___________________________________________________
A NOS AMIS QUI NOUS LISENT AVEC INTERETS.....
NE RESTEZ PAS SPECTATEURS DU FEU DE LA CRISE QUI SE RAPPROCHE
LES GOUVERNEMENTS, LES PARLEMENTS & ELUS LOCAUX SONT SUR LE PONT
& LES ENTREPRISES AUSSI,
LA SITUATION ECONOMIQUE & SOCIALE COMMANDE QUE LES CITOYEN(NE)S DOIVENT S'ORGANISER POUR NOUS REJOINDRE POUR QUE NOUS PUISSIONS NOUS COMPTER PAR CENTAINES, MILLIERS & PLUS, AVEC UNE FORCE D'INFLUE NCE SUFFISANTE POUR PESER SUR LA GESTION DES DECISIONS COHERENTE & DURABLE & NÔTRE APPARTENANCE RECENTE AU RESEAU EUROMED DE 48 PAYS DE LA FONDATION ANNA LINDH PRES LA COMMISSION EUROPEENNE NOUS DONNE DE NOUVELLES RESPONSABILITES........
......& AGIR POUR UNE MEILLEURE POLITIQUE DES REVENUS EN ZONE EUROMED NOTAMMENT POUR LES REVENUS TRES MODESTES,
ET EXPERIMENTER UNE INNOVATION SOCIALE : LE "DIVIDENDE UNIVERSEL"
http://fr.wikipedia.org/wiki/Allocation_universelle
http://www.basicincome.org/bien/
http://www.usbig.net/index.php
.......... EN ATTENDANT D'HARMONISER LES REVENUS TYPE "SMIC" AVEC LES PARTENAIRES SOCIAUX SYNDICAUX & PATRONAUX, DIFFICILE EN CES TEMPS DE RESTRICTIONS BUDGETAIRES
& LE RENFORCEMENT DE LA PROTECTION SANITAIRE & SOCIALE SUR LA RIVE SUD DE LA ZONE EUROMED AFIN D'AIDER LES GOUVERNEMENTS & LES ENTRE PRISES LOCALES A LA DIDSSUASION DES PROJETS D'EXIL & D'IMMIGRATION ECONOMI QUES & ECO SOCIALES QUI EXIGERA AUSSI DES DECISIONS DE POLITIQUES DEMOGRAPHIQUES AVEC DES EFFORTS SUPPLEMENTAIRES A CEUX DEJA ACCOMPLIS.
____________________________________________________
POUR CES PROJETS & CHANTIERS A OUVRIR DANS LES MEILLEURS DELAIS.....
CONTRIBUEZ & PARTICIPEZ.........
AVEC UN TICKET D'ENTREE DE CONTRIBUTION DE BASE UNIVERSELLE DE REFERENCE DE 6 € & SES MULTIPLES SUGGERES A TRANSMETTRE PAR VIREMENT
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CONTRIBUTIONS & PARTICIPATIONS DE BASE
3.666€ / 6.666€/ 9.666€
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NOUS AVONS CONFIANCE EN VÔTRE CONSCIENCE CITOYENNE & SOLIDAIRE & ATTENDONS QUE LE DECLIC S'OPERE & VOS CONTRIBUTIONS & COMMENTAIRES
AINSI QUE NOUS FAIRE CONNAÎTRE AUTOUR DE VOUS........
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(voir les sugestions de contributions en 2° page précédante avex les modalités de virement)
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LA FRANCE A UN ATOUT COMPETITIF A CULTIVER.......LA FRANCOPHILIE
OU L'ON VA RECROISER VIA LES ALGERIENS CANDIDATS INVESTISSEURS LES FINANCIERS DU QATAR (VOIR INTERWIEW ISSAD REBRAB PDG de CEVITAL Groupe)
_________________________________________________________
....(extrait)......SANS S'ARRÊTER A POITIERS.........OU STATION CHARONNE............
OUI.......C'EST POSSIBLE.....DES ALGERIENS PEUVENT ET VEULENT ETRE INVESTISSEURS & CREATEURS D'EMPLOIS DURABLES EN FRANCE (source "Challlenges Magazine"(groupe nouvel obs)...
.....ET AINSI ....AH.... AH..... AH.....RECUPERER EN PARTIE LE BUTIN DU TRESOR DE HUSSEIN DEY D ALGER VOLE PAR L AIEUL DU BARON DE SEILLIERES LA VRAIE RAISON DE L EXPEDITION D ALGER...........
D'ABORD UN PEU D'HISTOIRE DE L'ECONOMIE ANCIENNE A NOS JOURS EN ALGERIE
...& la famille TAMZALI....créatrice-fondatrice de l'huile LESIEUR..avant de la cèder au groupe UNILEVER...
...Sans oublier ORANGINA de la famille BETTON(BITTOUN) & du pharmacien Espagnol rencontré dans une Foire Commerciale à Barcelone, & associé TRIGO pour la boisson ORAN GINA & du rôle de la fille pour l'acquisition du Brevet qui a vendu plus tard à PERNOD-RICARD & est revenu en algérie 45 ans après !!!
Et aussi pouvoir découvrir les industriels méconnus d'aujourd'hui qui n'ont pas peur de se confronter à la concurrence outre Méditerrannee, en Afrique, outre-Atlantique & outre Pacifique face aux chinois & avec les Français & ou Américains & viennent à New-York, Pekin, Montréal, Paris, Londres, Bruxelles, Barcelone ou Rome ou Berlin..
En fait..............partout où se trouve la diaspora Alge rienne du Monde où on retrouve les grandes familles Algériennes francophones, anglophones & arabophones universitaires non dialectales,(le dialecte étant réservé au parler populaire local au pays) très cultivées à fort potentiel d'investis sement, qui vivent dans un certain standing des hautes strates de la société locale & où elles sont respectées (plutôt qu'enviées voire insultées dans leur pays d'Algerie, souvent fort injustement, parcequ'on les connait bien les fortunes ignorantes & arrivistes amassées à contre-courant (avec l'amalgame régulier comme en France comme valeur partagée, la vindicte populaire n'aime pas ce que les autres possèdent dans leur propre pays), où elles ont une résidence principale mais qui ne les empêchent pas de naviguer entre cette résidence & leurs résidences en Algérie.
Ces Grandes Familles sont le socle de l'Algerie (parceque ce sont elles qui ont retroussé les manches avec le peuple, pour faire marcher le pays au moment où l'indépendance avait vu par
tir presque tous les cadres"FRANGAOUIS" du pays rapatriés sans transition comme pour punir l'Algérie d'être devenue souveraine), & comme elles l'ont été dans l'Empire OTTOMAN qu'on nommait "L'EMPIRE DE LA PORTE SUBLIME"étaient de souches nobles banalisées et rabaissees par le fait colonial denonce par le President Francois Hollande et qui a détruit les structures sociales de toutes les populations locales (même concernant la communauté juive jusqu'au Décret discriminatoire CREMIEUX) pour ne garder que l'indigennat & quelques nota bles soumis (sauf ceux soulevés dans deux resistances principa les de l'Emir ABDELKADER & EL MOKRANI) , avec parfois leurs rituels, dont la prononciation du nom inspire le respect chez ceux qui connaissent le poids social des noms des grandes familles, commerçantes ayant eue une grande réussite, ou la grande fierté d'exercer de notoriété des profes sions nobles, dont les enfants (dont certains sont revenus dans le bercail familial des affaires ont été envoyé à l'étranger pour faire de grandes étu des supé rieures Médicales, Commerciales, litteraires, d'enseignement supé rieur, ou judiciaires d'affaires voir des professions financières de haut niveau comme à Lon dres & New-York,qui se retrouvent dans de grandes fêtes de retrouvailles quand ce ne sont pas des maria ges, fiançailles ou baptêmes de circoncision où autour d'artistes "de chez nous" qui remplis sent le Carnegie hall de ses 5.000 fauteuils sans problèmes tout en ventant & restant fidèles aux atouts de l'Algérie avec cette saveur de fierté culturelle qu'on assimile bien évidem ment au nationalisme comme dans tous les peuples chauvins comme les Fran çais eux-mêmes qui ont montré la voie eux-même (& à quel prix en Algérie en se retirant par le deshonnneur de l'exil, avec une commu nauté locale cosmopolite pas forcément de souche fran çaise directe, incapable de dialoguer pour trouver une place dans l'Algérie nouvelle post-indépendante), ou les Anglais , Allemands ou Amé ricains......par exemple.
