud Betioui, Claire Helene Cahen ou encore Mohamed Elkhalfi. Un film montrant une dextérité filmique aux bons plans et le souci du détail. C’est que Selma Bergach à l’œil design. Un regard mouvant et émouvant. Une belle histoire du luth…de classe.
K. Smail
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Ce secteur est composé en France & en EUROPE, jusqu'à présent des cinéastes habitués aux concours publics en France comme modèle de financement & s'adapter aujourd'hui en France qui connait aussi une crise des salles "art & essai" & des salles de cinéma mythiques aussi abandon nées comme LA SCALA à Paris que nous essayons de faire reprendre (après que la ville de PARIS ait investi de refaire revivre "le LOUXOR" à BARBES) face à la concurence des outils de communication personnels ou en famille qui ont tué cet art, le 7°art, fait de la magie du partage en salle.
Ce secteur est habitué à être le produit du tout subventionné par l'état mais qui perçoit les nécessité d'un multipartenariat en vue de faire emmerger en s'inspirant d'autres expèriences dont les françaises les plus proches cultu rellement des algériens qui font leurs films en france & les font financer, des producteurs indépendants chez les créateurs professionnels & contri buer aussi à "réessaimer"un public qui en dehors des Cinémathèques & Médiathèques publiques, doit pouvoir être incité à quitter le divan familial du confort TV des dvd & autres cassettes video de cinéma, & rejoindre des salles de cinéma qui doivent entr'autres films commerciaux des grands réseaux, projeter aussi des films indépendants exigeants (qui font le succès des festivals internationaux pour la production algerienne exclue de l'accès au public des algériens & algériennes au pays à quelques festivals & projec tions très isolées) dans des Ciné-Clubs indépendants à la programmation exigeante & créateurs d'activitéS & d'emplois.
Ces structures seront accompagnées avec des activités liées génératrices d'un modèle économique de librairies dédiées pour les ventes liées de près ou de loin aux contenus des films projetés, de livres dvd & d'acces soires liés aux films (affiches, tee-shirts, etc....)ou de cafétarias conviviales asso ciées à la salle dont le côut du ticket de la projection doit être très accessi ble.......pour faire revenir le public dans les salles en ciblant les étudiants, les associations & les familles.........pour leur offrir des séances de projec tions-évènements de Pédagogie Citoyenne par le Cinéma & le Documentai re ..
..Et ce, en se préservant des censeurs exégétes de la richesse créatrice souvent ignorants ultra-religieux illuminés terrorisant des gens de bonne foi pour qui peut-être il serait intelligent de créer des Espaces Cinéma de thé matiques religieuses rattachées aux centres de Formation & d'Education Familiale & de la Jeunesse relevant du Ministère dédié aux Affaires Religieu ses en charge aussi de règlementer l'Education & l'Enseignement Religieux qui doivent passer par l'image partagée en public en salle VIDEO & CINE pour éviter les fausses polémiques susceptibles d'échauffer les esprits qui ne disposeraient pas de leur périmètre cultuel lorsque des projections de films & de documentaires & des débats associés seront susceptibles de créer un équilibre citoyen & d'oc cupper ces esprits parfois nourris de curio sité & les éloigner du fait de se croire les censeurs obligés de la liberté de création pour avoir la fierté de disposer de leur propre périmètre de diffu sion cinématographique mis à la disposition d'un système doté d'un riche catalogue de contenus religieux ou de sujets connexes en référence.
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PARCEQU'IL FAUDRA BIEN PAR EXEMPLE & POUR LE PRINCIPE, POUVOIR POUR LE GRAND PUBLIC ADAPTER UN JOUR LES OEUVRES LITTERAIRES DE SIR SALMAN RUSHDIE QUI SONT ENTR'AUTRES DANS LES PROJETS DE REALISATEURS PROFESSIONNELS ARABES & MUSUL MANS EPRIS DE LIBERTE CREATRICE NOTAMMENT EN EGYPTE...
....IL PEUT LE DEVENIR PAR PROCURATION CULTURELLE OU L'ACTION VISIONNAIRE DE LA CREATION.........
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La Plume d'Oie du Serpent
Jean-Guy JAIS,
jgj.labelm.interpanorama@gmail.com
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A H
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UN EXEMPLE DE PROJET GAGNANT........
Un exemple d'une intégration économique d'un entrepreneur intelligent gagnant
http://www.kassaman.com/article-hadj-khelil-l-entreprenariat-vert-en-algerie-source-algerie-focus-120448560.html
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Parceque ce qui a tué le cinéma des salles de projection des trente derniè res années en Algérie, au delà de leur abandon & du manque de moyens, & la mauvaise image à part les cinémathèques qui ont porté la cinéphilie algérienne à bouts de bras, ce sont les censures familiales & les fermetures de censure morale déclarées décretées dans les années 90 par les pouvoirs publics sous influence dont la conséquence a été de tenter d'imposer un désert de fait culturel qui refleurit de plus en plus par de nouvel les inten tions des pouvoirs publics & la volonté des citoyens & citoyennes de ne pas cèder à la fatalité & de tout faire pour re trouver le plaisir du loisir Cinéma & de sa dimension culturelle intellectuelle nécessaire & incontournable.
Une loi de finance en 2014, voulue par un Ministère de la Culture très actif sous l'impact déterminé de la Ministre elle-même KHALIDA TOUMI, multipliant les aides à la production selon les moyens & ce qui est plus dans ses possibilités par la création de festivals dont le dernier-né "le festival d'ALGER du Cinéma du Maghreb" après "le Festival International du film ARABE d'ORAN" qui a su prendre son envol professionnel, pour attirer les regards des cineastes habitués à voir du côté du Maroc, vers l'Algérie en primant d'ailleurs un film Marocain, & déterminé à avancer sur cet enjeu im portant même politiquement du retour de ce loisir dans la vie culturelle quo tidienne en Algérie malgré les moyens limités sauf si les dividendes pétro liers portent sérieusement de façon durable des décisions stratégiques sur les investissements sociaux & procurent une rallonge significative)
Cette action programmée dans le temps va peut-être permettre de redesti ner les salles de Cinéma pour le Cinéma dont les élu(e)s mobilisés de l'APN l'Assemblée Populaire Nationale Algérienne(jadis longtemps dirigée par le Frère(du parti FLN) ,aujourd'hui disparu, héros national membre de l'histori que OCFLN qui a déclenchée la guerre de libération, Rabah BITAT, (époux disparu de Madame ZORAH DRIFF-veuve BITAT (incarcérée en france de 1957 jusqu'à l'indépendance) elle-même héroïne nationale & Vice-Présiden te du Sénat Algérien) qu'on surnommait gentillement par la faconde popu laire inspirée d'un adage normand bien connu & reproduit en Algérie à une époque où l'humour populaire était une expression de démocratie populaire réappropriée reconnue : "BITAT...OUI...BITAT NON...BITAT OUI OU NON"... ...humour algerois !!)..
.... Vont-ils & elles(les députés élu(e)s voter des dispositions contraires à certains agissements domma geâbles de la situation antérieure dont ils & elles ne sont pas exemptes,d'une institution chambre d'enregistrement reconnue dans la presse & l'opinion algerienne populaire & souvent contes tée par les cito yens (plus exigeants que les Français quand ça ne va pas).