A cela peut s'ajouter quand on a le savoir de la conscience de porter avec soi une grande civilisa tion Géo-Culturelle, Politique & Religieuse & aussi l'interculturalité avec le corpus judeo-chré tien en totale compatibilité durable & séculaire.
Voilà donc Issad REBRAB, le si discret patron besogneux & efficace avec sa famille à la tête du Groupe CEVITAL(voir info sur la bio) qui sait investir & créer des activités & des emplois & s'est développé dans plusieurs secteurs d'activités hors agro-alimentaire, son secteur de prédilection avec la sidérurgie, comme le textile dont il connait la réalité du patrimoine artisanal en Algérie & saura se pencher sur la coordination in dustrielle avec les cooperatives d'artisans regionaux & se propose d'étudier des acquisi tions en France, comme le groupe volailler DOUX.
Ce Groupe CEVITAL est reconnu pour investir beaucoup dans la formation professionnelle qualifiante notamment des jeunes principalement dans un centre de formation important à BEJAIA au coeur du groupe des activités agro-alimentaire
__________________________________________________________
voici parmi les dernières initiatives de distribution de A à Z du groupe Cevital (source site internet de CEVITAL) dont il faut bien prendre la mesure de l'échelle du marché algérien & l'équipement proposé en outil commercial sans parler de l'echelle du partenariat avec le Centre Commercial de BAB-EZZOUAR avec une Société Suisse (qui a conçu le Centre Commercial près de l'Aéroport International de Genève)près de l'aéroport d'Alger-Maison-Blanche International :
1 - 1° Centre commercial régional de BOUIRA
http://www.cevital.com/fr/actualites-du-groupe/communiques-de-presse/121-premier-centre-commercial-régional-inauguration-de-«-uno-shopping-center-»-de-bouira.html
2 - 2° Centre régional Commercial de AIN-DEFLA
http://www.cevital.com/fr/actualites-du-groupe/communiques-de-presse/125-deuxième-centre-commercial-régional-inauguration-de-«-uno-shopping-center-»-de-ain-defla.html
3 - 3° Centre Commercial Régional de MOSTAGANEM
http://www.cevital.com/fr/actualites-du-groupe/communiques-de-presse/124-inauguration-de-«-uno-shopping-center-»-de-mostaganem,-troisième-centre-commercial-régional.html
___________________________________________________________
Pour le choeur des veuves & des pleureuses chroniques payées aux lamentations, concernant la nature & l'origine de la fortune accumullée par Issad REBRAB, s'il a accumulé une certaine fortune, manifestement il faut constater & admettre qu'elle ne dort pas principalement dans des évasions fiscales mais est au coeur des investissements de son groupe...& fais vivre des dizaines voir indirectement des centaines de milliers d'Algeriens & d' Algeriennes qui seraient certaine ment sans emplois actuellement & donc sans revenus après les restructurations publiques qui ont suivi le tout emploi des années Boummedienne ......Trajectoire à suivre......parcequ'elle va suivre de près & s'intèresser de très près au potentiel industriel français.....comme un retour juste des choses de la vie providentielle de l'histoire.....
N'oublions pas qu'on parle sérieusement (de sources de bonne foi) d'actionnaires industriels & financiers nouveaux Algeriens pour le groupe PSA....l'autre bénéfice industriel d'envergure à confirmer de la visite de François Hollande à ALGER.......
OU LES PETITS METIERS DE L'ARTISANAT QUITTENT LA LISIBILITE INDUSTRIELLE POUR LE TOURISME PITTORESQUE DES CASBAH & MEDINA.......
POURTANT IL Y A UN ARTISANAT FLORISSANT QUI FOURNIT LES MARCHES & LES QUARTIERS COMMERCANTS COMME A ALGER LA RUE DE LA LYRE & LA PLACE DE CHARTRES AUJOURD'HUI RUES DES TROUSSEAUX(POUR LES MARIAGES).....SANS OUBLIER LA RUE BAB-AZZOUN SOUS LES ARCADES EN LISIERE DE LA CASBAH.....GRAND CENTRE D'ARTISANAT INDUSTRIEL..........QUI GENERAIENT UN GROS CHIFFRE D'AFFAIRES AUJOURD'HUI, COMMERCE TUE PAR LE "TRABENDO" DES PRODUITS CHINOIS DE 4° & 5° CHOIX............
......Que fait-on de nos jours avec 700 Millions d'€.......
.........Comme disait Fernand Raynaud......"CA EU PAYE......MAIS CA PAYE PLUS.......!!!"
Quatrième partie: ISSAD REBRAB, LE REGARD DES AUTRES ET LA VIE
Pour le Pr. Taïeb Hafsi, ce livre se veut un regard sur l’Algérie à travers les efforts de l’un de ses entrepreneurs « les plus dynamiques et les plus exemplaires ».
Destiné à redonner confiance surtout aux jeunes algériens, l’auteur de cette biographie, la première du genre à s’entreprendre sous cette forme en Algérie, estime que la jeune génération puisera « dans l’âme de cet homme et de ceux qui lui ressemblent l’inspiration et des ressources précieuses » pour la poursuite de la construction de notre pays.
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CONTRIBUTIONS & PARTICIPATIONS DE BASE
6€ - 18€ - 36 € - 66€ - 96€
-------- Soutiens & Contributions Universelles & Solidaires
Participatives (Crowdfunding)
- 186€ - 366€ - 666€ - 966€
----------Soutiens & Contributions de base Solidaires Associatives
-----------------------------------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------------------------------
PARTENARIATS, COOPERATIONS & INVESTISSEMENTS
3.666€ / 6.666€/ 9.666€
---------Soutiens & Contributions de Base Institutionelles,
Fondations & Entreprises
______________________________________________________________
36.666€ / 66.666€/ 96.666€
------Soutiens & Contributions de Base en Coopérations
& Investissements Programmes Locaux, Régionaux & Nationaux
______________________________________________________________
3666.666€ / 666.666€ / 9666.666€ et.....+
---Soutiens & Contributions de Développements en Cooperations
& d'Investissements Programmes Communautaires & Internationaux
---------------------------------------------------------------------------------------------------
- virement bancaire direct sécurisé hors internet
- ou par internet via WESTERN UNION, partenaire de la Poste Française
& aussi via WESTERN-UNION Mobile Banking & Financing
BNPPARB IVRY-SUR-SEINE(00834)
IBAN : FR76 3000 4008 3400 0038 3398 086
SWIFT(BIC) : BNPA FR PP IVR
______________________________________________________________
Compte BNP-PARIBAS Jean-Guy JAIS par décision AG, pour Association Groupe LABEL M, SIC(Société Coopérative d'Intèrêts Collectifs) & Fonds de Fondation LABEL M-MUTUALIS_UNIVERSALIS INTERPANORAMA en création
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Association GROUPE LABEL Jean-Guy JAIS Président,
Chef du Projet SCIC & du Fonds de Dotation"LABEL M-MUTUALIS-UNIVERSALIS-INTERPANORAMA"
DEPARTEMENT DEVELOPPEMENT & SERVICES
Directeur des Publications multi-media
38,rue DUNOIS 75013 PARIS
0684859298 jgj.labelm.interpanorama@gmail.com
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Tous les fonds hors cotisations & droits d'entrée seront verses
sur les comptes du Fonds de Dotation & de la SCIC en création
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LA FRANCE A UN ATOUT COMPETITIF A CULTIVER.......LA FRANCOPHILIE
OU L'ON VA RECROISER VIA LES ALGERIENS CANDIDATS INVESTISSEURS LES FINANCIERS DU QATAR (VOIR INTERWIEW ISSAD REBRAB PDG de CEVITAL Groupe)
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....(extrait)......SANS S'ARRÊTER A POITIERS.........OU STATION CHARONNE............
OUI.......C'EST POSSIBLE.....DES ALGERIENS PEUVENT ET VEULENT ETRE INVESTISSEURS & CREATEURS D'EMPLOIS DURABLES EN FRANCE (source "Challlenges Magazine"(groupe nouvel obs)...
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D'ABORD UN PEU D'HISTOIRE DE L'ECONOMIE ANCIENNE A NOS JOURS EN ALGERIE
voici une histoire partielle vue par un historien Jean-Jacques JORDI,spécialiste de l'algérie coloniale & de la décolonisation......nous parlerons ultèrieurement de la période 1962 à nos jours.......dans un numéro spécial Entreprises d'Algerie......avec "SELECTO" , le COCA-COLA ALGERIEN de Hamoud BOUALEM , producteur de sodas & limonades comme symbôle emblématique..
http://www.histoire-entreprises.fr/wp-content/uploads/2010/05/couv-numero7.jpg
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...& la famille TAMZALI....créatrice-fondatrice de l'huile LESIEUR..avant de la cèder au groupe UNILEVER...
...Sans oublier ORANGINA de la famille BETTON(BITTOUN) & du pharmacien Espagnol rencontré dans une Foire Commerciale à Barcelone, & associé TRIGO pour la boisson ORAN GINA & du rôle de la fille pour l'acquisition du Brevet qui a vendu plus tard à PERNOD-RICARD & est revenu en algérie 45 ans après !!!
Et aussi pouvoir découvrir les industriels méconnus d'aujourd'hui qui n'ont pas peur de se confronter à la concurrence outre Méditerrannee, en Afrique, outre-Atlantique & outre Pacifique face aux chinois & avec les Français & ou Américains & viennent à New-York, Pekin, Montréal, Paris, Londres, Bruxelles, Barcelone ou Rome ou Berlin..
En fait..............partout où se trouve la diaspora Alge rienne du Monde où on retrouve les grandes familles Algériennes francophones, anglophones & arabophones universitaires non dialectales,(le dialecte étant réservé au parler populaire local au pays) très cultivées à fort potentiel d'investis sement, qui vivent dans un certain standing des hautes strates de la société locale & où elles sont respectées (plutôt qu'enviées voire insultées dans leur pays d'Algerie, souvent fort injustement, parcequ'on les connait bien les fortunes ignorantes & arrivistes amassées à contre-courant (avec l'amalgame régulier comme en France comme valeur partagée, la vindicte populaire n'aime pas ce que les autres possèdent dans leur propre pays), où elles ont une résidence principale mais qui ne les empêchent pas de naviguer entre cette résidence & leurs résidences en Algérie.
Ces Grandes Familles sont le socle de l'Algerie (parceque ce sont elles qui ont retroussé les manches avec le peuple, pour faire marcher le pays au moment où l'indépendance avait vu par
tir presque tous les cadres"FRANGAOUIS" du pays rapatriés sans transition comme pour punir l'Algérie d'être devenue souveraine), & comme elles l'ont été dans l'Empire OTTOMAN qu'on nommait "L'EMPIRE DE LA PORTE SUBLIME"étaient de souches nobles banalisées et rabaissees par le fait colonial denonce par le President Francois Hollande et qui a détruit les structures sociales de toutes les populations locales (même concernant la communauté juive jusqu'au Décret discriminatoire CREMIEUX) pour ne garder que l'indigennat & quelques nota bles soumis (sauf ceux soulevés dans deux resistances principa les de l'Emir ABDELKADER & EL MOKRANI) , avec parfois leurs rituels, dont la prononciation du nom inspire le respect chez ceux qui connaissent le poids social des noms des grandes familles, commerçantes ayant eue une grande réussite, ou la grande fierté d'exercer de notoriété des profes sions nobles, dont les enfants (dont certains sont revenus dans le bercail familial des affaires ont été envoyé à l'étranger pour faire de grandes étu des supé rieures Médicales, Commerciales, litteraires, d'enseignement supé rieur, ou judiciaires d'affaires voir des professions financières de haut niveau comme à Lon dres & New-York,qui se retrouvent dans de grandes fêtes de retrouvailles quand ce ne sont pas des maria ges, fiançailles ou baptêmes de circoncision où autour d'artistes "de chez nous" qui remplis sent le Carnegie hall de ses 5.000 fauteuils sans problèmes tout en ventant & restant fidèles aux atouts de l'Algérie avec cette saveur de fierté culturelle qu'on assimile bien évidem ment au nationalisme comme dans tous les peuples chauvins comme les Fran çais eux-mêmes qui ont montré la voie eux-même (& à quel prix en Algérie en se retirant par le deshonnneur de l'exil, avec une commu nauté locale cosmopolite pas forcément de souche fran çaise directe, incapable de dialoguer pour trouver une place dans l'Algérie nouvelle post-indépendante), ou les Anglais , Allemands ou Amé ricains......par exemple.
A cela peut s'ajouter quand on a le savoir de la conscience de porter avec soi une grande civilisa tion Géo-Culturelle, Politique & Religieuse & aussi l'interculturalité avec le corpus judeo-chré tien en totale compatibilité durable & séculaire.
Voilà donc Issad REBRAB, le si discret patron besogneux & efficace avec sa famille à la tête du Groupe CEVITAL(voir info sur la bio) qui sait investir & créer des activités & des emplois & s'est développé dans plusieurs secteurs d'activités hors agro-alimentaire, son secteur de prédilection avec la sidérurgie, comme le textile dont il connait la réalité du patrimoine artisanal en Algérie & saura se pencher sur la coordination in dustrielle avec les cooperatives d'artisans regionaux & se propose d'étudier des acquisi tions en France, comme le groupe volailler DOUX.
Ce Groupe CEVITAL est reconnu pour investir beaucoup dans la formation professionnelle qualifiante notamment des jeunes principalement dans un centre de formation important à BEJAIA au coeur du groupe des activités agro-alimentaire
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voici parmi les dernières initiatives de distribution de A à Z du groupe Cevital (source site internet de CEVITAL) dont il faut bien prendre la mesure de l'échelle du marché algérien & l'équipement proposé en outil commercial sans parler de l'echelle du partenariat avec le Centre Commercial de BAB-EZZOUAR avec une Société Suisse (qui a conçu le Centre Commercial près de l'Aéroport International de Genève)près de l'aéroport d'Alger-Maison-Blanche International :
1 - 1° Centre commercial régional de BOUIRA
http://www.cevital.com/fr/actualites-du-groupe/communiques-de-presse/121-premier-centre-commercial-régional-inauguration-de-«-uno-shopping-center-»-de-bouira.html
2 - 2° Centre régional Commercial de AIN-DEFLA
http://www.cevital.com/fr/actualites-du-groupe/communiques-de-presse/125-deuxième-centre-commercial-régional-inauguration-de-«-uno-shopping-center-»-de-ain-defla.html
3 - 3° Centre Commercial Régional de MOSTAGANEM
http://www.cevital.com/fr/actualites-du-groupe/communiques-de-presse/124-inauguration-de-«-uno-shopping-center-»-de-mostaganem,-troisième-centre-commercial-régional.html
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Pour le choeur des veuves & des pleureuses chroniques payées aux lamentations, concernant la nature & l'origine de la fortune accumullée par Issad REBRAB, s'il a accumulé une certaine fortune, manifestement il faut constater & admettre qu'elle ne dort pas principalement dans des évasions fiscales mais est au coeur des investissements de son groupe...& fais vivre des dizaines voir indirectement des centaines de milliers d'Algeriens & d' Algeriennes qui seraient certaine ment sans emplois actuellement & donc sans revenus après les restructurations publiques qui ont suivi le tout emploi des années Boummedienne ......Trajectoire à suivre......parcequ'elle va suivre de près & s'intèresser de très près au potentiel industriel français.....comme un retour juste des choses de la vie providentielle de l'histoire.....
N'oublions pas qu'on parle sérieusement (de sources de bonne foi) d'actionnaires industriels & financiers nouveaux Algeriens pour le groupe PSA....l'autre bénéfice industriel d'envergure à confirmer de la visite de François Hollande à ALGER.......