mais en fait en plus avec quels moyens à la clé, le chantier idéal serait & est collosal de l'ordre de plusieurs milliards de $ pour disposer progressive ment au moins d'un parc de 600 salles (dont il faut ajouter les nouvelles salles municipales depuis l'indépen dance) issues du "butin de guerre des biens vacants lais sés par les propriétaires français" souvent des familles de commerçants d'origine israélite, qui travaillaient dans d'autres domaines dont les bénéfices leur ont permis d'investir ce secteur à son démarrage lorsque Cinéma rimait avec Fête & convivialité de quartier où l'on organisait de fameux radio-crochets chantants , car c'est dans cette communauté que des entre preneurs de cinéma se sont souvent investis même partout dans le monde dont les USA par des migrants Juifs allemands & russes & des catholiques irlandais & anglais comme Douglas Fairbanks associé à Charlie Chaplin pour la production & les Frères WARNER(Warner Bros), & aussi comme au Maroc, en Tunisie, ou au Liban & en Egypte au Caire ou à Alexan drie, où les Frères Hakim, aussi producteurs de Cinéma ARABE à l'époque où OUM KALTHOUM naissait à son art & son talent, sont venus construire & exploi ter des établissements comme le REX à PARIS,salle de plus de 2.000 places , qui a eu des jumeaux en province mais qui reste une salle mithyque du cinéma des années trente" mais à l'époque dépassée par "le Majestic"(aujourd'hui la salle ATLAS)(en 1927 plus grand cinéma d'Europe, à Alger /Bab-el-oued(quartier populaire doté de sept salles de cinéma hors Alger-centre), qui recevait les plus grands artistes français,occidentaux & orien taux,& passait les plus grands films projetés à Paris) pour ce qui concerne celles qui n'ont pas été détruites pour faire un parking comme à Constanti ne,"le Colisée" l'un des plus grands Cinéma d'Afrique des années 60 & 70, dans un parc de salles qui prééxistait à l'indépendance & dont les salles ont fonctionné tant bien que mal jusqu'à la fin des années 80.
L'Algérie a-t-elle besoin de récupérer des salles de Cinéma musées symbôles de l'architecture du patrimone réaproprié qui ont le mérite d'exister.
Mais l'Algérie, selon des avis éclairés dans la presse, aurait besoin de mieux exploiter ses outils culturels publics apparemment autant abandonnés ces dernières années que les salles de cinéma, sauf concernant certaines collectivités & associations dynamiques culturellement mais manquant de moyens.
Pour revenir à un système cohérent d'exploitation & de distribution avec de nouveaux entrants professionnels à former, l'Algérie aurait besoin ensuite d'une couverture de la création de Plus de 1.500 salles (pour une démogra phie équivalente la moité de la population française), "jauge" minimale de 600 fauteuils par salle à minima dont certaines rattachées à des projets de centres commerciaux pour les multiplexes comme celui du Centre de réfé rence Internationale Algéro-Suisse Commercial de BAB-EZZOUAR de 40.000m2 inimaginable encore aujourd'hui en France, entre l'université & l'aéroport international d'Alger, ayant un directeur suisse né en algérie, & d'autres à des projets culturels ou professionnels ados sés à des studios & lieux pros, qui doivent être partie prenante d'un vrai système d'exploitation & de distribution qui ne s'inven te pas sur un clic ministériel mais demande ra du temps & surtout que l'état laisse, comme recemment demandé par un profession nel, le secteur géré par des gens qui veulent s'en occupper avec de vraies vocations culturelles & professionelles du sens de l'animation populaire, d'un secteur au modèle économique & social qui appartient pour le moment à l'inconnu.....
...C'est tout un peuple de cinéphile à ramener au "bercail de la Lumière magique de la Boite à Images & aux Sons" au plaisir de partager de façon respectueuse des autres comme à la Cinéma thèque AVEC SI POSSIBLE LE CINEMA COMME SEULE RELIGION & qui doit cohabiter avec ce qui s'est enraciné dans le confort de la maison familiale avec les dvd & cassettes videos ou V.O.D. sur internet.......sur l'ordinateur ou la tablette.. ...qui ont détourné le Cinéma de sa réalité partagée en salle qui en fait tout son sel...