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ATTENTION :
AVANT L'ARRIVEE DES FRANCAIS EN 1832, IL Y AVAIT DES MANUFAC TURES & ACTIVITES ARTISANALES DE TRANSFORMATION DE TISSUS DE CUIR AINSI QUE DE BOIS DONT LES VOYAGEURS ONT CONSIGNE LE TEMOIGNAGE DES LE MOYEN-ÂGE......ET LA FONCTION DES CITADELLES URBAINES(CASBAH-MEDINA) ETAIT DE REGROUPER AUTOUR DES PALAIS DES GRANDES FAMILLES & MOSQUEES DES ACTIVITES ARTISANALES & MANUFACTURES POUR LE COMMERCE ACTIVITE PRINCIPALE..........AVEC LE PORT TRES ACTIF DE MARCHANDISES A RECEVOIR &
A ENVOYER AU-DELA DES MERS.........
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ATTENTION :
AVANT L'ARRIVEE DES FRANCAIS EN 1832, IL Y AVAIT DES MANUFAC TURES & ACTIVITES ARTISANALES DE TRANSFORMATION DE TISSUS DE CUIR AINSI QUE DE BOIS DONT LES VOYAGEURS ONT CONSIGNE LE TEMOIGNAGE DES LE MOYEN-ÂGE......ET LA FONCTION DES CITADELLES URBAINES(CASBAH-MEDINA) ETAIT DE REGROUPER AUTOUR DES PALAIS DES GRANDES FAMILLES & MOSQUEES DES ACTIVITES ARTISANALES & MANUFACTURES POUR LE COMMERCE ACTIVITE PRINCIPALE..........AVEC LE PORT TRES ACTIF DE MARCHANDISES A RECEVOIR &
A ENVOYER AU-DELA DES MERS.........
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Jean-Jacques Jordi : une histoire de l’entrepreneuriat algérien
Article publié dans le magazine Histoire d'entreprises
Rubrique : Grand Témoin
[Extrait]
Pour ouvrir le dossier de ce numéro 7 consacré aux « entreprises d’Algérie », nous avons donné la parole à Jean-Jacques Jordi, historien, spécialiste de l’histoire de la colonisation et de la décolonisation. Tout en décrivant l’histoire économique de la colonisation en Afrique du Nord, il nous fait découvrir ces Européens – pas forcément français – qui fondèrent de véritables petits empires industriels; il nous éclaire sur la place des entreprises créées par les Algériens musulmans et sur ce que devinrent les entrepreneurs pieds-noirs après leur rapatriement en métropole. En quelques pages, un panorama extrêmement stimulant de l’entrepreneuriat algérien depuis la colonisation française, il y a bientôt deux siècles.
Pour évoquer les premières entreprises qui se sont créées en Algérie, peut-être pourriez-vous nous rappeler les débuts de la conquête française.
C’est en 1830 que la France prend pied à Alger – la conquête de l’Algérie dans son ensemble s’étendra quant à elle jusqu’en 1860. En effet, au fur et à mesure que les Français descendent vers le Sud, ils découvrent de nouvelles tribus qu’il faut soumettre (c’est ainsi que les tribus touaregs, les fameux « hommes bleus », ne seront soumis qu’en 1902). La conquête de l’Algérie est d’abord un acte politique : en 1830, le roi Charles X a besoin de redorer son blason tant à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur. L’Angleterre domine la Méditerranée d’Est en Ouest, elle est à Gibraltar, à Malte et en Égypte. La France, de son côté, n’a que la Corse ! Alger lui permettrait donc de s’inscrire sur un axe Nord-Sud. Sur un prétexte assez fallacieux (Alger serait encore une puissance pillant les bateaux français et se livrant à l’esclavage, ce qu’elle n’est plus depuis l’extrême fin du XVIIIe siècle), les Français débarquent à Alger, et en quelques semaines, la ville est prise. À peu près au moment où la ville d’Alger tombe dans les mains des Français, Charles X est renversé par la révolution dite des Trois Glorieuses, et c’est Louis-Philippe qui prend les rênes du pouvoir. Après une brève période d’incertitude (faut-il garder Alger ? la question se posera à Paris jusque vers 1836), il décide finalement de garder les possessions algériennes. Il faut se rappeler qu’à ce moment-là, l’Algérie en tant que telle n’existe pas : il s’agit plutôt d’un tissu de tribus vassales de l’Empire ottoman qui conservent, il est vrai, une certaine autonomie. Ce sont ces tribus qui se soulèvent contre la France et qui vont mener la guerre jusqu’en 1847, date de la chute d’Abd el-Kader. Un an après, une nouvelle révolution éclate en France, celle de 1848, qui voit la naissance de la IIe République. Celle-ci décide de faire de l’Algérie trois départements français distincts ; et c’est à partir de ce moment-là qu’on parle volontiers d’Algérie et non plus seulement de « positions françaises d’Afrique du Nord ». Le nom lui-même (Algérie) a été donné par la France en 1839, il faut s’en souvenir.
C’est en 1830 que la France prend pied à Alger – la conquête de l’Algérie dans son ensemble s’étendra quant à elle jusqu’en 1860. En effet, au fur et à mesure que les Français descendent vers le Sud, ils découvrent de nouvelles tribus qu’il faut soumettre (c’est ainsi que les tribus touaregs, les fameux « hommes bleus », ne seront soumis qu’en 1902). La conquête de l’Algérie est d’abord un acte politique : en 1830, le roi Charles X a besoin de redorer son blason tant à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur. L’Angleterre domine la Méditerranée d’Est en Ouest, elle est à Gibraltar, à Malte et en Égypte. La France, de son côté, n’a que la Corse ! Alger lui permettrait donc de s’inscrire sur un axe Nord-Sud. Sur un prétexte assez fallacieux (Alger serait encore une puissance pillant les bateaux français et se livrant à l’esclavage, ce qu’elle n’est plus depuis l’extrême fin du XVIIIe siècle), les Français débarquent à Alger, et en quelques semaines, la ville est prise. À peu près au moment où la ville d’Alger tombe dans les mains des Français, Charles X est renversé par la révolution dite des Trois Glorieuses, et c’est Louis-Philippe qui prend les rênes du pouvoir. Après une brève période d’incertitude (faut-il garder Alger ? la question se posera à Paris jusque vers 1836), il décide finalement de garder les possessions algériennes. Il faut se rappeler qu’à ce moment-là, l’Algérie en tant que telle n’existe pas : il s’agit plutôt d’un tissu de tribus vassales de l’Empire ottoman qui conservent, il est vrai, une certaine autonomie. Ce sont ces tribus qui se soulèvent contre la France et qui vont mener la guerre jusqu’en 1847, date de la chute d’Abd el-Kader. Un an après, une nouvelle révolution éclate en France, celle de 1848, qui voit la naissance de la IIe République. Celle-ci décide de faire de l’Algérie trois départements français distincts ; et c’est à partir de ce moment-là qu’on parle volontiers d’Algérie et non plus seulement de « positions françaises d’Afrique du Nord ». Le nom lui-même (Algérie) a été donné par la France en 1839, il faut s’en souvenir.
La France s’installe donc en Algérie. Quelles sont les premières mesures économiques qui sont prises pour « organiser » la région ?
Il y a d’abord ce qu’on appelle la colonisation (le terme étant pris ici dans son acception première de « mettre en valeur des terres » ; « colon » vient en effet du latin « colere », qui signifie « cultiver la terre »). La France essaye donc de faire venir des Français pour peupler le pays et voir ce qu’elle peut retirer du sol. C’est un peu le mythe pionnier des États-Unis : peupler de nouveaux territoires (sauf que, en Algérie comme aux États-Unis, ces territoires étaient déjà peuplés…). Bref, par le fait même de la conquête des territoires qui étaient alors sous la domination lointaine de l’Empire ottoman, la France « récupère » les terres qui appartenaient à l’ancienne souveraineté – soit un « butin de guerre » d’une superficie qui dépasse le million d’hectares. Ces terres, incorporées à ce qu’on appelle dès lors le Domaine français, sont découpées en « lots de colonisations », c’est-à-dire en concessions, que l’État donne, soit à des « petits colons », soit à de grandes sociétés agricoles créées pour l’occasion, et qui ont à charge de faire venir une population française pour mettre en valeur les terres. C’est ainsi que la Compagnie Genevoise et la Compagnie agricole du Sig (sorte de phalanstère des années 1840) vont obtenir chacune plusieurs dizaines de milliers d’hectares –mais leur développement sera un échec. Dans les lots de colonisation, les terres ne sont pas données purement et simplement, elles sont, ce qu’on pourrait appeler aujourd’hui, mises en « leasing » : grosso modo, on vous donne de la terre et vous avez entre cinq et dix ans pour la mettre en exploitation ; si après ce laps de temps, les inspecteurs de colonisation estiment que la terre est bien cultivée, que vous avez édifié une maison, etc., vous recevez le titre de propriété. Parallèlement, vous avez aussi des colons qui achètent des fermes et des terres à des musulmans. Quoi qu’il en soit, l’Algérie est très vite considérée par les différents gouvernements comme une colonie de peuplement et l’installation d’une paysannerie française sera toujours une préoccupation majeure du Second Empire, comme de la IIIe République. La distribution des lots de colonisations se fait du reste selon un programme extrêmement planifié : tant de villages de colonisation devront être créés, d’une superficie de tant d’hectares, etc.
Il y a d’abord ce qu’on appelle la colonisation (le terme étant pris ici dans son acception première de « mettre en valeur des terres » ; « colon » vient en effet du latin « colere », qui signifie « cultiver la terre »). La France essaye donc de faire venir des Français pour peupler le pays et voir ce qu’elle peut retirer du sol. C’est un peu le mythe pionnier des États-Unis : peupler de nouveaux territoires (sauf que, en Algérie comme aux États-Unis, ces territoires étaient déjà peuplés…). Bref, par le fait même de la conquête des territoires qui étaient alors sous la domination lointaine de l’Empire ottoman, la France « récupère » les terres qui appartenaient à l’ancienne souveraineté – soit un « butin de guerre » d’une superficie qui dépasse le million d’hectares. Ces terres, incorporées à ce qu’on appelle dès lors le Domaine français, sont découpées en « lots de colonisations », c’est-à-dire en concessions, que l’État donne, soit à des « petits colons », soit à de grandes sociétés agricoles créées pour l’occasion, et qui ont à charge de faire venir une population française pour mettre en valeur les terres. C’est ainsi que la Compagnie Genevoise et la Compagnie agricole du Sig (sorte de phalanstère des années 1840) vont obtenir chacune plusieurs dizaines de milliers d’hectares –mais leur développement sera un échec. Dans les lots de colonisation, les terres ne sont pas données purement et simplement, elles sont, ce qu’on pourrait appeler aujourd’hui, mises en « leasing » : grosso modo, on vous donne de la terre et vous avez entre cinq et dix ans pour la mettre en exploitation ; si après ce laps de temps, les inspecteurs de colonisation estiment que la terre est bien cultivée, que vous avez édifié une maison, etc., vous recevez le titre de propriété. Parallèlement, vous avez aussi des colons qui achètent des fermes et des terres à des musulmans. Quoi qu’il en soit, l’Algérie est très vite considérée par les différents gouvernements comme une colonie de peuplement et l’installation d’une paysannerie française sera toujours une préoccupation majeure du Second Empire, comme de la IIIe République. La distribution des lots de colonisations se fait du reste selon un programme extrêmement planifié : tant de villages de colonisation devront être créés, d’une superficie de tant d’hectares, etc.
« L’Algérie est très vite considérée par les différents gouvernements comme une colonie de peuplement. Du reste, l’installation d’une paysannerie française sera toujours une préoccupation majeure de l’État. »
Seul hic : à Paris, on ne prévoit pas les infrastructures qui devront « encadrer » la nouvelle population de colons. C’est-à-dire que toute l’économie connexe à la colonisation est oubliée. Quid des charrons, des forgerons, des boulangers, des maçons pour construire les maisons ? Ces métiers, qui n’ont pas été « pensés » par l’État colonisateur, vont être mis en œuvre, « adoptés » par les nouveaux arrivants qui se présentent dans la nouvelle colonie d’une manière tout à fait désordonnée. On voit des paysans alsaciens qui, devant les problèmes d’acquisition de la terre, décident de s’établir charrons, tonneliers ou rouliers (ils fabriquent les roues des charrettes et ils assurent le roulage, c’est-à-dire le transport des marchandises). Tout se fait à la va-vite : on demande aux îles Baléares de fournir du bois, des pierres, des mulets parce que rien n’avait été prévu pour transporter ou tirer les charrettes ! On fait venir des vêtements, de la nourriture, toutes sortes de matières – et afin de recouvrer les taxes de passages des bateaux qui entrent dans le port d’Alger, une chambre de commerce est créée dès décembre 1830, d’autres suivront assez vite : à Philippeville et à Oran en 1844, à Constantine en 1846, à Bône en 1847).
Une chambre de commerce est créée à Alger, les colons français sont installés ; on imagine qu’assez vite, de petites entreprises vont se créer. Quelles sont-elles ?
À vrai dire, il n’y a pas tant de colons français qu’on pourrait l’imaginer. En réalité, contrairement aux espérances de l’État français, ce sont plutôt des Espagnols, des Maltais, des Allemands, des Suisses qui arrivent en Algérie. Les premières créations d’entreprises, qui se produisent dès la fin des années 1830 et jusque vers 1880-1890, ne sont pas toujours des créations françaises mais des créations espagnoles, italiennes, maltaises parfois. Je vais vous donner quelques exemples. Prenons d’abord le cas de Limiñana, l’entreprise qui a créé le fameux « Cristal Anis », un alcool très apprécié des pieds-noirs. Le fondateur de l’entreprise est originaire de Monforte del Cid, un village espagnol où l’on fabrique un alcool à base d’anis. Une fois en Algérie, il décide de se procurer des fleurs d’anis pour préparer l’anisette de son village – et ça marche ! Son activité se développe, les usines se multiplient, et plusieurs générations après, l’entreprise est toujours là.
Autre création originale : les cigarettes Bastos. Les Bastos, qui sont aussi des Espagnols, commencent par ouvrir une petite échoppe de quelques mètres carrés, où ils roulent des cigarettes à la main pour les soldats – en 1841, Bugeaud a demandé l’envoi de 100 000 soldats supplémentaires en Algérie, ce qui fait que la population militaire est très importante. Petit à petit, l’entreprise s’agrandit ; le premier Bastos meurt, sa veuve reprend l’affaire, place ses enfants, puis vient le tour des petits-enfants, tant et si bien qu’à la fin XIXe siècle, Bastos est devenue une énorme entreprise, employant 1500 personnes à Alger et 2000 à Oran (principalement des femmes, du reste, qu’on appelle les « cigarières »). Dans le même secteur d’activité, on trouve aussi Melia, fabrique de cigarettes également créée par des Espagnols, ou encore Job, fondée, elle, par un français nommé Jobert.
Du côté des Italiens, on trouve aussi des trajectoires intéressantes. Schiaffino, par exemple. Schiaffino est un pêcheur italien qui possède quelques barques et qui fait du trafic dans le golfe de Naples – rappelons au passage que c’est aussi par la contrebande que se sont développées Bastos, Melia et Job, même si aucune entreprise ne veut le reconnaître aujourd’hui… En 1837, Schiaffino s’installe donc à Alger, commence à trafiquer plus intensément entre l’Italie et l’Algérie, et avec ses quelques bateaux balancelles, il crée la Compagnie Schiaffino. Ses enfants prennent sa suite, dotent la compagnie de bateaux plus grands, plus modernes, et, grâce l’arrivée de la vapeur, Schiaffino devient l’une des plus grandes compagnies maritimes de Méditerranée – elle va même jusqu’au Sénégal ! Autre exemple, celui de Ferrero : cette entreprise a été créée par des Italiens qui, installés en Algérie, décident de se lancer dans les pâtes. Ils créent donc des semouleries qui alimentent la fabrication de pâtes, bien sûr, mais aussi de couscous. Si bien que dans les années 1930, Ferrero devient le leader mondial de la graine de couscous !
Tous ces gens font fortune. La plupart se diversifient et s’implantent dans d’autres possessions coloniales françaises ; Bastos est ainsi présent en Indochine et en Afrique Noire. Leurs dirigeants deviennent membres du Rotary Club, sont décorés de la légion d’honneur. Et bien sûr, point très important : ils deviennent Français. En effet, promulguée en 1889, la loi dite de naturalisation automatique permet aux Espagnols, Italiens, Maltais, Allemands et Suisses de devenir Français ; les Juifs sont quant à eux naturalisés par le décret Crémieux en 1870.