Cette action programmée dans le temps va peut-être permettre de redesti ner les salles de Cinéma pour le Cinéma dont les élu(e)s mobilisés de l'APN l'Assemblée Populaire Nationale Algérienne(jadis longtemps dirigée par le Frère(du parti FLN) ,aujourd'hui disparu, héros national membre de l'histori que OCFLN qui a déclenchée la guerre de libération, Rabah BITAT, (époux disparu de Madame ZORAH DRIFF-veuve BITAT (incarcérée en france de 1957 jusqu'à l'indépendance) elle-même héroïne nationale & Vice-Présiden te du Sénat Algérien) qu'on surnommait gentillement par la faconde popu laire inspirée d'un adage normand bien connu & reproduit en Algérie à une époque où l'humour populaire était une expression de démocratie populaire réappropriée reconnue : "BITAT...OUI...BITAT NON...BITAT OUI OU NON"... ...humour algerois !!)..
.... Vont-ils & elles(les députés élu(e)s voter des dispositions contraires à certains agissements domma geâbles de la situation antérieure dont ils & elles ne sont pas exemptes,d'une institution chambre d'enregistrement reconnue dans la presse & l'opinion algerienne populaire & souvent contes tée par les cito yens (plus exigeants que les Français quand ça ne va pas).
mais en fait en plus avec quels moyens à la clé, le chantier idéal serait & est collosal de l'ordre de plusieurs milliards de $ pour disposer progressive ment au moins d'un parc de 600 salles (dont il faut ajouter les nouvelles salles municipales depuis l'indépen dance) issues du "butin de guerre des biens vacants lais sés par les propriétaires français" souvent des familles de commerçants d'origine israélite, qui travaillaient dans d'autres domaines dont les bénéfices leur ont permis d'investir ce secteur à son démarrage lorsque Cinéma rimait avec Fête & convivialité de quartier où l'on organisait de fameux radio-crochets chantants , car c'est dans cette communauté que des entre preneurs de cinéma se sont souvent investis même partout dans le monde dont les USA par des migrants Juifs allemands & russes & des catholiques irlandais & anglais comme Douglas Fairbanks associé à Charlie Chaplin pour la production & les Frères WARNER(Warner Bros), & aussi comme au Maroc, en Tunisie, ou au Liban & en Egypte au Caire ou à Alexan drie, où les Frères Hakim, aussi producteurs de Cinéma ARABE à l'époque où OUM KALTHOUM naissait à son art & son talent, sont venus construire & exploi ter des établissements comme le REX à PARIS,salle de plus de 2.000 places , qui a eu des jumeaux en province mais qui reste une salle mithyque du cinéma des années trente" mais à l'époque dépassée par "le Majestic"(aujourd'hui la salle ATLAS)(en 1927 plus grand cinéma d'Europe, à Alger /Bab-el-oued(quartier populaire doté de sept salles de cinéma hors Alger-centre), qui recevait les plus grands artistes français,occidentaux & orien taux,& passait les plus grands films projetés à Paris) pour ce qui concerne celles qui n'ont pas été détruites pour faire un parking comme à Constanti ne,"le Colisée" l'un des plus grands Cinéma d'Afrique des années 60 & 70, dans un parc de salles qui prééxistait à l'indépendance & dont les salles ont fonctionné tant bien que mal jusqu'à la fin des années 80.
L'Algérie a-t-elle besoin de récupérer des salles de Cinéma musées symbôles de l'architecture du patrimone réaproprié qui ont le mérite d'exister.
Mais l'Algérie, selon des avis éclairés dans la presse, aurait besoin de mieux exploiter ses outils culturels publics apparemment autant abandonnés ces dernières années que les salles de cinéma, sauf concernant certaines collectivités & associations dynamiques culturellement mais manquant de moyens.
Pour revenir à un système cohérent d'exploitation & de distribution avec de nouveaux entrants professionnels à former, l'Algérie aurait besoin ensuite d'une couverture de la création de Plus de 1.500 salles (pour une démogra phie équivalente la moité de la population française), "jauge" minimale de 600 fauteuils par salle à minima dont certaines rattachées à des projets de centres commerciaux pour les multiplexes comme celui du Centre de réfé rence Internationale Algéro-Suisse Commercial de BAB-EZZOUAR de 40.000m2 inimaginable encore aujourd'hui en France, entre l'université & l'aéroport international d'Alger, ayant un directeur suisse né en algérie, & d'autres à des projets culturels ou professionnels ados sés à des studios & lieux pros, qui doivent être partie prenante d'un vrai système d'exploitation & de distribution qui ne s'inven te pas sur un clic ministériel mais demande ra du temps & surtout que l'état laisse, comme recemment demandé par un profession nel, le secteur géré par des gens qui veulent s'en occupper avec de vraies vocations culturelles & professionelles du sens de l'animation populaire, d'un secteur au modèle économique & social qui appartient pour le moment à l'inconnu.....