À vrai dire, il n’y a pas tant de colons français qu’on pourrait l’imaginer. En réalité, contrairement aux espérances de l’État français, ce sont plutôt des Espagnols, des Maltais, des Allemands, des Suisses qui arrivent en Algérie. Les premières créations d’entreprises, qui se produisent dès la fin des années 1830 et jusque vers 1880-1890, ne sont pas toujours des créations françaises mais des créations espagnoles, italiennes, maltaises parfois. Je vais vous donner quelques exemples. Prenons d’abord le cas de Limiñana, l’entreprise qui a créé le fameux « Cristal Anis », un alcool très apprécié des pieds-noirs. Le fondateur de l’entreprise est originaire de Monforte del Cid, un village espagnol où l’on fabrique un alcool à base d’anis. Une fois en Algérie, il décide de se procurer des fleurs d’anis pour préparer l’anisette de son village – et ça marche ! Son activité se développe, les usines se multiplient, et plusieurs générations après, l’entreprise est toujours là.
Autre création originale : les cigarettes Bastos. Les Bastos, qui sont aussi des Espagnols, commencent par ouvrir une petite échoppe de quelques mètres carrés, où ils roulent des cigarettes à la main pour les soldats – en 1841, Bugeaud a demandé l’envoi de 100 000 soldats supplémentaires en Algérie, ce qui fait que la population militaire est très importante. Petit à petit, l’entreprise s’agrandit ; le premier Bastos meurt, sa veuve reprend l’affaire, place ses enfants, puis vient le tour des petits-enfants, tant et si bien qu’à la fin XIXe siècle, Bastos est devenue une énorme entreprise, employant 1500 personnes à Alger et 2000 à Oran (principalement des femmes, du reste, qu’on appelle les « cigarières »). Dans le même secteur d’activité, on trouve aussi Melia, fabrique de cigarettes également créée par des Espagnols, ou encore Job, fondée, elle, par un français nommé Jobert.
Du côté des Italiens, on trouve aussi des trajectoires intéressantes. Schiaffino, par exemple. Schiaffino est un pêcheur italien qui possède quelques barques et qui fait du trafic dans le golfe de Naples – rappelons au passage que c’est aussi par la contrebande que se sont développées Bastos, Melia et Job, même si aucune entreprise ne veut le reconnaître aujourd’hui… En 1837, Schiaffino s’installe donc à Alger, commence à trafiquer plus intensément entre l’Italie et l’Algérie, et avec ses quelques bateaux balancelles, il crée la Compagnie Schiaffino. Ses enfants prennent sa suite, dotent la compagnie de bateaux plus grands, plus modernes, et, grâce l’arrivée de la vapeur, Schiaffino devient l’une des plus grandes compagnies maritimes de Méditerranée – elle va même jusqu’au Sénégal ! Autre exemple, celui de Ferrero : cette entreprise a été créée par des Italiens qui, installés en Algérie, décident de se lancer dans les pâtes. Ils créent donc des semouleries qui alimentent la fabrication de pâtes, bien sûr, mais aussi de couscous. Si bien que dans les années 1930, Ferrero devient le leader mondial de la graine de couscous !
Tous ces gens font fortune. La plupart se diversifient et s’implantent dans d’autres possessions coloniales françaises ; Bastos est ainsi présent en Indochine et en Afrique Noire. Leurs dirigeants deviennent membres du Rotary Club, sont décorés de la légion d’honneur. Et bien sûr, point très important : ils deviennent Français. En effet, promulguée en 1889, la loi dite de naturalisation automatique permet aux Espagnols, Italiens, Maltais, Allemands et Suisses de devenir Français ; les Juifs sont quant à eux naturalisés par le décret Crémieux en 1870.
On pense a priori que l’Algérie française avait une économie principalement agricole. Est-ce juste ?
Pas tout à fait. En 1920, 190 000 Européens vivaient de l’agriculture. Ils n’étaient plus que 90 000 en 1954. En fait, il y a très vite eu deux Algérie, avec deux sortes d’Algériens : d’un côté la totalité des Européens et un quart des musulmans vivant en économie d’échange ; de l’autre les quatre cinquièmes des musulmans qui vivaient d’une économie de subsistance. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, plus de 80%des Européens et moins de 20 % des musulmans sont des urbains. Le pays a donc besoin de gros groupes industriels, à la fois pour servir de faire-valoir à la réussite coloniale française, mais aussi, tout simplement, pour construire des ponts, des routes, des chemins de fer, aménager les villes, pourvoir à leur alimentation en eau, développer le tout à l’égout, etc.
Pas tout à fait. En 1920, 190 000 Européens vivaient de l’agriculture. Ils n’étaient plus que 90 000 en 1954. En fait, il y a très vite eu deux Algérie, avec deux sortes d’Algériens : d’un côté la totalité des Européens et un quart des musulmans vivant en économie d’échange ; de l’autre les quatre cinquièmes des musulmans qui vivaient d’une économie de subsistance. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, plus de 80%des Européens et moins de 20 % des musulmans sont des urbains. Le pays a donc besoin de gros groupes industriels, à la fois pour servir de faire-valoir à la réussite coloniale française, mais aussi, tout simplement, pour construire des ponts, des routes, des chemins de fer, aménager les villes, pourvoir à leur alimentation en eau, développer le tout à l’égout, etc.
« Il y a très vite eu deux Algérie, avec deux sortes d’Algériens : d’un côté la totalité des Européens et un quart des musulmans vivant en économie d’échange ; de l’autre les quatre cinquièmes des musulmans vivant d’une économie de subsistance. »
L’Algérie n’est pas un pays industriel en tant que tel (on n’a pas encore découvert le pétrole, et quant aux mines, elles viendront plus tard et donneront peu de choses). C’est pour cela qu’un certain nombre de sociétés françaises s’implantent en Algérie. C’est le cas de Lesieur, de Saint-Gobain, de Péchiney, de Lafarge, des établissements Berliet, de la société des tuyaux Bonnat installée à Marseille, des Champenois Bernard qui construisent des routes.
Mais il y a aussi des entreprises créées par des Français installés en Algérie.
Bien sûr. Rappelons d’ailleurs que dans le cas de l’Algérie française, on se trouve face à un drôle de système colonial puisqu’il y a une très forte proportion de population européenne. C’est un cas unique dans la France du XIXe et XXe siècle. En dehors de la métropole, l’Algérie est le territoire où on compte le plus de Français – loin devant la Réunion, la Martinique, la Guadeloupe, la Nouvelle Calédonie, le Maroc, la Tunisie… On constate donc, assez logiquement, la montée en puissance – économique – de familles françaises installées en Algérie depuis plusieurs générations. Prenez les Duroux, les Laquière, les Borgeaud, les Blachette : toutes ces familles vont construire de véritables petits empires, que ce soit dans la transformation des métaux, dans la vigne ou l’industrie alimentaire. Et ce qui est frappant, surtout après les années 1930, c’est la collusion qui existe entre le milieu économique et le milieu politique.
Jacques Duroux, par exemple, fils d’un ancien soldat qui avait participé à la conquête puis s’était installé en Algérie, est d’abord industriel dans la miroiterie, avant de devenir propriétaire des moulins de l’Harrach, du domaine de Ben-Dalibey, des Cargos algériens, deL’Écho d’Alger, et pour finir, sénateur ! Henri Borgeaud, propriétaire viticulteur du Domaine de la Trappe de Staouéli, est également administrateur des tabacs Bastos, des ciments Lafarge pour l’Afrique du Nord, des établissements Vinson qui représentent la firme Peugeot. Il devient président directeur général de la Raffinerie française et de la Banque Borgeaud et Cie, vice-président du Comité républicain du commerce, de l’industrie et de l’agriculture. Il acquiert la Dépêche quotidienne et sera élu sénateur d’Alger de 1946 à 1959. Quant à Laurent Schiaffino, fils du premier Schiaffino, il est tout à la fois président du comité des armateurs d’Algérie, président du conseil algérien du Crédit populaire, président de la région économique d’Algérie, et bien sûr sénateur…
Bien sûr. Rappelons d’ailleurs que dans le cas de l’Algérie française, on se trouve face à un drôle de système colonial puisqu’il y a une très forte proportion de population européenne. C’est un cas unique dans la France du XIXe et XXe siècle. En dehors de la métropole, l’Algérie est le territoire où on compte le plus de Français – loin devant la Réunion, la Martinique, la Guadeloupe, la Nouvelle Calédonie, le Maroc, la Tunisie… On constate donc, assez logiquement, la montée en puissance – économique – de familles françaises installées en Algérie depuis plusieurs générations. Prenez les Duroux, les Laquière, les Borgeaud, les Blachette : toutes ces familles vont construire de véritables petits empires, que ce soit dans la transformation des métaux, dans la vigne ou l’industrie alimentaire. Et ce qui est frappant, surtout après les années 1930, c’est la collusion qui existe entre le milieu économique et le milieu politique.