...C'est tout un peuple de cinéphile à ramener au "bercail de la Lumière magique de la Boite à Images & aux Sons" au plaisir de partager de façon respectueuse des autres comme à la Cinéma thèque AVEC SI POSSIBLE LE CINEMA COMME SEULE RELIGION & qui doit cohabiter avec ce qui s'est enraciné dans le confort de la maison familiale avec les dvd & cassettes videos ou V.O.D. sur internet.......sur l'ordinateur ou la tablette.. ...qui ont détourné le Cinéma de sa réalité partagée en salle qui en fait tout son sel...
....Nul doute que le retour en salles sera interessant à suivre......
......Un enjeu culturel & politique citoyen surtout avec la projection de films documentaires & de films forts en contenus récompensés dans les festivals partout sur la planète & retrouver les classiques & nouveautés d'ailleurs qui font rêver par la diffusion satellitte des séances & des emissions de cinéma occidental ou arabe, & qui sauront bien faire confiance aux Algériens & Algériennes, inciter les confiances intellectuelles & familiales de toute géné rations au retour de ce loisir dans l'espace public & sortir de la maison & venir aussi y manger en famille une glace ou un gâteau ou du Pop' Corn(ce qui fera travailler les paysans algériens) & arriver tout naturellement & tout simplement à mobiliser les esprits éclairés aussi grâce au retour de "Mada me LAMPOULA" dans la salle, personnage forte en symbôle de l'histoire du Cinéma Algérien en salle,patrimoine humain en souvenir de l' Algerie des plus belles jeunes années BEN BELLA & BOUME DIENNE....!!!....(même s'il est vrai comme partout ailleurs, que dans les salles obscures, beaucoup de belles histoires d'amours sont nées-la fonction détournée de la salle de cinéma-....qui existera toujours pour contourner les interdits des parents d'une éducation familiale qui conservera aussi toujours ses principes intem porels d'un rituel socio-culturel parfois désuet mais immuable pour les ignorants mais au demeurant sympatique....& qui nourira toujours le théatre populaire & les histoires algériennes !.... !!!)
..La NOSTALGIA pour nourrire le PRESENT & le FUTUR....& créer une nouvelle ère pour le CINEMA PUBLIC ALGERIEN & que les succès des festivals viennent à la rencontre du PUBLIC "BLADI".....en ALGERIE.....& pas à PARIS & ou sur ARTE...
.....POUR ECRIRE "INCH'ALLAH"UNE NOUVELLE PAGE d'HISTOIRE DE L'ALGERIE & PORTER AU COEUR UNE RENAISSANCE & contrarier les fatalités historiques & politiques d'un DEUIL qui paraissait éternel & sans retour....!!!
VIVA L'ALGERIA............................ET CE N'EST PAS FINI......VOUS N'AVEZ ENCORE RIEN VU.....!!!!!
..La NOSTALGIA pour nourrire le PRESENT & le FUTUR....& créer une nouvelle ère pour le CINEMA PUBLIC ALGERIEN & que les succès des festivals viennent à la rencontre du PUBLIC "BLADI".....en ALGERIE.....& pas à PARIS & ou sur ARTE...
.....POUR ECRIRE "INCH'ALLAH"UNE NOUVELLE PAGE d'HISTOIRE DE L'ALGERIE & PORTER AU COEUR UNE RENAISSANCE & contrarier les fatalités historiques & politiques d'un DEUIL qui paraissait éternel & sans retour....!!!
VIVA L'ALGERIA............................ET CE N'EST PAS FINI......VOUS N'AVEZ ENCORE RIEN VU.....!!!!!