Jacques Duroux, par exemple, fils d’un ancien soldat qui avait participé à la conquête puis s’était installé en Algérie, est d’abord industriel dans la miroiterie, avant de devenir propriétaire des moulins de l’Harrach, du domaine de Ben-Dalibey, des Cargos algériens, deL’Écho d’Alger, et pour finir, sénateur ! Henri Borgeaud, propriétaire viticulteur du Domaine de la Trappe de Staouéli, est également administrateur des tabacs Bastos, des ciments Lafarge pour l’Afrique du Nord, des établissements Vinson qui représentent la firme Peugeot. Il devient président directeur général de la Raffinerie française et de la Banque Borgeaud et Cie, vice-président du Comité républicain du commerce, de l’industrie et de l’agriculture. Il acquiert la Dépêche quotidienne et sera élu sénateur d’Alger de 1946 à 1959. Quant à Laurent Schiaffino, fils du premier Schiaffino, il est tout à la fois président du comité des armateurs d’Algérie, président du conseil algérien du Crédit populaire, président de la région économique d’Algérie, et bien sûr sénateur…
Et qu’en est-il des entreprises créées par des musulmans ?
Elles ne sont pas très nombreuses. Tout d’abord parce qu’on n’a plus d’archives, donc plus d’opportunité de les étudier. Je suis allé il y a quelques années à la Chambre de Commerce d’Alger (qui, étant privée, n’a pas été rapatriée en 1962, contrairement aux organismes d’État) ; c’est un triste spectacle : les archives prennent l’eau, les moyens financiers manquent… Par ailleurs, comme je ne vous l’ai dit, les ruraux regroupent 80 % des musulmans. La population indigène est donc en grande majorité paysanne, et vit bien souvent dans la misère.
Quoi qu’il en soit, on peut au moins citer deux grandes entreprises créées par des familles musulmanes : Hamoud Boualem et Tamzali. Hamoud Boualem est un « limonadier » qui invente une boisson, le Selecto, dont tous les Algériens et les pieds-noirs se réclament ! Cette boisson, qui existe toujours, concurrence Coca-Cola et Orangina (créée elle aussi en Algérie, par un Français Juif pied-noir, Louis Beton, associé à un pharmacien espagnol du nom de Trigo). Tamzali est aussi dans le domaine agroalimentaire : il s’agit d’une conserverie qui fabrique de l’huile et de la semoule (elle concurrence donc Ferrero). Devenues de grosses fortunes, les Boualem et les Tamzali sont ce qu’on appelle à l’époque « les Algériens des grandes tentes », c’est-à-dire des notables. Ils sont décorés de la légion d’honneur, leurs enfants deviennent parfois professeurs d’université,médecins, avocats. Un des fils Tamzali, docteur en médecine, est ainsi devenu sénateur.
Elles ne sont pas très nombreuses. Tout d’abord parce qu’on n’a plus d’archives, donc plus d’opportunité de les étudier. Je suis allé il y a quelques années à la Chambre de Commerce d’Alger (qui, étant privée, n’a pas été rapatriée en 1962, contrairement aux organismes d’État) ; c’est un triste spectacle : les archives prennent l’eau, les moyens financiers manquent… Par ailleurs, comme je ne vous l’ai dit, les ruraux regroupent 80 % des musulmans. La population indigène est donc en grande majorité paysanne, et vit bien souvent dans la misère.
Quoi qu’il en soit, on peut au moins citer deux grandes entreprises créées par des familles musulmanes : Hamoud Boualem et Tamzali. Hamoud Boualem est un « limonadier » qui invente une boisson, le Selecto, dont tous les Algériens et les pieds-noirs se réclament ! Cette boisson, qui existe toujours, concurrence Coca-Cola et Orangina (créée elle aussi en Algérie, par un Français Juif pied-noir, Louis Beton, associé à un pharmacien espagnol du nom de Trigo). Tamzali est aussi dans le domaine agroalimentaire : il s’agit d’une conserverie qui fabrique de l’huile et de la semoule (elle concurrence donc Ferrero). Devenues de grosses fortunes, les Boualem et les Tamzali sont ce qu’on appelle à l’époque « les Algériens des grandes tentes », c’est-à-dire des notables. Ils sont décorés de la légion d’honneur, leurs enfants deviennent parfois professeurs d’université,médecins, avocats. Un des fils Tamzali, docteur en médecine, est ainsi devenu sénateur.
OU LES PETITS METIERS DE L'ARTISANAT QUITTENT LA LISIBILITE INDUSTRIELLE POUR LE TOURISME PITTORESQUE DES CASBAH & MEDINA.......
POURTANT IL Y A UN ARTISANAT FLORISSANT QUI FOURNIT LES MARCHES & LES QUARTIERS COMMERCANTS COMME A ALGER LA RUE DE LA LYRE & LA PLACE DE CHARTRES AUJOURD'HUI RUES DES TROUSSEAUX(POUR LES MARIAGES).....SANS OUBLIER LA RUE BAB-AZZOUN SOUS LES ARCADES EN LISIERE DE LA CASBAH.....GRAND CENTRE D'ARTISANAT INDUSTRIEL..........QUI GENERAIENT UN GROS CHIFFRE D'AFFAIRES AUJOURD'HUI, COMMERCE TUE PAR LE "TRABENDO" DES PRODUITS CHINOIS DE 4° & 5° CHOIX............
Que se passe-t-il en 1962, lorsque l’Algérie déclare son indépendance ?
La plupart des entreprises créées par des Français ou des Européens sont rapatriées, comme leurs propriétaires. Certaines, comme Bastos, essaient de rester, mais dès 1963, le gouvernement algérien décide de nationaliser toute l’économie du pays – les terres et les entreprises. Parallèlement, de nombreux gisements de pétrole sont découverts et rapidement exploités, qui vont assurer au pays une source de revenus extrêmement profitable. Cette manne pétrolière est du reste, à mon sens, le grand malheur de l’Algérie. C’est à cause d’elle que le pays n’a pas développé comme il aurait dû le faire l’agriculture, l’industrie et le tourisme – à tel point qu’au tournant des années 1990, l’Algérie a dû importer des tomates d’Espagne ! Aujourd’hui encore, le pétrole et le gaz naturel sont les principales sources de revenus de l’Algérie. Et malheureusement, les Algériens n’en voienLES GRANDES FORTUNESpas la couleur. J’avais écrit dans un de mes livres, il y a quelques années : « L’Algérie, ce pays riche peuplé de pauvres » ; je crains que ça ne soit pas faux… Actuellement, bien que l’économie ait été libéralisée, bien que de grosses sociétés étrangères s’implantent dans le pays, le système est tellement gangrené par la corruption qu’il n’est pas facile de créer son entreprise comme on l’entend. Au Maroc et en Tunisie, le passage à l’indépendance s’est fait plus en douceur et sur un laps de temps beaucoup plus long. Il faut dire aussi que ces pays n’étaient pas des départements français mais des protectorats, que la population européenne et française y était nettement moins nombreuse, et qu’il n’y a pas eu de programme de nationalisation aussi poussé qu’en Algérie.Mais il est frappant de constater qu’aujourd’hui, par une sorte de paradoxe historique, le Maroc et la Tunisie travaillent davantage avec la France que l’Algérie.