La Plume d'Oie du Serpent
Jean-Guy JAIS,
jgj.labelm.interpanorama@gmail.com
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Le réalisateur Lamine Ammar-Khodja : «Il n’y a pas de cinéma indépendant en Algérie» |
Arts et Culture |
MERCREDI, 16 OCTOBRE 2013 06:13 |
Les rencontres professionnelles du Festival de cinéma africain de Cordoue, qui ont débuté hier mardi pour se poursuivre jusqu’au 18 octobre, offrent un cadre pour la réflexion sur les enjeux qu’affrontent les cinémas d’Afrique. Ces journées de rencontres professionnelles, qui se dérouleront tous les matins, ont commencé en présence d’Olivier Barlet, critique français de cinéma spécialisé dans les cinématographies africaines et directeur du magazine Africultures, William M’Baye, réalisateur sénégalais, Arya Lalloo, réalisatrice sud-africaine, et le créateur algérien Lamine Ammar-Khodja. Deux séances ont eu lieu au cours de cette première journée de débats. Durant la première séance, la publication Les cinémas d'Afrique dans les années 2000 a été présentée pour la première fois au public espagnol par son auteur, Olivier Barlet. Paru en France en mai 2012 et disponible en anglais, l’ouvrage sera également traduit en espagnol. La tâche sera accomplie par les éditeurs espagnols Ocho y Medio, qui prévoient de publier le livre en espagnol en octobre 2014. Selon Marion Berger, commissaire du FCAT Cordoue, il s’agit d’un ouvrage clef parmi les écrits sur les films d’Afrique ; non seulement «le livre questionne le discours narratif qui domine l’Afrique et ses images» mais «propose [aussi] une panoplie de perspectives et de notions pour mieux comprendre les cinématographies africaines». Barlet, promoteur de la critique de cinéma en Afrique, considère que le livre se rallie à l’idée d’Achille Mbembe, qui disait que l’Europe ne constitue plus le centre de gravité du monde. Selon Barlet, l’Afrique a tout ce qu’il faut pour apprendre aux Occidentaux comment comprendre le monde, car «le continent a déjà fait la rencontre de l’autre le long de son histoire et ses habitants sont habitués à l’inattendu». Suite à cette première séance, un deuxième débat a porté sur la relation qui existe entre le cinéma populaire et le cinéma d’auteur en Afrique, ainsi que la coexistence entre eux. Pendant une heure et demie, les participants ont illustré les différentes formules qui ont déjà été appliquées dans certains pays pour faire face aux défis que cette relation comporte. Ainsi, les participants ont réfléchi sur le besoin de trouver de nouveaux canaux de distribution aussi bien pour le cinéma commercial que pour celui d’auteur. Ils ont également souligné le besoin de trouver des solutions au déficit de distribution des films africains, qui ne débouchent toujours pas sur des circuits de distribution solides, hormis en Afrique du Sud, Egypte et Maroc.
«Il y a un grand nombre de réalisateurs africains mais peu de cinéma africain» Ousmane William M’ Baye, réalisateur du film President Dia (2012, 54’), indiqua dans son intervention que les festivals européens sont devenus une espèce de bouée de sauvetage des films africains indépendants. Néanmoins, tout n’est pas rose. M’Baye souligna que les budgets de la plupart des films réalisés en Afrique sont développés toujours en pensant au retour économique qu’ils vont générer en Europe et les possibles prix qu’ils pourront remporter dans les festivals européens. En définitive, M’Baye considère qu’en Afrique subsaharienne, il y un grand nombre de réalisateurs, mais que leurs films y circulent rarement. De son côté, Arya Lalloo a décrit la situation du septième art en Afrique en Sud en soulignant qu’il s’agit d’une expérience différente à celle des autres pays d’Afrique subsaharienne. En effet, le cinéma actuel s’inscrit dans deux grands blocs : d’une part, il y a des films qui sont subventionnés par l’Etat à travers l’entité nationale de soutien à la cinématographie (la National Film and Video Foundation) ainsi qu’à travers les différentes entités au niveau des provinces. Les films subventionnés sont essentiellement des films d’auteur ou appartenant à des genres indépendants. D’autre part, il y a les films commerciaux qui dépendent des retombées économiques qu’ils génèrent, et qui sont pour la plupart en langue afrikaans. D’où elle conclut que l’héritage de la domination afrikaner continue de se reproduire de nos jours dans l’imaginaire collectif des Sud-Africains malgré la fin de l’apartheid. Le réalisateur algérien Lamine Ammar-Khodja a souligné le besoin de soutenir la distribution en Afrique et notamment en Algérie. «Chez nous», a-t-il dit, c’est le cinéma subventionné par l’Etat qui prédomine. Par contre, les gens ne vont pas au cinéma pour voir du cinéma indépendant.» Ammar-Khodja souhaite donc que les gouvernements se mettent de côté et laissent le cinéma entre les mains des cinéastes. Pour lui, l’Etat a la prérogative d’administrer l’argent, c’est tout. Demain, les séances continueront d’explorer les enjeux des cinématographies d’Afrique à travers la parole d’un nombre de spécialistes tels que Laurence Attali, réalisatrice et productrice française, Latifa El-Berki, productrice marocaine, Narimane Mari, réalisatrice et productrice franco-algérienne, Guadalupe Arensburg, écrivaine spécialisée et Arya Lalloo, une fois de plus. C. P. |
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EMERGENCE D’UNE ÉCONOMIE NATIONALE HORS HYDROCARBURES
JEUDI, 17 OCTOBRE 2013 00:00 Économie
Réfléchir à des solutions de financement pour encourager l’émergence d’une économie nationale hors hydrocarbures. Telle est la mission confiée à plusieurs groupes de travail désignés jeudi dernier par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, à l’issue de la tripartite regroupant gouvernement et partenaires économiques et sociaux. Une des pistes explorées pour solutionner l’équation est une plus forte implication du Fonds national d’investissement (FNI). Installé lundi dernier, un de ces ateliers est donc chargé d’élaborer les modalités de contribution du FNI au financement de l’investissement national public et privé. Selon le ministre délégué chargé du Budget, Mohamed Djellab, “il est temps de faire intervenir le FNI dans l'accompagnement des investisseurs”. Le FNI a été créé en 2009 à l’issue de la restructuration de la Banque algérienne de développement (BAD) et d’une longue période d’assainissement de ses comptes. Il garde, néanmoins, les principales missions de la BAD qui sont le financement et la gestion financière des programmes d’équipement public et le financement extérieur. Le FNI propose des financements, soit sur fonds propres, soit sur ressources du Trésor public. Ces financements peuvent prendre la forme de prêts directs à long terme, de prises de participation ou encore d’octroi de garanties.
“Le FNI prend des participations à hauteur de 34% dans le capital des PME structurantes, décidant d'ouvrir leur capital”, rappelle son directeur général, Ahcène Haddad, précisant les secteurs visés. En effet, le FNI a listé, sur son site Internet, des secteurs d’activité pour lesquels l’investissement est priorisé. Il s’agit, entre autres, de la sous-traitance industrielle, l’agriculture et l’agroalimentaire, le tourisme, les énergies renouvelables mais aussi les finances et les technologies de l’information. Pour autant, lorsqu’on étudie le rapport d’activité du FNI de l’année 2012, il apparaît que 58% des financements concernent les grands projets d’équipements publics. Les chantiers de l’autoroute Est-Ouest et du métro d’Alger en sont des exemples. Le secteur du bâtiment reste donc la principale activité financée par l’organisme. Les PME, qui constituent le tissu économique national, n’en bénéficient pas encore.
De son côté, le président du Forum des chefs d'entreprise (FCE), Réda Hamiani, a souligné que “l'atelier doit aboutir à des solutions opérationnelles afin de porter la contribution de l'industrie au PIB de 5% à 10%”. Il a également émis le souhait que le FNI facilite le partenariat public-privé ainsi que les fusions-acquisitions et l'installation de structures commerciales des exportateurs à l'étranger.