La plupart des entreprises créées par des Français ou des Européens sont rapatriées, comme leurs propriétaires. Certaines, comme Bastos, essaient de rester, mais dès 1963, le gouvernement algérien décide de nationaliser toute l’économie du pays – les terres et les entreprises. Parallèlement, de nombreux gisements de pétrole sont découverts et rapidement exploités, qui vont assurer au pays une source de revenus extrêmement profitable. Cette manne pétrolière est du reste, à mon sens, le grand malheur de l’Algérie. C’est à cause d’elle que le pays n’a pas développé comme il aurait dû le faire l’agriculture, l’industrie et le tourisme – à tel point qu’au tournant des années 1990, l’Algérie a dû importer des tomates d’Espagne ! Aujourd’hui encore, le pétrole et le gaz naturel sont les principales sources de revenus de l’Algérie. Et malheureusement, les Algériens n’en voienLES GRANDES FORTUNESpas la couleur. J’avais écrit dans un de mes livres, il y a quelques années : « L’Algérie, ce pays riche peuplé de pauvres » ; je crains que ça ne soit pas faux… Actuellement, bien que l’économie ait été libéralisée, bien que de grosses sociétés étrangères s’implantent dans le pays, le système est tellement gangrené par la corruption qu’il n’est pas facile de créer son entreprise comme on l’entend. Au Maroc et en Tunisie, le passage à l’indépendance s’est fait plus en douceur et sur un laps de temps beaucoup plus long. Il faut dire aussi que ces pays n’étaient pas des départements français mais des protectorats, que la population européenne et française y était nettement moins nombreuse, et qu’il n’y a pas eu de programme de nationalisation aussi poussé qu’en Algérie.Mais il est frappant de constater qu’aujourd’hui, par une sorte de paradoxe historique, le Maroc et la Tunisie travaillent davantage avec la France que l’Algérie.
(source histoires d'entreprises qui a un numero spécial sur l'algerie)
Dans l'Algerie nouvelle ce sont les grandes familles régionales qui prennent le contrôle de secteurs économiques bien définis & amoncellent de grosses fortunes. Ces femailles ont reussi dans le commerce courant d'abord là où les besoins des populations étaient prioritaires
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source "le quotidien d'algerie"
LE GOUVERNEMENT ALGERIEN A DU MAL A IDENTIFIER POUR FINS STATISTIQUES LES GROSSES FORTUNES ALGERIENNES UNE TV SUISSE GERMANIQUE "ARENA" A ENQUÊTE EN SUISSE.........L'A FAIT...........
La fortune cachée des dirigeants Algériens en Suisse dépasse les 700 millions d'euros !
La fortune des régimes Arabes en Suisse
Selon les révélations de la chaîne de télévision suisse germanophone « Arena », les avoirs financiers des dirigeants Algériens en suisse dépassent les 700 millions d’euros. Cette chaîne suisse a diffusé cette information au cours d’une émission, dont un résumé est disponible sur Youtube, consacrée aux fortunes des régimes arabes placées dans les banques suisses.
907 millions de francs suisses, l’équivalent de plus de 700 millions d’euros, ce montant représente les sommes d’argent en provenance de l’Algérie et placées en sécurité dans des banques suisses, signale notre confrère Algérie-focus qui reprend les informations révélées par l’émission diffusée récemment sur la chaine suisse « ARENA ». En effet, un reportage de cette chaine a passé en revue toutes les fortunes des régimes arabes qui se retrouvent dissimulées dans les coffres-forts des banques suisses.
Mais contrairement à ce que l’on croit, ce n’est pas le Guide libyen, El-Geuddafi, qui détient la plus grande fortune déposée dans les banques suisses. Et pour cause, une grande partie de ces 4 milliards d’euros déposés en Suisse a été retirée des banques de la Confédération helvétique après les embrouilles du colonel Khadafi avec les autorités de Bern.
Aujourd’hui, Mouammar Kadhafi ne disposerait, selon la chaîne « Arena », que de 633 millions d’euros dans ses comptes secrets en Suisse. Dans ce contexte, c’est le régime syrien qui se retrouve en tête du peloton car il possède les plus importants avoirs financiers en suisse. En effet, plus d’un 1,4 milliard euros reviennent au clan Assad qui dirige d’une main de fer la Syrie depuis 40 ans.
Abderrahmane Semmar
......Que fait-on de nos jours avec 700 Millions d'€.......
.........Comme disait Fernand Raynaud......"CA EU PAYE......MAIS CA PAYE PLUS.......!!!"
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source : algerie-focus reprenant la source du magazine économique français "challenges":
Issad Rebrab veut étendre son champ d’action.
L’homme d’affaires algérien a effectué, la semaine dernière, un long séjour en France pour tenter de dénicher de nouvelles affaires dans ce pays et acheter des entreprises françaises en difficulté.
Parution de la biographie de M. Issad Rebrab, P-DG du Groupe Cevital
Alger - 21/01/2012- «Issad Rebrab : Voir grand, commencer petit et aller vite». Tel est le titre du premier livre consacré au parcours de M. Issad Rebrab, Président-Directeur Général du Groupe Cevital. Élaboré par le professeur Taïeb Hafsi et paru aux Editions Casbah dans leur nouvelle collection « Les grands bâtisseurs », il a été présenté, hier, à l'auditorium de l'hôtel Sheraton.
Après avoir dédié son livre à toute sa famille, M. Issad Rebrab a aussi rendu hommage à tous les employés du Groupe Cevital.
A ce propos, il a déclaré : « Je veux aussi dédier ce livre à nos 12 500 collaborateurs. Sans leur intégrité, leur solidarité, leur engagement, leur accompagnement, leur fidélité, le Groupe Cevital n’aurait peut-être pas existé aujourd’hui. Leur contribution est très importante et je les remercie vivement. »
L’auteur de ce livre, en l’occurrence Pr. Taïeb Hafsi ne glorifie pas la personne de M. Rebrab, mais il évoque la réussite d’un homme, « un authentique bâtisseur », selon ses propres termes. Il donne ainsi des enseignements aux entrepreneurs qui veulent bâtir une entreprise pérenne.
L’approche adoptée par le professeur a fait que l’ouvrage soit scindé en quatre parties.
Première partie: LA NAISSANCE D’UN ENTREPRENEUR DANS UN MILIEU TURBULENT ET HOSTILE
Après avoir dédié son livre à toute sa famille, M. Issad Rebrab a aussi rendu hommage à tous les employés du Groupe Cevital.
A ce propos, il a déclaré : « Je veux aussi dédier ce livre à nos 12 500 collaborateurs. Sans leur intégrité, leur solidarité, leur engagement, leur accompagnement, leur fidélité, le Groupe Cevital n’aurait peut-être pas existé aujourd’hui. Leur contribution est très importante et je les remercie vivement. »
L’auteur de ce livre, en l’occurrence Pr. Taïeb Hafsi ne glorifie pas la personne de M. Rebrab, mais il évoque la réussite d’un homme, « un authentique bâtisseur », selon ses propres termes. Il donne ainsi des enseignements aux entrepreneurs qui veulent bâtir une entreprise pérenne.
L’approche adoptée par le professeur a fait que l’ouvrage soit scindé en quatre parties.
Première partie: LA NAISSANCE D’UN ENTREPRENEUR DANS UN MILIEU TURBULENT ET HOSTILE
CH1: L’Algérie: une turbulence chronique
CH2: Les premières découvertes
CH3: Profilor et le décollage industriel
Deuxième Partie: LA GRANDE AVENTURE INDUSTRIELLE ET LA NAISSANCE D’UNE ENTREPRISE DE CLASSE MONDIALE
CH4: Les péripéties du chemin vers l’industrie lourde: Métal-Sider
CH5: Du rêve à la réalité: Le cas de l’agro-alimentaire
CH6: Le développement des activités du groupe
Troisième partie: RENCONTRE INTIME : LA NATION, LE VILLAGE, LA FAMILLE ET L’ENTREPRISE
CH7: Les racines, les inspirations, les obligations
CH8: La relève par la nouvelle génération: promesses et difficultés
CH9: Le regard des autres
CH10: Issad Rebrab: réflexions et recommandations
Destiné à redonner confiance surtout aux jeunes algériens, l’auteur de cette biographie, la première du genre à s’entreprendre sous cette forme en Algérie, estime que la jeune génération puisera « dans l’âme de cet homme et de ceux qui lui ressemblent l’inspiration et des ressources précieuses » pour la poursuite de la construction de notre pays.
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