Par ailleurs, le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a également installé un groupe de travail chargé de faire des propositions visant à “promouvoir et protéger la production nationale”. Cet atelier se compose de représentants du ministère, du patronat et des partenaires sociaux. Ils devront également plancher sur les modalités d’application d’un crédit à la consommation destiné exclusivement à la production nationale.
Le ministre a tracé les principaux axes de réflexion. Il s'agit de “la promotion de l'entreprise à travers sa modernisation, l'amélioration de sa compétitivité, la création d'un environnement concurrentiel adéquat par la régulation du commerce extérieur”, a-t-il indiqué. De plus, M. Benbada plaide pour la création d'un système d'information économique. “Il faut mettre en place une base de données économiques globales, régulièrement actualisées et mises à jour, et en faciliter l'accès à tous les acteurs économiques”, a-t-il instruit.
à l’issue de cette tripartite, le gouvernement comme les partenaires économiques et sociaux semblent tous être d’accord sur la nécessité de favoriser l’émergence d’une économie nationale forte. Reste à savoir si les moyens mis en œuvre suffiront au sauvetage d’une économie dépendante des hydrocarbures et dominée par les importations.
“Le FNI prend des participations à hauteur de 34% dans le capital des PME structurantes, décidant d'ouvrir leur capital”, rappelle son directeur général, Ahcène Haddad, précisant les secteurs visés. En effet, le FNI a listé, sur son site Internet, des secteurs d’activité pour lesquels l’investissement est priorisé. Il s’agit, entre autres, de la sous-traitance industrielle, l’agriculture et l’agroalimentaire, le tourisme, les énergies renouvelables mais aussi les finances et les technologies de l’information. Pour autant, lorsqu’on étudie le rapport d’activité du FNI de l’année 2012, il apparaît que 58% des financements concernent les grands projets d’équipements publics. Les chantiers de l’autoroute Est-Ouest et du métro d’Alger en sont des exemples. Le secteur du bâtiment reste donc la principale activité financée par l’organisme. Les PME, qui constituent le tissu économique national, n’en bénéficient pas encore.
De son côté, le président du Forum des chefs d'entreprise (FCE), Réda Hamiani, a souligné que “l'atelier doit aboutir à des solutions opérationnelles afin de porter la contribution de l'industrie au PIB de 5% à 10%”. Il a également émis le souhait que le FNI facilite le partenariat public-privé ainsi que les fusions-acquisitions et l'installation de structures commerciales des exportateurs à l'étranger.
Par ailleurs, le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a également installé un groupe de travail chargé de faire des propositions visant à “promouvoir et protéger la production nationale”. Cet atelier se compose de représentants du ministère, du patronat et des partenaires sociaux. Ils devront également plancher sur les modalités d’application d’un crédit à la consommation destiné exclusivement à la production nationale.
Le ministre a tracé les principaux axes de réflexion. Il s'agit de “la promotion de l'entreprise à travers sa modernisation, l'amélioration de sa compétitivité, la création d'un environnement concurrentiel adéquat par la régulation du commerce extérieur”, a-t-il indiqué. De plus, M. Benbada plaide pour la création d'un système d'information économique. “Il faut mettre en place une base de données économiques globales, régulièrement actualisées et mises à jour, et en faciliter l'accès à tous les acteurs économiques”, a-t-il instruit.
à l’issue de cette tripartite, le gouvernement comme les partenaires économiques et sociaux semblent tous être d’accord sur la nécessité de favoriser l’émergence d’une économie nationale forte. Reste à savoir si les moyens mis en œuvre suffiront au sauvetage d’une économie dépendante des hydrocarbures et dominée par les importations.
A H
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UN EXEMPLE DE PROJET GAGNANT........
Un exemple d'une intégration économique d'un entrepreneur intelligent gagnant
http://www.kassaman.com/article-hadj-khelil-l-entreprenariat-vert-en-algerie-source-algerie-focus-120448560.html
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